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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Les lois et règles du couple dans 'L'infernale Mission' - Marcel Emile Sourbieu

Tu as droit au bonheur. Ce bonheur ne peut être que dans le Couple, et à partir de lui. Mais, ce bonheur auquel tu as droit, il est de ton devoir de le bâtir.

La Vie est un Jeu qui ne tolère pas la tromperie. Sinon tout est faussé, et fossé qui se creuse de plus en plus entre toi et ton devenir.

Cependant, sur un jeu faussé, pour le remettre dans le bon sens, la tricherie est indispensable. Qui s'en plaindra ? D'ailleurs, comment opérer, comment rectifier autrement ? Impossible, sinon avec beaucoup de douleur, et en aggravant le cas, de forcer quelqu'un à marcher avec les deux jambes cassées. Il lui faut des attelles, des plâtres, des béquilles et un bon chirurgien, en attendant la guérison.

Il va de soi, pour celui qui n'est pas infirme, que l'usage des béquilles et autres, rendrait infirme celui qui ne l'est pas.

S'il est permis, en ces Temps de Confusion et d'Erreur, de composer et de tricher avec les Lois, les générations futures, et toi-même, devront comprendre que ce qui est permis en ces jours n'est pas lois éternelles.


Les vérités sont relatives aux métamorphoses.

Avant donc de te donner les Lois Sexuelles réelles, sources du vrai bonheur de l'Humanité, voici ce qui est permis, en fonction du temps actuel. Libre, et intouchable dans ta liberté, prends garde de ne pas profiter de la permission pour conserver, entretenir, ou augmenter tes vices et tes erreurs. Ne te réfugie pas derrière de fausses excuses. Prends garde, je te le dis en Vérité, tu ajouterais terriblement à ton malheur ! Ce qui, même de bonne foi, s'obtient ici à contresens de la nature, se paie cher par ailleurs.


« Tout est permis à ceux qui s'aiment », chante le poète.

L'intimité des sexes, de leur harmonie ou de leur disharmonie, ne regarde que le couple. Il serait de mauvais aloi, et dangereux, de pénétrer dans cette intimité.

Mais, lorsque des problèmes d'ordre sexuel prennent, ou risquent de prendre, des dimensions sociales avec répercussions fâcheuses sur la collectivité et les individus, il est bon, avec modestie et prudence, d'entrouvrir le rideau sur des choix.

Ici, le « tu » et le « vous » se confondent naturellement.

Exceptionnellement, si tu n'es pas marié, et si tu te sens capable, sans refoulement, de célibat et d'abstinence, en ces jours où tout doit être renversé, oublie ton propre sort et ton salut personnel, et consacre-toi entièrement aux hommes et à Dieu.

Ce n'est pas un conseil, mais une simple proposition liée à tes possibilités et à ta seule volonté.


2° Si tu n'es pas marié, et si tu ne te sens pas capable de souffrir le célibat et l'abstinence, accomplis-toi dans le mariage avec ses droits et ses devoirs. Ici, c'est un conseil.

Les paragraphes 1 et 2 s'adressent plus particulièrement aux prêtres, religieuses, ou autres personnes ayant fait vœu. Il s'agit là d'exceptions momentanées, le mariage étant toujours préférable au célibat, même en dehors des passions charnelles. De toute façon, l'être complet, c'est le couple qui se formera tôt ou tard, même au-delà de la Mort terrestre.

Le vœu de célibat et d'abstinence n'est pas éternel. Il peut et doit être rompu sitôt que le besoin s'en fait sentir.


3° Si tu es marié, et qu'après tous tes efforts l'entente ne s'installe pas, séparez-vous d'un commun accord, sans haine et sans rancune, et pour le moins, gardez le respect l'un de l'autre, et l'amour fraternel.

Si vous désirez reprendre charge du mariage, cherchez un autre compagnon ou une autre compagne.

Avec des enfants. Il ne s'agit plus de vous, mais d'eux. Soutenez-vous pour maintenir vos enfants. Si c'est vraiment intolérable, le monde jugera pour vous.

4° Si tu es de ceux qui, volontairement, ou par ignorance, passent par-dessus toutes les lois, font fi du couple, s'abandonnent à tous les hasards, alors, révise ton opinion, et corrige-toi.

5° Par maladie, provoquée ou non, beaucoup, plus ou moins et de façons différentes, sont désaxés sexuellement. Un bon docteur, spécialiste de la question, devrait suffire pour que, petit à petit, tout rentre dans l'ordre. A défaut, le mal serait minimisé.

6° Si tu es marié et que l'entente est bonne, alors fortifie-toi au sein du mariage.



Et tu dois savoir ceci :

La femme, si elle est digne de ce nom, est le guide discret de l'homme. Elle est l'AME du foyer. Et de même que l'âme prend l'empreinte du corps, la femme, symboliquement, prend le NOM de l'homme. Guide de l'homme, si l'homme la suit, par échange de l'Amour, elle, doit le suivre.

S'il s'avère que la femme, momentanément, est incapable d'accomplir son rôle, l'homme peut le prendre, et doit le prendre, s'il le peut. Et vice versa.

La femme est souveraine, et décide, selon ses besoins, pour l'assouvissement de ses sens, et de sa fécondation. Hors de ses besoins, découlants et naturellement liés à ceux de l'homme, elle ne doit pas se soumettre aux exigences illégitimes de son compagnon, et celui-ci doit absolument respecter cela. Faute de quoi, aux Yeux de Dieu, il est coupable de viol.

Le viol, au risque de te choquer, est l'un des rares cas qui, sur Terre, et droit divin, peut être puni de mort. Ne pas voir là une incitation à la peine capitale.

Exigences illégitimes : c'est-à-dire en dehors des besoins naturels et réels de l'homme. D'ailleurs, une femme saine, tant au moral qu'au physique, normalement constituée, contente amplement son compagnon ; et réciproquement.

L'amour sexuel ne peut être conjugué que dans l'Amour des coeurs. Ne vous mettez jamais nus devant quiconque (sauf cas nécessaires), hormis vous-mêmes. En ces jours où tout est immonde et corrompu, vous ne pouvez pas savoir qui se trouve devant vous. Vous penserez peut-être bien faire, mais en réalité, vous attirerez le malheur sur vous.

Il est d'autres problèmes. Vous voudriez avoir la satisfaction de vos sens, mais : limiter le nombre de vos enfants, ou ne pas en avoir. Et puis le monde, la situation, ne s'y prêtent guère, ou l'état de santé de la femme. Faites un effort, et modérez-vous le plus possible. N'ayez des rapports que la semaine qui précède et suit le premier jour des règles. Ce n'est pas très sûr, loin de là, mais cela limite les effets. Sitôt qu'il y a rapport, il ne peut être aucun jour certain de non fécondation.

Compte tenu du contexte humain faussé de ces présents jours, seul le préservatif masculin est le plus sain, tant au moral qu'au physique, et le plus efficace.

Tenez-vous-en chacun à la compagne ou au compagnon choisi. Je veux dire par là de ne pas vous tromper l'un l'autre. Est-ce possible si vous vous aimez ?

En Vérité, si VRAIMENT vous vous aimez, les Lois ne seront plus des Lois, mais des liens qui vous uniront encore plus fortement. Tout vous sera joie. Vous vivrez heureux, et les bords de l'abîme s'éloigneront de plus en plus.

Voici les Lois essentielles qui unissent indissolublement le Couple Humain. Telles qu'elles devront être vécues, telles vous devez, déjà, vouloir et vous efforcer de les vivre.


En ces Temps-là (le Passé), les hommes pratiquaient la polygamie ; forniquaient entre eux et avec les bêtes. Dans certaines contrées, les femmes étaient polyandres. La prostitution régnait dans les deux sexes. Il y avait l'inceste.

Mais, ni l'homme ni la femme, ou très rarement, n'avaient de « plaisirs solitaires ».

En ces Temps-ci (le Présent), hommes et femmes, en majeure partie, n'ont plus officiellement qu'un seul conjoint. Mais ils en prennent d'autres en cachette. Ils continuent l'homosexualité, et parfois violent les bêtes. Clandestinement, la prostitution règne toujours ; on enregistre encore des cas d'inceste. Les statistiques révèlent que, hommes et femmes ont, plus que jamais, des plaisirs solitaires.

Par la prise de conscience des fautes commises, ces Temps-ci sont pires que ces Temps-là. Mais donnent une plus grande chance d'y remédier.

Toutes les erreurs du Passé disparaîtront en l'Age d'Or.

Les frontières supprimées, l'institution de la Planète entière sera basée sur le Couple. Chaque Couple sera indépendant et aura seul autorité sur lui-même, conseillé, au besoin, par le Couple Guide.

Les couples se grouperont en cités et se devront de fraterniser, d'échanger, de s'aider, de coopérer à la prospérité morale, spirituelle et matérielle de la cité. La cité sera guidée par le Couple Patriarche élu, jugé le plus capable.

Chaque cité ne dépassera pas le nombre maximum de 3.000 habitants. Si ce nombre se trouvait dépassé, le « surplus », avec l'aide de la cité, fondera prie autre cité.

Chaque cité se doit entraide et échange de toutes sortes. La Paix, l'Amour, la Fraternité, la Liberté, l'Egalité régnant, et chacun ayant la Lumière, qu'il puisait déjà dans le sein de sa mère, puis dans le lait maternel, le vrai Mariage, alors, sera partout possible.


L'Union de deux êtres (homme et femme) se greffe dès l'enfance, vers les quatre ou cinq ans. C'est d'abord une union de coeur, fraternelle, et forcément en dehors de toute conscience sexuelle.

C'est la fillette, à l'Intuition sûre, et ne pouvant se tromper, qui, sans même s'en apercevoir, choisit son petit compagnon. Le plus éloigné du sang de sa famille. Dirigée au besoin par les parents.

Dès lors, les deux familles tisseront entre elles des liens plus serrés. Le plus souvent, on laissera les enfants jouer et étudier ensemble. Ils apprendront à se connaître, à s'aimer, à se respecter, à s'estimer l'un l'autre, fraternellement, hors de toute passion charnelle. Les deux familles, au besoin, et à tour de rôle, prendront les enfants chez eux pendant de courtes périodes. On peut qualifier ce temps de « pré-fiançailles ».

Puis viendront les fiançailles (vers 16, 17 ou 18 ans, c'est selon).

Vers 21 ans (19, 20 ou 21, c'est toujours selon) le sexe de chacun étant entièrement formé et apte à procréer, ils se marieront, et choisiront leur demeure et leur cité.

Il sera sage que, pendant la « nuit de noces », les époux soient chastes. J'appelle nuit des noces, la nuit qui suit le mariage officiel et solennel. L'acte sexuel ayant été consommé avant, déterminant logiquement le mariage accompli à être enregistré publiquement, et fêté. Cela afin que nul ne puisse savoir, penser, ou dire à quel moment ils se sont « connus » pour la première fois.

La femme seule est souveraine et choisit l'instant.


IL N'EST PAS DE LIMITE A L'ACTE SEXUEL NORMAL ET NATUREL. Je dis bien : NATUREL. Il est inhérent au tempérament individuel et particulier du couple, et en fonction de l'âge des individus.

Les êtres étant SAINS et PURS, leur union surtout basée sur la fécondation spirituelle, sur la connaissance l'un de l'autre, la fraternité, l'estime, une aide mutuelle, chaque acte charnel sera Béni de Dieu.

Et, de même qu'un arbre ne fournit pas autant de fruits qu'il a de fleurs, le nombre d'enfants se stabilisera dans une juste mesure. Les problèmes de santé, sociaux et matériels, étant réduits à des efforts sains et indispensables, aucune difficulté pour élever les enfants.

Les époux ont vécu ensemble.

Ils mourront ensemble.

Si l'un des époux partait avant l'autre, celui ou celle qui resterait ne pourrait, maintenant c'est l'évidence même, se remarier. Ce n'est pas qu'il, ou qu'elle, se placerait dans un interdit, mais bel et bien que le fait ne POURRAIT PLUS être.

Ce Mariage étant vraiment indissoluble pour l'Eternité.


Pour résumer plus clairement :

1° Les fiançailles s'élaborent dès l'enfance. Ce n'est pas une obligation, mais c'est mieux ainsi.
2° Les con-fiançailles s'établissent pendant l'adolescence. Là encore, ce n'est pas une obligation, mais c'est toujours mieux.
3° Le Mariage se consomme à l'âge adulte. Là, c'est une obligation naturelle.

Donc, d'abord on se fie. Puis on se con-fie. Enfin on se marie. Plus exactement : on se crucifie (mise en Croix par OSOUEMA).

Que personne ne me parle de tabous ridicules et dépassés à faire disparaître dans le cas présenté ici. Tout effet découle d'une cause. A 80 %, les malheurs du monde proviennent de la méconnaissance ou de la désobéissance volontaire aux Lois du couple et des sexes. Une loi est une loi. Pour s'en affranchir, il faut d'abord lui obéir, pour que métamorphose se fasse. Alors seulement l'ancienne loi s'annule, et en paraît une autre, différente, plus légère, dans un contexte humain nouveau de progression logique et naturelle.

Tabous ridicules ? Allons donc ! Comment t'affranchir des poisons ? Certes, tu peux en avaler, mais c'est tant pis pour toi.

Je t'ai dit aujourd'hui ce que je pouvais. Le tome suivant aura un chapitre beaucoup plus détaillé sur l'homme, la femme, le couple et l'enfant.

Les Lois sexuelles ?

Elles sont simples et se réduisent à peu. Encore que dépendantes du lieu, du temps, et des individus plongés dans des situations plus ou moins faussées :

Pour les quatre races, ne pas procréer ni faire acte de chair avant la formation complète des sexes, qui débute vers les 21 ans. Parfois plus tôt, 19 ou 20 ans.

La femme est souveraine, et l'Acte se résume tout bêtement à l'Acte lui-même, COMPLET, avec ses rites NATURELS. Sans artifices outranciers. Ce qui n'exclut nullement les caresses.

Le Mariage, contrairement à tout ce que tu as pu penser et croire jusqu'à ce jour, ne peut, ne doit pas être basé sur la seule fécondation physique. Celle-ci étant donnée naturellement de surcroît, et découlant de la vraie fécondation : la spirituelle.

Sinon, l'accouplement n'est plus qu'un accouplement d'animaux, sujet à une perpétuelle insatisfaction que l'on cherchera en vain à combler ici ou là, avec celui-ci ou celle-là, et cent autres choses nocives.

Le reste, tu le sais déjà.

Interroge ta Conscience.

Crois-moi, elle parlera.