Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

'La crucifixion selon un témoin oculaire', Manuscrit d'Alexandrie - Xeon

Ce récit des premiers siècles de l'ère chrétienne rapporte une autre histoire de la crucifixion, dans laquelle Jésus est détaché de la potence par ses frères esséniens.

Outre cela on trouve différentes révélations sur des faits et des personnages présents aussi dans l'Evangile.



Ci-dessous le texte de la quatrième de couverture :

Dans la première moitié du XIXe, un membre de la Société Commerciale de l'Abyssinie découvre un parchemin en latin à Alexandrie, en Egypte, dans une bibliothèque qui avait appartenu à des moines grecs, et dont on découvrira par la suite qu'elle a été bâtie sur les vestiges d'une communauté essénienne.

Le texte est traduit la lettre (probablement, à l'origine, en langue grecque ou araméenne) d'un Ancien des esséniens de Jérusalem, donc d'un membre important de cette communauté. Il s'adresse à ses confrères esséniens d'Alexandrie "sept Pâques après la crucifixion", dans le but de témoigner de cet événement dans lequel il a été directement et très personnellement impliqué. Par son témoignage, il veut rectifier - du moins auprès de la communauté dont Jésus avait fait partie - les "on dit" et les rumeurs sur la fin du Maître qui parcourent à l'époque tout le Moyen Orient.

Le manuscrit découvert à Alexandrie provoque des réactions immédiates des jésuites, et nous savons que c'est par l'intervention de la Franc-maçonnerie qu'il sera abrité en Allemagne. Un éditeur de Leipzig en publie d'ailleurs la traduction allemande en 1849, un véritable best-seller : 50000 exemplaires imprimés entre 1849 et 1851... C'est une quantité énorme pour cette époque, mais, parait-il, ils ont tous "mystérieusement" disparus...

Trois autres versions s'en suivent : deux américaines (la deuxième, celle de 1907, est la seule qui soit encore en circulation mais elle s'avère peu fiable), et une française, de 1863, traduite directement de l'allemand ; c'est par hasard qu'un chercheur italien en retrouve un exemplaire en Suisse, peut-être le seul qui nous reste, et c'est dans cet ouvrage que nous vous le livrons...