"Ce beau titre qu’ils avaient acquis, en s’appelant « sophistes », c’est-à-dire spécialistes de sagesse, est vite devenu et est resté jusqu’en notre temps synonyme d’homme retors". Jacqueline de Romilly, Les Grands Sophistes dans l’Athènes de Périclès
"Par expérience ancienne, j'ai insisté sur ma discrétion, mais peu à peu à mesure de mes exhortations à cette humanité complètement désemparée, de mes insistances sur les esprits leurrés ou confondus, le Verbe n'a pu s'empêcher de s'imposer avec une autorité qui en rappelle une autre. J'ai parsemé des allusions et des recoupements numériques et nominatifs qui incitent à deviner ce qu'il faut.." Avertissement, L'Ultime Grand Secret, André Bouguénec
A propos de non-temps et d'esprits tordus,
Petite histoire d'une désinformation par le "non-temps"
Une formule largement usitée par Arnaud Mussy, est l'expression "non-temps", dont il "reviendrait (cf. Courrier de 2006"). Mais une fois que sa traduction concrète et fondamentale a été trouvée, elle apparait clairement partout.
Quelques exemples confirmeront son intérêt pour ce thème.
Tel ce propos localisant le non-temps dans l'astral, là où les êtres "sont dans leurs chimères" et où le rêve permet de faire, curieusement "la loi". A quoi André répondra qu'il y a, en astral ETdu temps, mais surtout des temps différents, donc automatiquement : plus ou moins long, ET des lois.
Le Courrier de 2006 y fait encore référence, comme d'un lieu dont on peut "venir" ou "revenir". Nous ferons quelques renvois à ce texte.
Cf : scan de la première page du courrier

Enfin dans Satornet, on trouvera une formule désignant la même chose : "C'est donc ici l'ultime étape : te voici seul face à toi-même. C'est un instant magique empli d'Eternité !".
Ce "non temps" signifiant tous les temps, c'est-à-dire "présence", mais pas dans le même sens, selon qu'il y a, nous dit André Bouguénec, du temps dans le "non temps", ou bien "pas de temps". Cette dernière conception représentant un "contre sens".
Or ce terme permet en effet de signifier les deux sens : selon que le "non temps" indique : pas de temps précis, puisque le temps est infini, ou aucun temps, le sens de "non" devenant "0".
Mais qu'est-ce que le temps ? Personne ne peut le définir, puisqu'il faut du temps pour définir le temps.
On peut tout de même le décrire comme succession, procès et énergie.
Pas de temps signifiant alors : pas de procès, car pas de débat.
Mais bizarrement c'est tout le contraire qui va initier cette notion : le débat entre "fini et infini", notamment, et autres notions en rapport avec des tailles.
Mais ceci dit pour des "esprits tordus et tortus", qui donc créent un temps, un moment (une torsion c'est un jeu de forces en opposition, un couple qui fonctionne mal), dérivant alors sur le "non temps", comme solution et absence de débat : signifiant la sortie du "sas", où le débat n'a plus lieu d'être. La paix en résultant.
Mais quelle paix, si elle n'est que la mort de l'énergie. Ou encore la victoire sans débat... sans temps.
Le "temps" en effet est une énergie. Il permet de bâtir, de faire durer et perdurer. Et surtout après la mort.
Un "non temps" sans énergie après la mort signifie : pas de temps après la mort.
La survie, le "futur" de l'homme ne peut alors que se trouver sur Terre.
Le débat entre "fini" et "infini" se résolvant donc avec la mort de l'infini. Donc pas de temps.
C'est le sens déformé de ce "non temps" comme étant "sans temps", alors qu'il désigne en réalité "tous les temps", qu'André dénoncera comme typique d'une "torsion" effectuée par un esprit (issue d'un esprit tordu et tortu), lors de la réunion du 03 Mars 1995, par le propos suivant :
Propos d'André Bouguénec
Source
"Méditez et concluez vous-même, un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel, pour redonner l'essentiel de la mémoire perdue. Secret ? Mystère ? Peut-être. Toujours est-il, avec un peu de bonne patience, et de la bonne volonté, qu'il n'est rien de caché, de secret, qui ne puisse un jour être découvert, percé à jour, comme on dit.
Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille.
Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé.
Le sas est comme une toute petite portion infinie de l'éternité.
Bah, comme il est des esprits tordus et tortus, qui font semblant de ne pas comprendre, je vais moi aussi faire semblant. Semblant de croire qu'ils ne comprennent pas et m'expliquer un peu. Par ailleurs cela ne fera tort à personne.
C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau.
Prenez n'importe quel objet, ou n'importe quel être - j'insiste sur le "n'importe quel", il est à la fois fini et infini. Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel.
Dans l'éternel, l'éternité, les choses et les êtres sont à la fois finis dans l'espace et infinis dans le temps. Dans le temporel, les êtres et les choses sont à la fois infinis dans l'espace et finis dans l'éternel. Comprenez bien cela, et n'allez pas penser que dans l'éternel ou dans l'éternité il n'y a pas de temps. Vous feriez une grosse erreur qui fausserait votre jugement et vous empêcherait de comprendre. L'éternel ou éternité contient tous les temps, comme l'Ophnar contient toutes les dimensions, comme Dieux contient tous les dieux (vous savez que ce Dieux-là c'est la Matrice Mère Suprême).
Paradoxe n'est pas contresens et l'éternité qui comprend, contient et est tous les temps est aussi obligatoirement un non-temps par le fait même. L'éternité est, contient et comprend tous les espaces, mais c'est aussi un espace nul. C'est l'Aïn soph hébraïque, le sommet des Séphiroth, le rien.
Ainsi, maintenant que vous avez assimilé cela, (point d'interrogation), vous comprenez pourquoi dans le sas qui va se faire sans anéantissement par une volonté extérieure à la présente vôtre, mais cette volonté n'exclue pas la vôtre, ni votre participation, collaboration active, bien au contraire. Voilà, je me suis quelque peu répété mais je pense qu'il le fallait.
Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un tamis de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER). Partie entre deux portes étanches, les pressions étant différentes. C'est un passage. Celui qui ne fut pas sage ne passe pas."
03 Mars 1995
"Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé."
La contradiction c'est la crise, obtenue par la création d'images se servant de tous les temps : le fini et l'infini, pour faire disparaitre l'infini.
La demande est parfaitement claire, comme appel à l'analyse et à l'étude longue, patiente, au temps.
Car le "non temps" sans temps c'est la simplicité de la découverte immédiate, en immisçant dans l'image du temps long, un problème. Alors que le temps court sera la solution, rendue possible par un langage simpliste, nivelant, pouvant être compris par la simple image, une question de "taille".
Ce procédé d'induction mécanique naissant ("chose nouvelle") d'un débat contradictoire ("quand les choses anciennes se heurtent..."), en prenant l'image du "sas" ("un tampon de transition"), dont l'issue serait une réponse issue des seules "tailles" du temps donné à trouver la solution au débat : Qu'il n'y ait plus de débat, parce que l'infini a été évincé.
"Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille."
Ces tailles seront entre autres celles du "temps" : temps long (patience, étude, recherches...) contre temps court : vitesse.
Qui ira vite (parlant le langage fini), se rapprochera de la "présence", qui signifie dans ce contexte de tribunal (par le "sas"), l'admission à un système de vision totale.
Or, lorsqu'on est vu de partout, on se surveille soi-même. C'est l'auto-censure.
"Partout" c'est "tout le monde", comprenant le sens fini, simpliste de ce "non temps", destructeur du temps infini, jugé pour son manque de vitesse.
Autrement dit, ceux qui sont jugés, ce sont ceux qui... "prennent le temps de comprendre".
la mise en abstraction du "non temps"
Et comme ce terme maintenant isolé du réel, peut tout dire et son contraire, c'est le plus fort en gueule, le premier qui invoquera son nom pour contraindre les autres, qui en accepteront le verdict, trop apeurés qu'ils seront, de confondre ou de contredire "celui qui maitrise" ce terme, et en donne alors la valeur approchante voulue, qui ne correspond en fait qu'à ses préférences, son arbitraire.
Pour le salut de l'humanité, créons un "groupe", signifiant "l'amour" qui ira vite à faire taire, par la terreur de son nom : amour, vite compris. Quoi de plus simple à "entendre" et voir mentalement, qu'un groupe.
Groupe qui sous prétexte d'un nom : "amour", pourra alors presser les "retardataires" pour qu'ils s'intègrent à eux, ceux-là obéissant à celui qui maitrise le "non temps", qui en "revient", jugeant sans débat, c'est-à-dire : se faisant obéir sans débat, condition du salut de ce groupe parfaitement dressé par la peur des mots et de la mort, située au bout du "sas", pour qui n'est pas "sage".
Un "choc" est le fait d'un coup, d'où, on nous parle de dressage. Le fait de parler les deux langues permet de dresser à l'absence de débat. A la fin on laisse dire... et décider.
Les "fous" seront en effet isolés, ce sont ceux qui rejettent le groupe ou son mentor Arnaud Mussy.
Traduire : aller au plus facile pour contraindre la pensée de ceux qu'on veut se soumettre. La vitesse d'exécution d'une victoire sans débat, sera alors la preuve de l'efficacité de la méthode, bien plus simple pour dominer les autres, que de chercher le "difficile" chemin de la spiritualité, l'énergie de la recherche.
Le "ciel", où, dit Arnaud Mussy, "il n'y a pas de temps", mais "est une limite pour le passage d'une âme", n'est dans ce langage matérialiste, que le lieu où siège "le juge", celui qui conclue, arrête le temps.
D'où : ce "non temps" imposé par "celui qui pose des questions" (fait semblant de chercher), nous "empêche de juger", et nous mène progressivement à l'erreur "grossière", ce terme qualifiant l'erreur de celui qui ne voit plus rien de ce qu'il a sous les yeux, tout simplement parce que les mots (entendus) l'en empêchent.
Le "non temps" fini...
Le faux débat contradictoire est mené par celui qui contrôle "tous les temps", en apparence, par le fait de se situer comme le plus apte à "comprendre" les jugements de tous.
Mais il suffira de prétendre à une crise (comme le "sas"), pour assurer de la nécessité d'une compréhension d'exception : la vitesse.
Celle-ci deviendra ensuite une loi.
Son discours équivoque, permettra de faire croire qu'il ne fait que servir le "non temps", tout en créant un débat sur le sens de ses mots, afin de se poser comme étant à la mesure de trancher, de "juger".
Le faux débat contradictoire est initié par des formules associant les deux pôles de chaque mot : un pôle fini et un pôle infini. Ce jeu entre les définitions, suscitera débats et controverses au Phare-ouest, sur le sens des énoncés produits sous ces deux dimensions. Mais comme le terme fini est toujours présenté sous un aspect fort, et le sens infini sous un aspect faible, c'est le premier qui apportera la solution, la "paix", voulue par ceux qui seront sensibles aux signaux de la force (plus dressables que les autres).
Ce sens fini étant alors définitif, pour tordre petit à petit le sens de tous nos mots, et nous enfermer dans des projets décidés au nom des mots de l'infini, mais associés à des prétextes, des crises, permettant de les interpréter, exceptionnellement sous un "temps" fini. Cette exception devenant la règle quand dans le même temps, le "camp" de l'infini est disqualifié pour "mauvaise foi", rejetant le "groupe", de sorte qu'à la fin, tout l'infini ait disparu, et ceux qui y sont fidèles avec.
Les réfractaires se retrouveront ainsi piégés par leurs propres mots, se retournant contre eux. Ils se diront : si je suis contre Arnaud Mussy, je suis contre le "non temps" et il est normal que le "groupe" me rejette.
Le non temps, c'est le fruit de la rupture, l'interruption d'une succession naturelle, d'un temps naturel, pour sa transposition dans un cycle définitif et mécanique, permettant d'y enfermer l'homme dans un présent permanent, où il est "vu" de partout, de tout le monde.
Alors vont se créer des classes, désignées par leur "taille". C'est-à-dire des étiquettes : "sauvé" ou "perdu".
Le temps "sans temps" est le temps de la vitesse, du contrôle de tous les débats : "C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau."
C'est-à-dire autant de sujets mettant les individus en contradiction et permettant de créer des groupes, de les "tester" et de voir qui est sensible à l'argument de la "nouveauté", du progrès, de la "modernité".
Lequel des deux camps a raison ? Pour le savoir, il faut demander un arbitrage, et qui sera le meilleur arbitre, celui qui, en toute innocence, aura lancé le débat, permis de "soulever la question" cruciale, celle du "futur" après André Bouguénec.
Donc son "testament", décrit selon un problème de taille, de majorité et de minorité, c'est-à-dire de force.
Il suffit alors de parler les deux langages en même temps pour créer cette illusion : le fini et l'infini, le mécanique et le spirituel, pour trancher sur la solution mécanique, en toute innocence, c'est-à-dire la solution qui "tranchera", qui "taillera" dans le spirituel, pour paraitre "simple", et alors mathématiquement majoritaire.
Le sophiste, maitre du "non temps" aura ainsi toujours le dernier mot.
André précise alors justement qu'il n'est nul secret qui ne puisse être découvert : tout peut donc être "compris", quitte à devoir prendre du temps pour ce faire et décrit un moteur dont les cycles sont liés au temps linéaire, ce qui rend ce moteur vivant, inanalysable, puisque traitant de l'infini, mais pouvant être synthétisé comme suit : impossibilité de l'interruption du temps et de l'espace.
Ce qui annule toute possibilité de révolution négative après arrêt du temps, d'où découlera un temps à rebours, une révolution au sens géométrique, menée par un "esprit tortu et tordu".
Révolution à rebours, dès lors que l'infini est stoppé, toute "évolution" ne peut que revenir en arrière. En l'occurrence aux images simplistes de l'enfance, mais déguisées de science et mises en scène dans une mythologie empêchant toute compréhension rationnelle de ces questions, et permettant d'en tirer ce qu'on voudra.
Le "commencement", c'est d'ailleurs l'enfance, et si "un archiviste s'impose", introduction même du propos, c'est parce que le mot archive venant de arkhe : principe. Mais ici, pour servir dans le temps long.
Nous reparlerons de cet "archiviste" en toute fin de ce travail.
Les faiblesses du cerveau
"Comprendre" et "prendre le temps pour comprendre", c'est faire travailler son esprit, son intellect, et ne pas se contenter des images qui émergeront de toute façon dans le cerveau.
Evidemment, en amont de cet usage de notre esprit, il y a le choix du coeur pour la vérité complète, la lumière.
"Prenez n'importe quel objet, ou n'importe quel être - j'insiste sur le "n'importe quel", il est à la fois fini et infini. Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel. "
C'est d'ailleurs parce que la "vue" est complètement détruite que cette "erreur grossière" peut passer. Sans quoi elle serait vue, puisque grosse. C'est donc l'erreur issue d'une perte de lumière.
Le "choc" : une technique de dressage pour une "nouveauté"
Caresse ou coup, sont des moyens de dressage.
Caresse est tiré de caritas, amour.
Coup = Choc. "Drame".
Le coup, c'est ce qui est désagréable et ce à quoi on ne s'attend pas, car on croyait maitriser le "présent".
Ce choc imprévu empêche aussi la réaction et surtout prouve la force du dresseur.
Dans le cadre d'un discours qu'on croyait "ami" :
Le naïf s'engage sur un mot-slogan tiré de son langage exprimant ses valeurs. Exemple : fraternité, amour ("groupe").
Si par la suite il entreprend une action n'allant pas dans le sens ou pire, s'opposant au diffuseur du slogan, il se prendra le slogan dans la gueule, mais cette fois sous forme d'injonction à obéir, à rejeter ce qu'il faisait et se soumettre à la logique du groupe.
Le coup viendra de sa prise de conscience de son "égoïsme". Il apprendra ainsi à s'auto-réguler, car la "fraternité" est partout présente, comme entité invisible, et elle sera partout (non temps) pour vous surveiller et vous enjoindre au "progrès" au nom de la "crise".
Alors sera créé quelque chose de nouveau à partir d'un double langage : le mot "fraternité" prendra définitivement le sens de sacrifice, d'oubli de soi au profit d'un pouvoir nouveau, qui ne vous laisse plus être vous-même, donc anti-fraternel.
Le "dégout" des retardataires
Celui "qui ne passe pas", c'est le "fou" (celui qui "n'est pas sage"), qui est "jugé" par ce "tamis", ce "sas".
"Sas" qui sera le passage, la transition pour un changement de mentalité... mais selon notre coeur, nos gouts ou dégouts.
D'où le mot "tamis" usité à la fin, pour décrire le choix que cette "crise" inventée de toute pièce par des "esprits tordus", nous oblige à "trancher" et ainsi nous "séparer", pour pouvoir "passer", "survivre", "participer" et "avoir un futur".
Le "sas" n'est-il pas une sorte de "porte du ciel" ? Mais ce sera pour la fermer, et non pour l'ouvrir, pour dire à terme : nous n'avons pas besoin de spiritualité, puisqu'il suffit de calculer pour nous en "sortir", pour nous "libérer". Créons alors une religion matérialiste et "libérons-nous" des anciennes "croyances" qui ne nous plaisaient pas.
Ce re-TOUR-nement, ne sera, comme son nom l'indique, qu'une révolution (signifiant "retour") : celle du Phare-ouest.
André Bouguénec demande de "prendre le temps"
Pourquoi André Bouguénec nous demande-t-il de "prendre notre temps" pour "comprendre"... sinon pour exhorter à la nécessité d'accepter un temps long de travail et d'étude, seule apte à comprendre ce système diabolique de mise en suspens de notre cerveau logique naturel.
André enseigna maintes fois la nécessité de "prendre son temps".
Prendre son temps :
- "Son [au Christ] grand signe est AREPO, car il s'insinue en rampant, à travers toutes les choses, les mots, les idées, les croyances. Il n'est la Rectitude que pour le coeur. Pour la vérité, il est la SPIRE, et il a tout son temps...!" Courrier à Jean Feugey
- pour étudier les symboles, ce qui sera pourtant le propre de ceux qui travailleront intellectuellement par "gout", dans le futur : "La notion de temps changera radicalement sur celle trépidante du XXème siècle. Toutes les appréciations de la Vie, faites de rencontres, de découvertes, d'enrichissement intellectuel, etc... se goûteront plus intimement et plus intensément en "prenant son temps". Charte de l'ECHRUN
- pour l'avènement d'un potentiel de qualité, car la Mère, "voulant de la qualité, a mis du temps (source)
- pour comprendre les équivoques porteuses de confusion (ici même).
- En ce propos de réunion
- Ou ici
Dans l'esprit d'André, la Charte de l'Echrun, c'est le programme politique du futur, du Verseau.
Aussi, cette demande de "prendre son temps", permet d'effectuer un test : qui ne peut pas le faire ne cherchera pas, n'analysera pas ce propos, et ne trouvera jamais la solution. Le tri se fait alors de lui-même, entre :
- les matérialistes, ceux qui laissent leur cerveau "deviner", et qui rejoindront un jour ou l'autre Arnaud Mussy
- les tièdes et attentistes, qui ne se prononcent pas, mais louvoient entre les deux discours, tout en cherchant à se trouver une place
- et ceux qui cherchent, veulent comprendre le propos tordu d'Arnaud Mussy. Ceux-là seront rejetés par les deux camps du dessus. Les premiers par gout du pouvoir, et les seconds par peur de suivre un être aussi "dégoutant".
Inversement ceux qui voudront "comprendre" seront ceux qui répondront à la demande répétée d'André. Avec "un peu de patience" "Prenez le temps pour étudier ce qui vous est révélé".
Ce qui amène de mettre entre parenthèse ce qui n'est d'abord pas compris, mais sans perte de confiance, et par là sans oubli. A ne pas "choisir" sans avoir bien conçu.
Prendre son temps étant : participer de l'éternel, ce qui fait rentrer dans la classe de ceux qui sont "finis dans l'espace et infinis dans le temps" : les travailleurs, associant gouts intellectuels et applications pratiques, mais aussi évidemment la fidélité.
Qu'y a-t-il de plus "fini dans l'espace" et "infini dans le temps", que l'âme ?
Archiviste
"Donc projeter le Verbe, c'est avoir la conscience qu'il est un miracle en vous. Que vous n'êtes pas n'importe qui, que vous êtes le Verbe incarné." André Bouguénec
"Un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel". C'est-à-dire qui soit nommé selon des capacités et valeurs réelles, et non au hasard, par pure solution formelle, mathématique, pure "grâce" obtenue par une maitrise du langage.
N'importe lequel signifiant : de façon arbitraire.
Document : Empr. au lat. class.documentum « enseignement », b. lat. « acte écrit qui sert de témoignage, preuve », dér. de docere « enseigner, informer »
Les archives, c'est d'abord un métier, un travail. Elles sont le moyen de la fidélité de la mémoire, pour le plus grand nombre.
"Pas n'importe lequel", signifie : pas "élu" sur la base d'un raisonnement quantitatif, éliminant la qualité réelle, méritant cette tâche, parce qu'ayant travaillé dans le temps, et en ayant acquis une énergie pour préserver ces principes. C'est aussi le mérite.
La qualité se crée avec le temps, puisque seul le temps permet de différencier les êtres, de les qualifier, de "choisir".
Le travail de l'archiviste est de collationner ce qui vient du temps, des temps pluriels de l'incarnation du Verbe, à travers les grands auteurs, philosophes, penseurs, érudits, observateurs... Ce qui selon les propres dires d'André Bouguénec sera le critère du passage.
« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette 'Diaspora' 'tra-issante' ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement.
Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : 'l'Intelligence-Royale-de Dieu', contre laquelle l'homme doit 'lutter', 'l'emporter' (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette 'Agartha' invisible, enfouie dans les profondeurs de la 'Terre', c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »
André Bouguénec
Les 144 000 sont ceux qui ont forcément la plus grande mémoire, puisqu'ils sont les premiers hommes (ils ont voyagé dans tous les espaces et les temps). C'est pourquoi ailleurs André en fait logiquement des archivistes.
"LE NOM DE TOUT (=144) s’est incarné (Verbum incarnatus est) lors de “l’implantation” des 144000 sur la Planète “Bleue”. Ils ont pris possession de la Terre et du Verbe en une Première langue que les Génies Semeurs extraterrestres leur ont apprise. Instruments inconscients du Verbe, les premiers humains et leurs descendances, devinrent à leur insu... les Archives célestes, ils étaient la famille Noé du Futur !" Entretien avec l'homme, André Bouguénec
Nouel = Noeud liant les temps anciens et futurs.
Noël c'est aussi le retour de la lumière.
"C'est ainsi que "de Temps en Temps" d'un Temps à l'autre, l'homme se nourrit de ses Saisons et aussi de l'Envoyé du Temps, de Celui qui le domine, Dominus : le Seigneur du Temps : l'Alpha-Oméga ! La fin des Temps fait le noeud de tous, elle les croise. Ce Noeud cyclique, c'est le Nouel, le Noël qui noue la fin des ténèbres au lever de la Lumière" André Bouguénec, De temps en temps, in Entretien avec l'homme
Conclusion"documentée"
Pour conclure avec une preuve de cette inversion-révolution : André Bouguénec écrivit qu'il vient du temps.
Donc pas du "non-temps", comme Arnaud Mussy l'écrira plus tard, dans son Courrier envoyé au Phare-Ouest en 2006.
Parce que "venir" du non temps c'est, par une spatialisation se formant immédiatement dans les cerveaux passifs, c'est s'en éloigner et par-là se réduire, disparaitre en "taille".

Papier libre, placé en première page du manuscrit d'André Bouguénec, Le Carré Sator
Ajoutons encore, pour le plaisir, cette petite anecdote de réunion, qui répond de façon nette à la "venue" géométrique d'Arnaud Mussy :
André avait un auditeur, dont il parle.
Arnaud Mussy demande si cette personne a eu des réactions.
André répond :
"Il écoutait. Ah si, il a demandé :
- D'où vous venez ?
- De moi."
Un texte d'André Bouguénec, parlant de coeur et de secret
Le secret de l'Initiation
Il y a des secrets, si secrets, que tout le monde les connaît... sans savoir que ce sont des secrets »
Le Secret ?! c'est le secret de Polichinelle-Et puis quoi ! "La Maison de Vie" pauvres compliqués, c'est La Terre, dans laquelle il faut faire entrer notre coeur.
« Cherchez et vous trouverez ! » Un secret ne se trouve pas, ce qui est pour l'homme, Dieu le donne.
Je vous ai écrit longuement, chers faux initiés ! Oui je vous ai "secrété" (mot que vous avez repris) des évidences, si évidentes qu'elles aveuglent votre vision trop imbue de vaines Glorioles.
« Le Secret de Dieu » - 135
« Le Secret de l'Ange = 135
c'est Moi qui les ai, et je ne les donne pas à ceux qui se croient "initiés", mais à mes "Petits", simple de coeur et ouvert d'esprit. Seul je peux SECRETER = 93 - parce que "LA SOURCE" = 94.
L'Initiation est partout et par Tout, dans la Nature et dans le Verbe. Il n'y a pas de "secret" qui ne se découvre, puisqu'ils sont de faux secrets et conçus pour être trouvés, ET COMPRIS. Oui connaître un ou des secrets, est d'abord un égoïste et forcément un sectaire.
SECRET = SECTER
Mais il est un fait que la Connaissance ne peut s'élaborer que sur évolution de l'intelligence, que sur leçons progressives, et pas à n'importe qui. « Ne jetez pas les perles aux chiens ! »
Le premier et le dernier Secret de l'Homme, c'est son coeur. S'il ne l'ouvre pas, il peut chercher partout, sans cesse il se leurrera, il regardera mais ne Verra pas, il touchera mais ne pénétrera pas...
"Le Secret de l'Homme" = 162
87 9 66
c'est 1 Coeur (62)
Les VRAIS Secrets divins ne se découvrent pas, jamais, ils sont donnés à bon escient. Il y a des Mystères inviolables, ils sont "secrêtés" à quelques uns, aptes à les comprendre et à les Respecter.
A. B.