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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le coaching travaille au consentement à la "docilité" - Rappin (Baptiste)

Taylor voit dans la flânerie un acte volontaire et malhonnête de l'ouvrier, qui avance lentement, par pure méchanceté.

Conséquence : désorganisation, paralysie.

Pour Taylor, il faut reréguler cette perte d'énergie.

Le management transforme ces désirs mauvais (pas de respect des délais, des horaires...) des campagnards venus à la ville.

Il s'agit donc de réguler pour les adapter aux pratiques de travail de l'usine, de l'appareil de production.

Il faut contrôler, examiner, réguler, pour qu'une coopération harmonieuse ("amitié") entre ouvriers et employeurs soit possible.

Il faut aligner le désir de l'ouvrier sur le désir patronnal.

il faut corréler le salaire à la cadence (la "pièce").

Plus je produit, plus je gagne, plus les désirs sont alignés.

Le travailleur doit aussi être encouragé à amééliorer les méthodes en vigeur. il faut "changer les attitudes mentales des travailleurs" Taylor

Une discipline moderne étudie ces procédés : "Le comportement organisationnel".

Herbert Simon a développé cette discipline. Il est aussi le père de l'intelligence artificielle. La base des comportements est informationnelle. Contrôler l'informaiton permet de le contrôle de l'homme.

C'est aussi lui qui crée la notion de rationalité limitée (faiblesse cognitive de l'homme). L'intelligence artificielle remédiant à ces déficiciences humaines.

Solution : création de capteurs artificiels récoltant des données que nos sens limités ne peuvent percevoir, puis créer des algorithmes pour traiter ces données à la place du cerveau humain (base du raisonnement transhumaniste).

Le management organisationnel étudie l'intériorisation des buts de l'organisation, dans l'individu. Ce que Simon appelle "docilité".

Les consultants et manager appellent cela : "savoir-être, "mobilité", "agilité".

Simon s'inscrit dans la mouvance cybernétique. Réunion des conférences Macy cherchant une unité des sciences. Cette unité est : l'information logique.

Dès lors, l'artificiel et le naturel, l'ordinateur et le vivant, sont placés à pied d'égalité.

L'un et l'autre sont des machines à traiter de l'information.

Des protocoles de raisonnement, nommés programmes ou algorithmes, permettent de traiter l'information. La notion de programme intéresse les sciences humaines actuelles, notamment en rapport avec les psychothérapies.

Jusqu'à la création de l'Ecole de Palo Alto. Il en ressortira des apports théoriques et pratiques largement mobilisés dans le coaching et toutes les formes d'accompagnement post-moderne.

Bateson, dans les années 60, se retrouve à l'Institut Esalon, où nait le New-Age. C'est dans ce cadre que nait le mouvement de développement du potentiel humain.

Autrement dit le coaching.

La cybernétique et les spiritualités les plus hétéroclites s'y rejoignent dans le moule du Potentiel humain.

On y fonde encore la PNL (Programmation neuro-linguistique).

On y trouve Eric Berne, fondateur de l'Analyse Transactionnelle.

80% des ouvrages des coach, renvoient à ces auteurs et courants.

"Le vecteur contemporain de la cybernétique n'est autre que le coaching... pour soutenir la managérisation générale de notre existence".

Exemple concret : Une femme manager se sent dévalorisée dans son travail. Elle va voir un coach qui ne cherche pas à savoir si elle a raison ou pas, si elle est dans son droit ou pas, si ce qu'elle dit est vrai ou pas, mais seulement ce qui concerne sa responsabilité dans son adaptation au système. Elle est renvoyée à elle-même, pour qu'elle "change" ses "sentiments" à l'égard de l'organisation.

Elle doit changer sa perception et celle qu'elle renvoie aux autres.

Tout le travail de questionnement et de reformulation de la part du coach, a pour but de remettre en question le style du travail de la coachée ; elle doit changer ses "représentations" et ses "comportements managériaux" afin de pallier au problème.

Tout ne se fait qu'en surface : "que dois-je faire pour"... (être fluide) relativement à l'environnement.

Le coach ne cherche que l'adaptation du coaché à l'environnement.

On demande à la personne de se construire une réalité auto-fondée, et de reconnaitre qu'elle est toute puissante pour faire évoluer son "potentiel" (alors qu'elle ne fait qu'intérioriser la mécanisation du pouvoir).