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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le moi se trouve en cherchant le 'Moi' divin, ou Son Unité - André Bouguénec

En ce moment, grand engouement de la philosophie qui consiste à chercher la vérité 'en soi' (dans l'individu lui-même). Chercher la vérité en soi, quand il n'y a rien dedans, que voulez-vous qu'on trouve ? Du vide, ou un complexe, un chaos extraordinaire. Comment voulez-vous trouver en cela, quelque chose de cohérent, un objectif qui va diriger un être humain ? Ce n'est pas possible. Et pourtant il faut mettre dans ce soi, dans ce moi, énormément de choses, comme dans un ordinateur.

Mais encore faut-il savoir trier, et à partir de quel critère, à partir de quelle base, à partir de quelle structure.

Ce que l'homme n'a pas. Il n'a aucun patron, aucun schéma de comparaison pour savoir si ce qu'il possède peut être mis en un état harmonieux, pour que son moi, son comportement, se trouve bien dans sa peau.

Ce sont les scientifiques américains, et quelques français, qui ont encore le mieux trouvé la réponse, qui est chercher le Moi Universel, qui est un principe divin, un principe créateur ; et nous sommes des petits moi, mis dedans.

Les parcelles du Moi originel, ce sont des petits moi. Le rôle de l'autocréation est de devenir non pas des éléments semblables les uns aux autres, ce qui serait désastreux, mais au contraire une diversité fantastique qui par la multiplication sexuelle permet par les chromosomes, de devenir de plus en plus, une différentiation fantastique qui augmente les possibilités géniales de chaque individu. A condition que tout se passe normalement.

Chercher son moi en se regardant le nombril, c'est mal partir car on ne trouve des choses en soi que si on a cumulé beaucoup de choses, et pas n'importe quoi. Des choses sensées, valables, compréhensibles, diverses, qu'il faut essayer d'homogénéiser et dont il faut tirer parti.

Et la recherche du moi, ce n'est pas de se regarder le nombril. C'est de prendre un crayon et du papier, de penser et de réfléchir. De mettre en note des réflexions.

Les gens qui tiennent des journaux, se rendent compte dix vingt ans après, que leur moi est alors complètement différent. Mais qu'est-ce qui a fait ce moi nouveau ? Est-ce la volonté, ou les aléas de la vie ? On peut comme ça avoir des quantités de moi ; et c'est pourquoi il faut avoir un but, un objectif, au développement de ce que je suis.

C'est la question de la mort inéluctable qui émerge alors. Ou il n'y a rien, ou il y a une métamorphose après.

S'il y a métamorphose, il y a quelque chose à faire pour permettre l'épanouissement, la valorisation de son être intérieur vers cette métamorphose. Alors si on laisse aller son moi à tous les courants d'air de la vie, il est évident qu'il n'y aura pas de métamorphose, ni préparée, ni visualisée ni conditionnée par une volonté personnelle, par une intelligence qu'on veut enrichir sur cette direction, sur cette conduite de vie.

On donne des 'permis de conduire' (religion, spiritisme), sacrements : bon, on passe de l'autre côté, mais si l'homme n'a pas cultivé son moi... un moi et pas 36 000, et bien cela continue de l'autre côté, avec tous les petits moi, mais encore plus fluctuants qu'ici, et après le moment de soulagement du passage, reviennent tous les problèmes, et dans des conditions plus vives et plus cruciales, car le double éthérique dépouillé de ses organes physiques est beaucoup plus libre, et la pensée s'évertue plus facilement, et visualise sa condition.

Tant qu'il en est là, c'est toujours le même marasme.

Or trouver son moi c'est trouver Dieu. Dans toutes les traditions, les philosophies de la sagesse étaient basées sur un principe créateur.

Un bon sens suffit a comprendre que l'Univers matériel, et surtout aujourd'hui avec toutes les sciences qui nous le décrit, se trouve lui-même comme quelque chose de structuré magnifiquement, concordant à une unité qui est celle de la subsistance de l'homme.

Tout concourre uniquement sur l'homme, pour qu'il subsiste, se nourrisse, et vive.

Il suffirait de changer, sur les milliards de phénomènes chimiques ou énergétiques, de changer la valence atomique d'un corps pour que plus rien ne puisse subsister. Sur les milliards de concordances, une seule erreur, et plus rien ne peut subsister.

On trouve son moi en cherchant un Moi extérieur : la source de vie (Aum, Om, Soleil, Dieu... ). Qu'on y croie d'une façon ou une autre, il faut y croire, et peu à peu monter dans cette génération des croyances, et déceler ce que c'est que cet X mystérieux qui nous a donné la vie. Et il est évident que si ce mystérieux créateur, ou son émanation, a donné des humains qui aiment, sentent, qui souffrent, qui pensent, qui sont intelligents, donc au moins cette source a cette possibilité d'aimer, de sentir, d'apprécier, etc.

Donc nous sommes déjà liés à ce principe créateur, et forcément ce Moi là nous est supérieur et c'est en le connaissant qu'on se connaît.

MOI = 37 = 10

10 c'est le divin manifesté.

Masculin (1) et féminin (0)

X en chiffre romain. Symbole de sexualité, du croissez et multipliez (le X en est le grand symbole). Le Moi est donc une multiplication.