Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Notes sur le film 'Nos enfants sous influence' du porno - Nos enfants sous influence

Une première excitation sexuelle va être marquante chez les jeunes, et ce contexte spécifique sera érotisé et codé, laissant une empreinte dans leur mémoire. Ils sont d'autant plus impressionnables que sans expérience préalable, ils n'ont aucun sens critique développé. Ils ont des émotions et des sentiments qu'ils ne sont pas capables de gérer à cet âge.

Les femmes particulièrement souffrent alors de répercussions en ce qui concerne leur estime d'elles-mêmes, en fonction du contact qu'elles ont avec la sexualité.

Pour les garçons, ils sont tentés par l'image que cela donne, d'avoir toujours une fille accrochée à eux. Surtout s'ils se cherchent une identité. Cela donne un pouvoir, une autorité, la capacité à se décider, oser. Cela les empêche de voir ce qu'ils sont réellement.

On demande à un groupe d'ados de se décider sur la nature de deux images presque identiques d'une femme en situation d'érotisme, et mises en comparaison : l'une venant d'un film porno, l'autre d'une revue pour ados. Aucune différence ! Les ados sont ainsi amenés à trouver cette apparence comme banale. Internet présente un contenu accessible à tous, et pouvant traumatiser les plus jeunes.

Les codes pornographiques ont infiltré tous les domaines de notre vie.

Téléréalité : alimente un certain voyeurisme. Jeux où l'on se choisit et où l'on s'élimine.

Perte de sensibilité, d'appréhension de l'autre. Il y a une telle normalité que les jeunes ne différencient plus le réel de l'imaginaire imposé de façon omniprésente. Pour eux, la sexualité c'est ce qu'ils voient dans le porno. Pas de tendresse. Si on demande aux filles si elles sont heureuses ainsi, elles disent que non. Leur souhait est d'être aimées, d'être respectées, heureuses, mais elles ne savent pas comment cela peut se faire. "Maintenant madame, tout le monde nous drague comme ça", dit l'une d'elles.

Curieusement, d'après un témoignage d'une professionnelle de l'enfance, le porno est partout, alors que l'on ne parle pas de sexualité avec ses enfants. Les enfants ne savent pas, n'osent pas en parler à leurs parents. Ils sont gênés.

D'après un médecin, il y a nombre de filles qui ne savent pas si c'est normal ou pas de faire cela par n'importe quel orifice.

Il y a une violence faite sur les filles : physique, psychologique, économique, politique (qui ignore…). Les garçons demandent et les filles ne savent pas refuser. De plus la mentalité égalisatrice les rend elles aussi porno-dépendantes.

Le pouvoir de la sexualité a toujours existé. Le message désormais envoyé aux filles est que c'est désormais leur seul pouvoir de séduction. Une fille qui a de l'assurance doit être une pute (et vice-versa).

Solution : développer l'esprit critique des filles pour leur apprendre à décoder l'environnement avec lequel elles sont en contact.

Interdire ne sert à rien. Plutôt leur apprendre à faire un choix éclairé dès le plus jeune âge. Apprendre aux filles qu'elles ne sont pas seulement des images, mais qu'elles sont des personnes à part entière.