Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Raisons de la difficile retransmission des perceptions en astral - André Bouguénec

Pourquoi ceux qui reviennent de décorporations ne réussissent pas à parler de ce qu'ils ont vu ?

En cet état, qui est encore primaire, la différence de perception est telle que l'individu voit tous ses sens à la fois confondus entre eux et en même temps amplifiés. C'est-à-dire que : touché, vue, entendement... non seulement se projettent hors de lui comme si son être était expansé, mais en même temps, l'extérieur vient à lui, l'emplit, avec toutes ces présences et résonances tangibles et subtiles.

L'être commence à être 'tout'. C'est une incorporation de soi avec l'am-biance. Pour lui, c'est nouveau et c'est troublant, ineffable, mais pas toujours si l'être est foncièrement mauvais. Il y a dans cette é-manation de son être, comme des résistances, des malaises, des sortes de brûlures...

Les réactions divergent en fait selon les 'états d'âme'. Certains sont apeurés, bloqués, ahuris, décontenancés, forcément. Certains sont aidés, accueillis, etc. d'autres non...

Et puis il y a l'inexplicable mélange du lieu physique 'quitté' et présent, avec cette dimension nouvelle dont l'espace et les volumes sont aberrants aux sens physiques, dont la mémoire, les rémanences subsistent.

Ensuite l'étonnement d'être en apesanteur, avec des tangibilités différentes de soi, des choses, des distances...

Le temps aussi se modifie...

Annotations d'André laissées sur l'ouvrage de Raymond Moody, la vie après la vie