Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

L'oeil et l'aile réfutent l'évolutionnisme - Marilyn Ferguson

Le problème de l'apparition des yeux, dit R.L. Gregory, représente une contestation majeure de la théorie darwinienne d'une évolution par sélection naturelle. Nous pouvons construire de nombreux modèles expérimentaux totalement inutiles, dans une recherche d'un instrument nouveau ; mais c'est un processus exclu pour la sélection naturelle, car chaque étape doit conférer quelque avantage à l'organisme en mutation, pour être sélectionnée et transmise au long des générations. Or, à quoi peut servir un cristallin à moitié achevé? A quoi peut servir un cristallin donnant une image, s'il n'y a pas de système nerveux pour interpréter l'information? Comment un système nerveux optique aurait-il pu apparaître avant qu'il y ait un oeil pour lui fournir des informations ?

Raynor Johnson remet en question la possibilité d'appliquer la théorie de Darwin à l'évolution, par exemple, des oiseaux. L'apparition des ailes implique tout un ensemble de variations associées, souligne-t-il : il faut que les écailles se changent en plumes, que les muscles et l'articulation de l'épaule se modifient ; sans cet ensemble de mutations, les ailes ne serviraient à rien, et n'auraient aucune valeur pour la survie. Il aurait fallu que toutes ces modifications apparaissent en ensemble coordonné, et Johnson montre que l'apparition simultanée de tels ensembles est hautement improbable sous le seul effet du hasard. Ces phénomènes, dit Johnson, impliquent un dessein et des plans. Il espère qu'on pourra trouver une base de compréhension dans la théorie d'un « champ de l'organisme » soumis à « une attraction de l'avenir » en même temps qu'à « une poussée du passé ». Et le concept de champ, dit Johnson, évoque irrésistiblement l'esprit.