Au commencement était le Verbe, la parole". St Jean
Le texte c'est un document, le document c'est un témoignage. C'est un testament.
une table, c'est un endroit où on lit (taper du poing...).
C'est là où on juge les textes, ce qui va contre la parole, le fruit d'un temps personnel, d'une expression profonde, propre.
Le texte c'est ce qui est commun. Ce qui est commun est fixé et nous oblige à participer de ce "signe" comme "lettre".
Le "texte" commun s'impose à notre cerveau, qui devient : "accepter le sens admis par la majorité".
Dès lors la parole personnelle est détruite, sauf celle de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA".
Le fait de détruire-manger le mot "parole" bloque notre cerveau à la compréhension de ce terme.
Elle est une faute pour les uns, et une force pour les autres.
La vitesse c est la vitesse de replication des idees, des lors que l on traite du sens du texte par des images simples et suscitant une force.
D ou les individus qui n y adherent pas sont lents etc.
Devant adherer au texte commun leur parole - ce qui est personnel, propre - ne vaut plus rien.
Mais on garde le mot et la fonction de la parole devenue celle du commun.
Donc de celui, le plus abstrait, qui peut la dire.
Elle n est plus rien d autre qu un outil de pouvoir detenu par celui qui s arrogera le sens commun du texte.
Et s il faut aller vite, c est pour forcer a l admettre.
Ce sens va pouvoir passer ensuite a l etape suivante : detruire ce commun pour en tirer slt ce qu il veut.
Il doit proceder par ordre
Detruire les autres livre - l exterieur.
Puis les opinions interieures, les travaux personnels...
Enfin reduire le texte a sa seule expression judiciaire.
Pour finir par supprimer le texte et reecrire le sien, slt scientifique.
Opinions de lecteur
Suppression des autres
Puis d andre
Mais conserve les livres
S en sert comme preuve jugee par la vitesse - le commun se demultiplie.
Puis pouvoir par le dilemme
Reproduction sans génération, sans succession = génération ultra rapide.
Par le matériel commun. Le texte.
Plus de parole personnelle.
Mais le mot "parole" reste, pour permettre à un seul d'en conserver l'usage encore valable : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA"... après avoir disqualifié (mais sans la réfuter), la parole d'André Bouguénec.
André m'avait dit : "atention aux axiomes qui sont dans les textes".
Un principe c est un commencement
Un axiome... dans les textes. Donc un axiome, un commencement pour couper la parole.
Pour comprendre il faut prendre par le commencement.
Revenir a la parole.