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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Villes antiques établies relativement au cosmos - Guy Tarade ?

Le chercheur se rappellera peut-être alors comment s'y prenaient les Anciens pour choisir l'emplacement d'une ville. Après avoir trouvé un point d'eau, ils dressaient l'horoscope du lieu. Comme le rapporte Cicéron, l'augure, muni d'un instrument de visée, le lituus, dont la crosse épiscopale tire son origine, délimitait une portion de la voûte céleste appelée templum ; le templum, reporté sur le sol, formait le plan de la ville à naître ; au centre, où serait élevé le temple proprement dit, l'on plantait ensuite un mât, cadran solaire dont l'ombre portée, tournant comme la branche mobile d'un compas, permettait de tracer l'enceinte ; l'on matérialisait enfin celle-ci par un sillon tracé à la charrue ; chaque fois que l'augure lui en donnait l'ordre, le laboureur levait le soc là où les portes devaient prendre place. Chaque ville était ainsi comme le calque d'un morceau du ciel et ses portes correspondaient aux « portes célestes ».