Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le théâtre de l'absurde détruit le dialogue et la personne - Xeon

Si les sentiments sont toujours forcément "biaisés", il en résulte seule la science peut encore "parler" et "conclure".

Les chiffres tranchent par-delà tout dialogue.

Le théâtre de l'absurde, sous des couverts "artistiques" et comiques, ne fait que vendre le scientisme inhérent à cette vision que tout doit être absolument déterminé par le chiffre, et que la communication humaine ne vaut rien. Tout ce théâtre, qui se veut une image de la vie, rejette sa confiance en une communication possible par le dialogue. L'absurde étant introduit au sein même du langage, exprimant ainsi l'impossibilité de communiquer, d'élucider le sens des mots de l'autre.

Ce théâtre présente des acteurs tenant des propos perpétuellement déconstruits, déviant constamment de leur propre logique, pour finalement présenter une absurdité intrinsèque dia-logique insurmontable, chacun étant perdu dans son propre univers, sera incapable de comprendre l'autre. A la limite, on a affaire à des fous.

En définitive, il ne reste que les signes de la science, qui puissent s'imposer comme ultime "planche de salut".

Le théâtre de l'absurde prétend à une révolte, alors qu'il sert le système du tout rationnel, dans lequel nous vivons.

Il est le nominalisme fait art.