Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Takouin, êtres mythiques indiquant la destinée (Islam) - Encyclopédie théologique de l'abbé Migne

TAKOUIN.

Les mythologues arabes donnent ce nom à ces êtres imaginaires que d'autres ont appelés parques, fées, sibylles, etc.; et quoique la théologie musulmane ne reconnaisse ni les divinités, ni les oracles des païens, les Mahométans ne laissent pas de s'accommoder de certaines fables fort anciennes qui représentent ces Takouin comme des êtres qui rendaient autrefois des oracles, et qui secouraient les hommes contre les démons. Le Kaherman-Namè dit que ces Takouin ont la forme humaine, sont douées d'une extrême beauté, et ont des ailes, de sorte qu'elles sont à peu près telles que nous représentons les anges. Il est fait mention d'une d'entre elles, nommée Schamaï, qui, avec six de ses compagnes, avait la garde de Sagfagan, géant à quatre têtes, vaincu par Kaherman; avec le secours des Takouin. Soliman Hakki, un des monarques universels antérieurs à Adam, les consultait dans tous ses embarras, et recevait d'elles des avis salutaires pour sa conduite et celle de ses Etats.