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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Migrations et peuplements indo-européens après l'Atlantide selon Charroux - Robert Charroux

Il y a 12 000 ans, le déluge dit universel anéantissait les civilisations de la planète Terre.

Il y eut pourtant des rescapés, bûcherons, chasseurs, montagnards sur les cinq hauts plateaux du globe: Iran, Himalaya, laya, Abyssinie, Montagnes Rocheuses, Altiplano péruvien, d'où repartirent les races blanche, jaune, noire et rouge.

Les Blancs, survivants du plateau d'Iran, après avoir surmonté de terribles épreuves, repeuplèrent, et poussés par une obscure attirance de la mère patrie, émigrèrent en masse vers l'Occident, sans doute vers l'an - 9000 avant notre ère.

La race blanche fournit de nombreuses subdivisions qui embrouillent l'étude de notre lointain passé ; c'est pourquoi - qu'on veuille bien nous le pardonner - nous donnerons le nom générique d'Aryens, voire même de Celtes, à ces peuples divers mais de même origine, dont le rameau celtique est le plus important.

Les Celtes donc, se dirigèrent vers l'Occident européen, cherchant, sans le trouver évidemment, depuis l'Islande jusqu'à Dakar, le continent englouti de leurs pères : l'Atlantide.

C'est pour cette raison que les mégalithes (dolmens, menhirs) des Celtes s'échelonnent de l'extrême nord au Sénégal. Des ethnies se fixèrent en Europe centrale, d'autres en bordure de l'Océan, dans des écarts tels que l'Irlande, l'île de Man, le Pays de Galles, la Bretagne, le Poitou-Charentes, la Galice, etc., c'est-à-dire loin de tout contact enrichissant et des grands courants de passage.

Partout en ces endroits, la connaissance scientifique se détériora jusqu'à sombrer dans l'empirisme grossier et la sorcellerie.

Une branche hostile à la magie noire des autochtones bretons, écrit Schuré, se dirigea vers l'Orient et se fixa aux Indes où elle donna naissance à une civilisation remarquable.

Les Celtes qui dirigèrent leur marche vers le bassin méditerranéen évoluèrent plus rapidement encore. Ils rencontrèrent d'autres peuples de races et de couleur différentes, s'hybridèrent favorablement et purent, plusieurs millénaires avant les Celtes de race pure, édifier de brillantes civilisations en Egypte, en Phénicie, en Assyrie notamment.

Les hommes blancs du Proche-Orient et des Indes furent donc les premiers à sortir de la barbarie, mais n'étant plus « agis » par des chromosomes-mémoires intacts, par les bandes magnétiques héritées de leurs ancêtres atlantes ou hyperboréens d'avant le déluge, ils ne purent pousser très haut le développement de leur culture qui plafonna sans exaltation possible.

Il appartenait aux peuples de sang pur : Français, Anglais, Russes, Allemands, Américains, de développer au summum et jusqu'au niveau jadis atteint par les Atlantes et les Hyperboréens, les civilisations du métal, de la cellule et de l'atome.

Nous sommes quasiment arrivés au niveau des grandes civilisations antérieures, et comme nos ancêtres, nous allons très certainement à une catastrophe.

La même.

Ce processus évolutif est en accord avec les lois biologiques et universelles.