Avez-vous remarqué que, lorsque vous avez des soucis, une peine ou   quelque chose, si vous restez à ressasser cette souffrance, elle ne peut   que s'accentuer ; et si vous vous dites : "merde, je me mets à   travailler", vous vous occupez à faire quelque chose, ça s'efface.
Le travail, c'est un miracle d'équilibre.
Le mot travail vient des romains. Et il faut voir ce qu'ils ont laissés. Et ça tient encore debout.
Le travail qui émane la joie dans la matière qu'il manipule, eh bien   cette matière détient la mémoire de l'homme et son égrégore, et le   rayonne.
Vous savez (et c'est dommage que Robert C ne soit pas là, qui est   superstitieux), on vous a dit qu'il y avait des pierres, des objets, des   statues qui portaient malheur. C'est vrai. Ça porte malheur parce que,   on l'a dit également, lorsqu'on violait un tombeau égyptien, des   pharaons, etc. des catastrophes pouvaient arriver après, surtout si on   volait un objet quelconque.
Bin oui, parce qu'il y avait des rites à l'époque, de défense du mort,   et ces rites consistaient à créer un égrégore dans un objet. Eh bien   c'est la même chose. La pensée est tellement créatrice que la fixation   sur un objet imprègne cet objet.
Il y a des trucs, mais c'est idiot de s'en servir parce qu'il vaut mieux se servir de sa volonté, de sa foi et de son dynamisme.
Il y a des métaux neutres qui peuvent recevoir une influence extérieure.
Alors il y a des métaux, des pierres, des matières qui condensent plus facilement le fluide humain que d'autres.
C'est d'ailleurs pour ça que les radiesthésistes peuvent se servir de ce   qu'on appelle un témoin de quelqu'un, un morceau d'étoffe, une   photographie, n'importe quoi parce qu'il y a une émanation,   homéopathique peut-être, mais elle existe. Comme les facultés du   subconscient sont d'une telle finesse, qu'il y a réaction et il y a   réponse.
La voyance, les choses comme ça, la vue à distance, la prémonition, ça   fait partie également de ces subtils pouvoirs où la distance ne joue   pas, où la matière ne joue même pas, ou si peu.
Quelqu'un qui fait un jus d'orange pour un malade, en y mettant tout son   coeur, pour donner des vitamines et en même temps en visualisant   l'espoir que ça va lui faire du bien, c'est quand même mieux que celui   qui va faire ça et cracher dedans en espérant faire crever.
En dehors de ça, vous savez très bien que vous avez des difficultés à   vivre auprès des gens qui émanent l'agressivité, le mauvais caractère,   etc. Ça vous rend malade, mais véritablement malade.
Alors que vivre avec quelqu'un qui rayonne, qui est bon, vous obtenez un échange de rayonnement.
Le travail est social.
On peut reprendre l'anecdote qui est connue. Quelqu'un qui passe auprès   d'un chantier où il y a des tailleurs de pierres, des charpentiers, des   c'que je sais, et il y en a un qui est en train de tailler une pierre.   Il va auprès d'un autre et il lui dit :
- Qu'est-ce que vous faites-là ?
- Eh bien je suis en train de faire une sculpture.
- Il va auprès d'un troisième : "Qu'est-ce que vous faites-là Monsieur ?
- Je suis en train de bâtir une cathédrale.
Vous voyez la différence. Il est évident que celui-là il y met tout son   coeur, il a une ambition, il a une joie, il voit l'objectif et il a  hâte  de voir ça terminer, mais ce qu'il est en train de faire il le  fait  bien et beau, etc.
Alors il y a des vieilles chapelles qui émanent quelque chose, il y a   des églises qui émanent quelque chose, forcément. Parce que là on peut   dire qu'une église, en général, ça a été bâti par des gens de foi, des   constructeurs de foi. Surtout les églises anciennes.
Maintenant, bon bin, y a un chantier, y a des contrôleurs et puis vas-y   que j'te, etc. C'est pas à Beaubourg que vous allez sentir quelque   chose.