Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le non temps d'Arnaud Mussy - Xeon

Par son "retour" du "non temps", Arnaud Mussy a résolu le problème de l'irréversibilité du temps, c'est-à-dire de son impuissance à l'égard du temps, désormais contrôlé par les lois de l'espace, du "revenir".

Or nous sommes bien puissants sur l'espace. Ici les signes, les mots, servent de "moyen" de contrôle sur le temps, via une négation ("non" temps), c'est-à-dire une illusion géométrique grammaticalisée, valide comme forme visuelle intégrée dans nos têtes.

 

Puissant sur l'espace, il n'est plus impuissant sur le temps, et prend ainsi le contrôle de toutes les dimensions mathématiques.

Nous sommes impuissants sur le temps et puissants sur l'espace.
L'impuissance sur le temps est due à son irréversibilité.
pour le passé : nous force au remords.
pour le futur : nous oblige à l'attente.

s'il n'y a pas de temps dans le non temps, c'est que ces deux "problèmes" sont éliminés, puisque comme "non temps", il peut "revenir" de et vers n'importe quel "moment" du temps, pour réapparaitre à n'importe quel autre sur notre ligne chronologique de pauvre "mortel". Il ne peut donc connaître le remords. 
De plus il peut trancher "maintenant", décider de ce qu'il veut sans aucun problème de conscience, puisque tout, pour lui, est réversible.
Mais comme dans le monde réel il y a bien un temps, ses décisions mathématisées font loi, créent une nouvelle mémoire, puisqu'elles reconstituent une "nouvelle" logique temporelle, rendant irréversibles ses lois.

Enfin il n'a pas à attendre pour trancher afin de créer les "temps" de cette "mémorisation".

D'où comme nous le dira André Bouguénec à propos des "esprits tordus et tortus" faisant semblant de "ne pas comprendre" ce qu'est le non temps éternel : "un archiviste s'impose".

 

Un logiciel d'ontologie informe que le mot le plus présent dans Couple et alchimie est le mot "temps".

Des programmes d'ontologies bien construits permettent de trouver les axiomes d'un texte.

Elle décrit ses termes centraux.

Le "temps" est le mot le plus utilisé... et le "non temps" est au centre du projet d'Arnaud Mussy, donc son inversion.

André a écrit : "Je viens du temps", et Arnaud Mussy dit : "André et moi venons du non temps".

 

Il a été redéfini sur la base d'une torsion. André ne vient pas du non temps (cf. Courrier de 2006), mais du temps.

 

"Venir du temps", c'est avoir un vécu, concret, tiré du réel.