Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Verseau : La science devient une religion démontrée - André Bouguénec

La science prépare le troisième millénaire brusquement « prolifique » à l'heure dite et comme il fallait, elle délivre sous forme d'observations, d'hypothèses, des messages révélateurs, essentiels, pour l'homme d'aujourd'hui et de demain.

Les philosophes deviennent les philosophes d'une méta et supra physique de l'Esprit constituant la Matière même.

L'homme recrée ce qui était déjà (en parlant, en nommant les choses), et ce faisant, il se recrée aussi.

A chaque étape, ce Dieu prend en lui plus d'expansion et change de « visage » mais ce qui compte c'est l'admiration, puis l'amour qui à travers ce « Dieu », croît sans cesse vers la paternité et maternité créatrice qui a suscité un tel cheminement et un tel cheminant émerveillé à l'infini.

[...] La science, jusqu'ici, était en « grossesse ». Son savoir encore fœtal, plein d'espérance d'une connaissance globale, unitaire et « formelle » reliée à un principe dont les pionniers supputaient, et selon la tradition millénaire, une créativité structuraliste, ne laissant rien au hasard.

Une nouvelle Eglise naît, celle des prêtres de la Matière-Esprit. Ceux-ci ne se contentant pas de symboles ni de rituels, ils commencent à démontrer rationnellement ce Dieu archi-tecte et les conséquences de cette réalité dans les comportements humains liés à une destination exigeante de perfectibilité humaine.

[...]

La science ne peut être totale et vraie que par les relais qui la rendent « homo-gène ; elle doit entrer en religion.