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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Perspectives sociales et économiques en France - André Bouguénec

Si on laisse crever de faim des populations entières, eh bien ces gens-là deviennent des criminels par esprit révolutionnaire. Et c'est presque logique. Et je vous annonce que le chômage augmentera, et qu'un beau jour ces gens-là deviendront violents, forcément. Parce qu'on se fout de leur gueule, vous comprenez, et bien !

Et on continue à fiche des gens à la porte chez Renault, chez Citroën, et dans toutes les grandes entreprises pour que la production soit rentable.

Seulement la production elle va perdre évidemment sa main d'œuvre, et elle va récolter certainement des mesures comme cela [coupure].

Je comprends très bien que si la France se met à faire travailler tout le monde, pour que chacun ait un salaire, il est évident que les pays étrangers, le Japon, l'Allemagne, l'Amérique, demain vont supplanter la production française, vendront moins cher, et qu'au point de vue financier bien entendu, la France sera déficitaire et ne vendra plus rien à l'étranger, n'exportera plus, c'est certain. Mais voilà, le problème est allé trop loin. On ne peut plus revenir en arrière.

Parce que les mesures qu'il fallait prendre après les deux dernières guerres, c'étaient des mesures planétaires, et non pas des mesures nationales. Nationales en tant qu'antagonistes, en tant que compétitifs, pour gagner plus par rapport aux autres.

Sur le dos évidemment de certains, et sur le dos des valeurs monétaires de façon à gagner par les transactions.

Donc ces mesures qui n'ont pas été prises, eh bien elles provoquent aujourd'hui, malheureusement partout, les drames du travail, les drames des foyers, c'est évident.

C'est trop tard, parce que la planète, paye les factures qu'elle a mérité, les commandes qu'elle a faites, elle les paye aujourd'hui. Et tout le monde paye. Tout le monde paye parce que tout le monde a voulu être insouciant. Et les chômeurs d'aujourd'hui, ils ont le droit de gueuler, mais ils avaient le droit aussi, d'avoir du bon sens, à l'époque où il fallait voter pour des gens valables, et non pas pour des politiciens imbéciles et arrivistes. Alors maintenant c'est comme ça.

Et l'Eglise paye également sa facture parce qu'elle a voulu...

Pascal M: "De toute façon, les gens n'ont pas voté à 49% pour le gouvernement actuel."

Quelqu'un d'autre dit : "Il y a des moyens".

André : Il y a des moyens, bin oui. De toutes façons l'homme est très conscient lorsqu'on lui enlève une bouchée de pain, lorsqu'on lui enlève une prérogative, etc. Mais avant il ne l'est pas. Gouverner c'est prévoir, non seulement pour un gouvernement, mais pour l'homme lui-même.

Et quand je dis l'homme, c'est l'homme et la femme, c'est le foyer. Et l'homme est fait pour avoir des enfants. Et quand on à la possibilité de créer un foyer, il faut savoir prévoir pour gouverner son avenir. Et si nous sommes en démocratie nous aurions dû montrer l'exemple et prévoir ce qui allait arriver par le modernisme, qui forcément était basé surtout sur la productivité et l'enrichissement de certains et non pas sur la répartition du travail, de façon à ce que chacun ait le bénéfice du travail. Mais il fallait que ce soit mondial. Dès l'instant où il y a séparation, c'est foutu.