Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > André Bouguénec > Etudes, résumés, analyses (Xeon)

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Pourquoi Arnaud Mussy a écrit une "Opinions de lecteur" - Xeon

Code EAN 8/13 ou code UPC : 1996-07-24

Décodage du texte d'Arnaud Mussy, placé en introduction de l'Ultime Grand Secret, d'André Bouguénec

 

Le texte :

 

Table des matières :

- Opinions de lecteurs ........................................................9

[...]

 

Un Lecteur :

En cette fin de siècle où tout semble avoir été dit, au point de nous persuader que rien ne peut modifier le cours des événements, ce mystérieux auteur nous propose son 7ème et dernier ouvrage, et livre en-Fin sa véritable identité avant de partir.

A l'image des nombreux lecteurs enthousiastes qui lui écrivent quotidiennement, vous comprendrez, alors, l'ampleur de ses révélations dé-VOILEES aujourd'hui en vue du proche a-VENIR.

Amis lecteurs, interrogeons-nous !
Ne reconnaît-on pas l'arbre à ses Fruits ?

Alors… Qui peut révéler "L'ULTIME GRAND SECRET" avec autant de CLARTE, de COHERENCE et de MAITRISE, si ce n'est Celui… ?

… Je n'en dis pas plus, car à cet instant il vous est DONNE l'occasion d'entrer dans ses livres, et de vérifier par ce pré-CIEUX conseil : "faites la preuve de tout" !

Et là, lecteurs de tous bords, vous constaterez qu'en cette période cruciale de choix, André BOUGUENEC nous pose un SACRE dilemme !

 

 

Avertissement équivoque d'Arnaud Mussy :

"Oui, alors j'ai eu le plaisir de lire le Grand Secret dès mon retour de vacances. Donc je l'avais lu préalablement avant de le saisir par ordinateur, pour mieux comprendre le fond [entendre : ce qui s'effondre, qui va vers l'entropie] parce qu'après on a une lecture un peu biaisée [entendre tordue, signe de maladie]. [D'où la nécessité d'une transformation opérée dans le sens ] Effectivement, j'ai trouvé que ce [il y en a d'autres] Grand secret résidait beaucoup plus dans l'enchainement [une axiomatique] d'idées maitresses de l'enseignement d'André. 

Si ce n'est une aparté par rapport à la parole qu'André donnera tout à l'heure [André parle en aparté, par rapport à la parole, claire, d'Arnaud Mussy], et c'est justement un éclaircissement, un grand secret qui est plus précisément un éclaircissement, heu (pas certain, comme si des guillemets devaient être ajoutés avant : ], limpide, sur ce qu'est le Verbe au début de St Jean, qui parait de prime abord [dans une lecture faible], et qui là [dans la lecture biaisée], trouve toute sa substantifique moelle à la lecture de ce Grand Secret [elle-même corrigée par un nouveau sens]

Donc il y a évidemment 3 ou 4 paramètres [mise en place dans une géométrie] centraux [en croix, parce qu'il devient alors le centre du calcul, selon ce secret : traiter géométriquement nos mots naturels pour nous amener à les entendre politiquement et selon un schéma aussi invincible à réfuter qu'invisible : d'où grand secret] de l'enseignement d'André qui appuient, qui tournent autour de ce grand secret [cette "tournure" devant amener à comprendre, par induction, qu'un autre message est passé par toute cette équivoque d'Arnaud Mussy]. Vous verrez que c'est extrêmement intéressant et limpide [une fois traduit selon ce sens].

  

Source :

C'est donc ce préambule qui fonde cette "Opinion" de "lecteurs".

 

Notons enfin l'étonnante confusion des explications renseignant sur la décision d'une telle insertion : Trois en tout. Une d'André, et deux d'Arnaud Mussy.

André : C'est parce qu'Arnaud Mussy l'a aidé à saisir son ouvrage sur informatique. André dit bien : "Parce que... Arnaud [l'a aidé] avec son appareil... ." Appareil désignant ici un ordinateur. Ce n'est qu'un retour, pesé en fonction de la prestation de service dont le prix est estimé à... Parce qu'il s'est rendu "utile".

 

Arnaud Mussy nous livre quant à lui sa raison : un retour, un événement géométrique, de vacances, lieu de plaisir où il reprend de l'énergie. Toujours Arnaud Mussy se présente, géométriquement, ici comme en approche d'une présence au Phare-Ouest.

"Oui, alors j'ai eu le plaisir de lire le Grand Secret dès mon retour de vacances."

 

 

Pourquoi des "opinions"

Une opinion, c'est une probabilité. Une probabilité qui avance et qui finit par devenir une vérité, induite par la répétition des formes présentées à l'esprit, soit par la vue, soit par l'ouïe : les mots

Ici, c'est le nombre de "dits", qui va induire une conclusion : un "point", duquel sera déduit l'inéluctabilité des événements.

Ce "nombre", c'est l'entropie de la complexité, qui ne peut plus que se désagréger en "événements" lui faisant perdre son énergie, ce que "rien ne peut changer".

Cette énergie sera récupérée par "celui qui peut en dire plus", lequel s'adresse à des "lecteurs", qui ne sont que des "images", autrement des imitations... des répétiteurs et des récitants des leçons de leur maitre, bien apprise et en choeur. C'est d'ailleurs ce nombre d'individus répétant la même chose qui surprend, et tend ses opposants à douter, à se trouver "seul", comme en "disant moins".

 

En créant ce problème fondé sur une simple probabilité d'arrêt du temps ("tout semble"... "rien ne peut changer"), Arnaud Mussy sait qu'il va induire une idée (comme en hypnose) : celle de l'inanité de la recherche, sa qualification en perte de temps, en ce qui concerne la complexité. Elle devient une énergie dépensée dans le vide. Elle tire à l'entropie. Et ses chercheurs à la mort (forcément, ils en diront moins !).

Le terme "quotidien" de ses "révélations", renvoyant à un temps se répétant en permanence, sans espoir de changement, après que celui-ci ait été arrêté : "plus d'événements". Cette formule représente le moteur de l'inutile, le non progrès. Renforçant cette accusation de lourdeur, de manque de "jeunesse"... C'est la mise en minorité de ceux qui vont aller vers l'entropie, car ils ne renouvellent pas leur énergie (que pourrait leur fournir celui qui peut "en dire plus").

S'opposant à celui qui peut "en dire plus" qui à force d'augmenter du fait de l'induction créée, permettant de faire monter sa graine dans nos têtes, devient majoritaire.

 

L'inversion est totale : les chercheurs majoritaires deviennent des parias face à cette nouvelle loi acceptée sans que nous ayons pu exercer notre esprit critique, et les fainéants, minoritaires, vont pouvoir prendre la main.

C'est alors le savoir, l'information et la simplicité opposée à la complexité, qui va représenter la maitrise, la capacité à créer une nouvelle information, avec forcément, peu de mots : "qui peut en dire plus, etc."

S'il peut en dire plus avec peu de mots, c'est tout simplement qu'en bon pédagogue, Arnaud Mussy répète les mêmes raisonnements simplistes, sans arrêt.

"On reconnait l'arbre à ses fruits. Une autre induction, issue d'une répétition. Jusqu'à faire admettre une vérité : "faites la preuve de tout", et suivie d'une "interrogation" "amie" pour mieux faire baisser la garde et laisser rentrer une autre induction, par le fait de cette "interrogation".

 

 

Suite à cela, Arnaud Mussy proposera un dilemme, c'est-à-dire un choix qui de toute façon nous sera nuisible : où aller vers l'entropie, la mort, ou aller vers la moins disance, la bêtise (de celui qui peut en dire plus), mais avec la certitude d'être sauvé.

Car oui, la maitrise de l'information sauve les matérialistes, ceux qui ont abandonné la voie de la connaissance, de la recherche, pour lui préférer la voie de la force, du "plus".

"En dire plus" sera le signe que le salut vient de l'esprit de la quantité, qui tranche parce que reflétant l' "opinion", le nombre d'adhérents, de "lecteurs" "enthousiastes" (ceux qui vont vers l'entropie seront, géométriquement parlant, des déprimés, comme lorsqu'on vous dit, dans un discours que vous ne pouvez pas réfuter, puisqu'équivoque, que vous allez mourrir si vous continuez à suivre vos anciens principes.

Ses "lecteurs" sont, eux, "enthousiastes", parce que "nombreux". Pas comme les déprlmés qui ne parlent plus, qui par définition géométrique deviennent les "isolés".

"Plus rien ne peut être dit", en cette époque "cruciale" : qui départage des camps, selon la loi maitrisée par le point central, la particule, seule, qui devient le tout, parce qu'elle contrôle l'information. Elle, contrairement à la nécessité de l'irréversibilité, est forcément réversible, puisque "simple".

Dès lors qu'un "point" est posé ("au point de") comme centre d'un croisement, ceux qui ne peuvent pas "parler", seront amenés à disparaitre dans le passé, vers la voie de gauche, du "léthé" de l'oubli. D'où l'annonce d'un "futur" permettant la "parole", amené par "celui qui peut en dire PLUS", une quantité et une information, pour offrir un "salut".

Seulement en cet "Ultime Grand Secret", André Bouguénec écrit noir sur blanc, que par cet ouvrage, il clôt son oeuvre, et qu'il a dit tout ce qu'il avait à dire.

Dès lors, "qui" peut en dire plus, sinon quelqu'un d'autre ? Permettant de "rentrer" quelque part. Terme abstrait créant une entité géométrique dans notre tête, un "lieu" et une "part".

 

Par ailleurs ce "silence", décrit la déprime, la mort (psychologique) de ceux qui ne sont pas "enthousiastes". Mais les enthousiastes ne sont pas beaucoup mieux lotis, puisque ce ne sont que des "images" et non des réalités. Ils restent des imitations, des reflets de la "réalité" : le point central dans notre tête.

Le pouvoir parle à tous, et tous sont soumis à sa loi. D'où, pour les gouvernés, ce n'est qu'un "dilemme".

 

 

De "l'ami" à "l'homme de pouvoir"

"Ami lecteur"... 

Le philanthrope est, comme ami des hommes, utile à leur cause, à leur service, n'est-ce pas ? Philein, c'est être ami... mais pour son "plaisir"... ce faisant il commence par nous envoyer une information, nous faisant baisser la garde et nous faire ouvrir toutes grandes nos oreilles via notre coeur : il veut notre bien.

Mais pour nous rejeter avec la parole de celui qui écrit "avant de partir", s'opposant par le chiffre, le "plus" de celui qui peut ensuite "parler", avec "puissance", une fois sa place acquise, une fois sa révolution... induite.

Notez que c'est un "questionnement", déjà évoqué, une pression qui amène à devoir admettre qu'Arnaud Mussy est le seul à pouvoir "en dire plus".

Suivre ("dans ses textes"), celui qui "peut en dire plus" c'est retrouver le droit à la parole, et survivre dans cette société reconnue alors comme matérialiste, même si les mots pour la décrire, se servent encore de notre langage spiritualiste. C'est apprendre à faire comme lui : manipuler ses auditeurs à partir de leur propre "texte".

C'est cela le "grand secret : se servir de l'univers mental des gens, pour les mener à accepter une situation parfaitement chiffrée, cloisonnée. Pour les mener à s'engager (par tout un système d'inductions successives) et décider de suivre celui qui est au "centre" de ce "plus".

 

Mais ceci passera par un "dilemme", demandant de faire un "choix", alors même qu'il vient de dire qu'il est, lui, au centre des décisions. C'est l'illusion de la liberté... induite.

Alors qu'André Bouguénec nous avait dit : "Au ciel, tous les choix sont faits, les pourris, etc."

Comment dès lors un nouveau choix serait-il à faire ?  Sinon que pour conduire à une voie qui n'est pas celle du ciel ?

Si quelqu'un peut en dire plus en nous demandant de faire un choix, c'est qu'il prépare un autre plan, coupant les choix et sélections du ciel. 

 

 

 

Ce qu'André répond à cette "opinion de lecteurs"... d'un auteur

André Bouguénec n'ignore pas la supercherie.

D'où il répond d'abord par le classement de cet article, dans une section où il se trouve seul, malgré un titre qui suggère le contraire : "Opinions de lecteurs", ceci étant confirmé par le titre sans qualité, donné à son écrivain : "Un lecteur". Qu'est-ce à dire ? Qu'il nous renseigne sur la place de cette parole : une opinion, seule, mais qui va devenir celle d'un grand nombre.

André Bouguénec va parler plus loin, dans son "Avertissement", mot signifiant : ren-versement. Du latin advertere (« tourner, diriger quelque chose vers »). "Avertissement" ayant aussi pris le sens de "mise en garde", mais aussi "annoncer pour l'avenir", ce qui s'oppose à l'arrivée surprise de "celui qui peut en dire plus", avec "énergie", mais après être passé pour un "ami".

"La fin de ces Temps, annoncée, où la confusion, partout, se manifeste, devait recevoir les germes fructueux d'une formidable résurrection, et le dévoilement d'une définitive évolution totalement éclairée. C'était chose promise jadis. Heureux ceux qui, déjà, sont entrés dans une Vie qu'ils ignoraient et qui les fait naître dans une immortalité sereine et lumineuse.

Ne cherchez pas l'auteur, selon votre attention il est Présent en ces lectures, et vous ne serez plus seuls ni désemparés".

André Bouguénec

"Entrer dans une vie", se mettant en opposition avec ce tordu : en "entrant dans les livres", qui contrairement à ce que la caricature d'Arnaud Mussy nous promettait ("plus rien ne peut être dit : la peine du silence), car rentrer dans la vie, c'est rentrer dans le réel, ce qu'on voit, et non ce qu'on entend uniquement : des images, des "semblances".

 

La conclusion de l'ouvrage cité est d'ailleurs en rapport avec cet avertissement : "Mes amis, mes enfants, maintenant je vous dis "au revoir". Oh, pas ici sur cette planète, mais dans un Ailleurs que vous aurez mérité.
Cependant, je reste Présent en vous par mon Verbe "publié" et dans votre cœur. Là, où vous ferez naître l'Amour, la Bonté et Ma Lumière, Je serai avec vous, car Ma Tendresse vous est acquise."

 

Tout le contexte de cet ouvrage est de s'opposer justement au culte du secret ("verbe publié"). A méditer.