Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Rejet de la rhétorique par la modernité - Varia

L'Eglise a carrément versé dans la rhétorique.

A la Renaissance on la détache de la dialectique, selon qu'un raisonnement rigoureux ne peut être entâché d'une forme "séductrice".

au XVIème siècle, le savoir religieux admet la portée de la rhétorique. La partie elocutio (cf. Quintillin) est utilisée par l'Eglise.

Les Jésuites sont, durant la période classique, les principaux vecteurs de son enseignement.

La Révolution prétend la rejeter au profit du français, langue "claire" et "incorruptible".

La pensée positiviste voit dans l'écriture scientifique le seul type de discours permettant d'accéder à la vérité absolue.

La rhétorique est alors considérée comme un mode d'expression à rejeter comme "art du mensonge institué".