Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Sens de la parabole du sarment jeté au feu, et du figuier - André Bouguénec

Mais combien cette Loi d'Evolution fut stipulée sévèrement par Jésus afin d'être comprise comme obligatoirement à appliquer ! Jean XV-2 : "Tout sarment qui ne porte pas fruit en Moi, Dieu le retranche ; et tout sarment qui en porte, il l'émonde afin qu'il en porte davantage. Vous êtes déjà purs, à cause de la Parole que je vous ai donnée. Demeurez en Moi, et Moi, je demeurerai en vous. Ainsi que le sarment ne peut porter lui-même du fruit s'il ne demeure attaché au Cep, de même, vous non plus, vous n'en pouvez porter, Si vous ne demeurez en Moi."

Autrement dit, comme pour la parabole du figuier sans fruit, l'arbre, le plant, symbolisant l'homme qui est un porte-fruits conçu pour cela, ils sont évincés ou "mis au feu", quant à ceux qui commencent à porter fruits, ils sont "éprouvés" afin de solidifier leur être, de le rendre stable et fécond, jusqu'à ce qu'ils ressentent naturellement en eux cette Paix de la Loi de Vie vécue.

Couple et alchimie, p. 617