Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Programme ou psychisme des animaux - Jacques Graven

On parle de "pensée animale" dès lors qu'on observe les effets de ce qui ne peut-être une suite d'idées.

L'oiseau qui imite un animal blessé pour attirer le prédateur en l'obligeant ainsi à laisser échapper ses petits, en est un exemple.

Si cette "intelligence" était libre, elle s'appliquerait, en tant que raisonnement à d'autres cas de la vie de l'animal. Il serait alors possible de prouver que la forme logique de l'acte est répercutée à d'autres situations. Alors on pourrait parler d'intelligence. Sinon on peut parler de "programme".

L'assistance protectrice de certaines espèces vis-à-vis d'autres, et ce sans que cela soit payé de retour, ni que celle-ci n'apporte quelque avantage à l'espèce assistante, prouve une action n'apportant rien en terme d'évolution, et même nuisible puisque dépensière en énergie pour la survie des autres.

Dans une même espèce on peut trouver cela quand un animal va nourrir un congénère blessé.

Le parasitisme de la douve du foie, qui change d'hôte trois fois dans sa vie, prouve l'impossibilité d'un système de survie procédant du tâtonnement.

Le lombric est capable d'apprentissage. Il peut choisir, après un certain nombre d'essais, entre deux chemins, quand l'un des deux est néfaste. Il peut donc discriminer. Si on intervertit les deux chemins il se trompe, mais il lui faut alors très peu d'essais avant de comprendre qu'il est face au même problème, et il prend vite le bon chemin. Il peut donc généraliser.