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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Talmud : Conséquences de "Dieu" = Espace - Salomon Karppe

Dans le Talmud, Dieu c'est l'espace.

Etre prêtre c'est donc servir et demander les "grâces" de l'espace.

Si le prêtre est un représentant de "Dieu", il peut dire qu'il représente l'espace. Il peut et à même le devoir de dominer l'espace sacré des autres religions.

La mathématique peut alors se confondre avec la magie, au sens où la "formule" permet de contraindre "Dieu", c'est-à-dire l'espace géométrique.

 

Le mysticisme juif tend à combler l'abîme qui sépare la créature du créateur. Il s'appuie sur Deut. 33:26 et Ps. 90:1, où "Sa gloire chevauche les nuées du ciel", et il est appelé "le lieu d'Israël".

Le Talmud appelle Dieu "makom" (lieu, espace).

Il est écrit : "Tu es notre demeure". Psaume 90:1

On y lit : "Dieu est le lieu du monde, mais le monde n'est pas son lieu". 

Ou

"Prends garde de ne pas heurter, fouler des pieds la Shekinah".

Karppe comprend que Dieu est l'espace universel, dans lequel est contenu l'Univers, mais l'Univers n'est pas Dieu.

"Les anciens ont pour cette raison appliqué le mot "lieu" ou espace à l'essence (à la forme) d'une chose, parce que cette essence informe, détermine et limite l'objet, et puisque Dieu est l'essence de tout ce qui est, car il produit, détermine et limite tout, les anciens docteurs lui ont appliqué le nom de makom [...] et cette détermination est particulièrement belle. Car de même que les dimensions du vide entrent dans les dimensions du corporel et de sa plénitude, ainsi Dieu entre dans toutes les parties de l'univers, est le lieu qui les porte et l'espace qui les soutient". Talmud, Chasdai Crescas (philosophe juif qui conduisit directement à Spinoza).