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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Droit divin dans les textes d'André Bouguénec - André Bouguénec




Autre Mystère de Marie

Il faut savoir qu'en l'église primitive, et selon les directives de Jésus, la confession des fautes se faisait entre frères : “ Confessez vos péchés les uns aux autres ” recommande expressément l'Apôtre Jacques dans son épître V-16. Et Matthieu dit en XVIII-15 : “ Si ton frère a péché contre toi, va et reprends-le entre toi et lui seul. S'il t'écoute, tu auras gagné ton frère...” etc. Aucun prêtre n'a le droit divin d'absoudre les péchés. S'il y a dommage envers une personne le coupable lui doit réparation, et seule celle-ci a pouvoir de pardonner devant un réel repentir. Quant aux contritions personnelles, cela ne regarde personne d'autre que le Seigneur invoqué.




EH
 
Il y a ce qu’était Judas en réalité il y a deux mille ans et ce que la rumeur en a fait. Mais tout se concilie. Pour comprendre le geste dénonciateur de Judas, il aurait fallu aux théologiens et aux exégètes, non seulement qu’ils vécussent avec les apôtres face à ce démolisseur de la raison qu’était Jésus, mais aussi en connaissant une Loi essentielle que les élèves de Jésus n’avaient pas encore comprise, malgré les nombreuses paraboles s’y référant. Or cette Loi est fondamentale pour la libre élaboration de la conscience divine en l’Homme.

Elle est si sacrée, si intangible que Dieu lui-même ne peut y toucher. Elle est intouchable, impalpable et pourtant elle “touche” tout homme à la moindre fluctuation de sa pensée. Lui seul, l’Homme, est habilité de droit divin à modifier cette Loi. Pour lui elle s’appelle la Loi de Liberté. Pour Dieu elle s’appelle la Loi de l’Esprit. Vous comprenez tout de suite qu’il s’agit pour l’homme de ses Libres CHOIX face à sa conscience et face aux événements. Il exerce ainsi sa volonté “créatrice” d’une énergie de BIEN ou de MAL, il exerce ainsi sa volonté quêtant la Lumière, la discriminant des “enveloppes” trompeuses ou nébuleuses, la reconstituant dans une hypothèse, puis une Thèse Universelle. Il a aussi le choix d’exploiter ses instinct débridés sans aucune volonté de les transmuter en vertus humaines et sur-humaines. Bref, dans l’homme est un combat suscité afin qu’il veuille être le vainqueur de lui-même.


Au même titre que les gouvernements modernes s’accaparent des savants chimistes, atomistes et physiciens, les pouvoirs royaux avaient besoin de toutes les innovations concernant les métaux pour les armes, les explosifs, les poisons, les arts etc..., privilèges de droit divin devant exclusivement concerner les ministères secrets des trônes. Nos alchimistes à cette politique gagnèrent fortunes ou perdirent la vie. Il n’est jamais bon de mêler ses pouvoirs au Pouvoir. Par ailleurs certaines découvertes étaient dangereuses et les alchimistes n’étaient pas plus fiers que nos savants actuels de voir le produit de leurs travaux servir en manigances d’intrigues et en destruction de vies humaines.
Mais la Science entraîne le cerveau de l’homme, malgré lui. C’est alors que la conscience, si elle accepte la recherche, refuse de plus en plus la divulgation des formules dangereuses aux mains de ceux qui en font toujours une arme plutôt que des moyens de progrès sociaux.