Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

La Révolution française contre le peuple - Joseph de Maistre

Joseph de Maistre met le doigt sur le caractère violent, brutal, sanglant de la Révolution Française. Il pose ensuite la question : Comment la liberté du peuple pourrait-elle émaner d'un tel bain de sang ?

La Nation nouvelle centralise le pouvoir à Paris, coupant ainsi le peuple de ses élites.

"Le droit des peuples se borne à nommer ceux qui nomment ; où non seulement il ne peut pas donner de mandats spéciaux à ses représentants, mais où la loi prend soin de briser toute relation entre eux et leurs provinces respectives, en les avertissant qu'ils ne sont point envoyés par ceux qui les ont envoyés, mais par la nation ; grand mot infiniment commode, parce qu'on en fait ce qu'on veut.

En un mot il n'est pas possible d'imaginer une législation mieux calculée pour anéantir les droits des peuples. Il avait donc bien raison, ce vil conspirateur jacobin, lorsqu'il disait rondement, dans un interrogatoire judiciaire : "Je crois le Gouvernement actuel usurpateur, de l'autorité, violateur de tous les droits du peuple qu'il a réduit au plus déplorable esclavage. C'est l'affreux système du bonheur d'un petit nombre, fondé sur l'oppression de la masse. Le peuple est tellement emmuselé, tellement environné de chaines par ce Gouvernement aristocratique, qu'il lui devient plus difficile que jamais, de les briser" (interrogatoire de Babeuf, 1796)."