Mots et liberté.

On crée un message avec des mots interdisant de rejeter la valeur "spiritualiste" de ce message.

Ou : On te temande d'adhérer à un message que tu ne peux pas refuser, mais en te disant : "tu as le choix". 

Mais on ne te dit pas que les mots de ce message ont en plus un sens différent, seulement "probable", mais opposé à celui que tu entendais. C'est l'art de l'équivoque, mêlant dans une même prose, un discours pseudo-spiritualiste et un discours rendant esclave, un discours de pouvoir.

Ce sens sera entendu différemment selon le coeur de l'auditeur.

Plus tard, les auditeurs sensibles au désir de pouvoir, finissant inéluctablement par "entendre" en eux le message matérialiste, le valideront et pousseront alors les autres, les spiriitualistes, à valider selon le sens du pouvoir, qu'ils n'entendaient pas, ou si peu, ou bien encore : ne voulaient pas entendre, par peur de critiquer cet homme, ce pur Tartuffe, au discours si élevé, et ces matérialistes désormais acquis à l'imposteur Arnaud Mussy diront aux spiritualistes : tu t'es engagé librement sur les conséquences de ce qui est dit dans le message, et maintenant tu es responsable devant la société de ce que tu as accepté librement hier.

L'extrait ci-dessous explicite, par une question rhétorique, la création d'un système de formules répétées, qui finiront qui finiront par générer des idées (principe des actes à venir, provoqués par l'émetteur d'idées, qui peut alors sur-veiller - il est "Dieu" - ses acteurs.

A quoi suit l'annonce d'un "passage" de test ("tête" et "test" ayant même étymologie) en termes de langage. 

Langage contrôlant des marionnettes se croyant libres, alors que leur "JE" est un AUTRE, croyant choisir des mots qu'on leur souffle.

Ces mots seront choisis selon le critère de la vitesse, de leur faculté de donner du pouvoir dans le dialogue, le débat, et permettre de vaincre tout adversaire, selon le coeur de l'auditeur.

"En principe, cet "En-Tête", n'est-il pas pour Dieu ou pour tout homme, le siège de la pensée qui précède toute action ?

Non seulement les MOTS que nous utilisons quotidiennement sont le miroir de notre âme, mais ils sont également le MOTeur de nos agissements.

Chaque vocable que nous utilisons "fut" préalablement pensé, conçu dans "l'En Tête" du Créateur. Ainsi, l'homme ne conçoit pas les mots qu'il utilise lorsqu'il PARLE, puisqu'il passe "PAR-LE" Verbe divin. La préposition PAR exprime bien un moyen qui est donné ; son origine latine, comme PAR hasard, est "PER" (mot que vous retrouverez dans le Carré Sator).

Faut-il s'esclaffer ou pleurer lorsque l'homme, ivre d'indépendance, se proclame propriétaire de "son" verbe... alors qu'il n'est sur cette planète qu'un simple LOCuteur, ou plutôt, un simple "LOC-A-TERRE" ? De toute façon si Dieu Est présenté comme l'Alpha et l'Oméga de Tout, s'il Est Celui qui Est, le JE de Tout, le Moi de tout le monde, alors QUI PARLE à travers les marionnettes humaines, sinon Lui, toujours Lui : le HAUT-parleur ? Les hommes n'ont, en tout et pour tout, qu'à choisir dans ce qui leur est soufflé. Méditons sur la citation d'Arthur Rimbaud : « Je est un autre. »"

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"Il est évident qu'aucun pouvoir divin ne serait envisageable sans une parfaite maîtrise du Temps, ou plutôt des Temps.

Dans cette "OMNI (cf. : tout) po-TEMPS-ce" il faut deviner, par simple dé "FINITION" (cf. : qui vient du FINI), la puissance de Celui qui "MAÎTRise" tous les Temps (cf. : « Je Suis Celui qui Suis »).

"A présent", si nous observons attentivement la figure présentée page suivante, nous distinguons dans un cercle, la ronde, la "ROTAS-ion" des Temps représentés par les Alpha / Oméga."

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"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?"

Satornet, Arnaud Mussy