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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Nantes mystique (Celtes et druidesses, Atlantide, Rois de France) - Varia

Les Namnètes sont un peuple gaulois. Ils demeuraient de l'embouchure de la Loire jusqu'en amont de Nantes. Ils étaient voisins de plusieurs peuples gaulois. Les Andécaves à l'est, les Pictons des Ambilatres sur la rive sud de la Loire, enfin le peuple des Vénètes à l'ouest et les Redones au Nord.

Au printemps -56, pendant la guerre des Gaules et selon Jules César, les Namnètes s'allient aux Vénètes pour combattre la flotte qu'il construit. Decimus Brutus, commandant la flotte romaine, finit par l'emporter.

Pendant la domination romaine, ils eurent pour capitale Condevicnum, cité sise au confluent de la Loire et de l'Erdre. Au IIIème siècle, la cité devint Portus Namnetum, puis Nantes au Moyen Âge.

Wikipedia

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"Un terme attesté et probablement spécialisé est celui de sena (nominatif pluriel senai) en le prenant au pied de la lettre ce seraient des "doyennes" car l'adjectif sena = vieille ; il s'agissait de membres d'une communauté vivant dans l'île aussi nommée Sena = Sein = Enez Sizun. On peut penser à un jeu de mots gaulois avec semna = vénérable, mal perçu par l'auteur latin Mela ; Ceci est plausible à travers une autre référence ci-après... Strabon et Ptolémée mentionnent les Samnitai, autre communauté féminine vivant dans une autre île, proche de l'estuaire de la Loire, auprès des Namnetes, dont le nom ethnique a donné Namned : Nantes : signifiant lui-même les "célestes" ; namos = ciel. Je pense donc à l'attraction phonétique de Namnetes sur *Semnitai qui aurait donné Samnitai chez ces auteurs non celtophones, coïncidant en outre pour les latinophones avec le nom ethnique italiote des Samnitae... Donc va pour semnitai, en variante de semnai; (nominatifs singuliers respectifs : semnita, semna .) qui seraient des moniales.


On retrouve là la racine commune seb- à la fois celtique, germanique et grecque d'où au masculin semon, génitif semnos en goidélique parallèle au gaulois sebo, génitif sebnos, au sens de "révérend, vénérable".

http://legrimoiredecirce.over-blog.com


[Penser à SEM, premier fils de Noé (parti dans une "arche" avant le déluge). Une légende affirme que Nantes aurait été construite par un descendant de Noé. La statue qui domine la fontaine de la Place royale est une femme avec un Trident, qui représente Nantes, mais on pourrait aussi bien y voir Poséidon, Roi de l'Atlantide. Enfin la place Foch, dite par les nantais, sans qu'on sache pourquoi, Place Louis XVI, est dotée d'une statue de Louis XVI en son centre. Cette statue est très haute et posée sur un axe.



Quelques éléments d'histoire à ce propos :

Les Nantais l'appellent souvent par commodité « place Louis-XVI », parce qu'elle accueille en son centre la colonne Louis-XVI, érigée en 1790, haute de 28 mètres et surmontée d'une statue du souverain. C'est l'une des quatre statues restantes réalisées en France à l'effigie de ce roi. Elle date de 1823 et est une œuvre du sculpteur Dominique Molknecht, qui réalisa aussi celles du Loroux-Bottereau et de Bécherel (cité du livre).

Les quatre autres statues représentant Louis XVI conservées en France se situent donc :

* au Loroux-Bottereau (en Loire-Atlantique) ;
* à Bécherel (en Ille-et-Vilaine), dans les jardins du château de Caradeuc ; Bécherel est par ailleurs une "cité du livre".
* à Sorèze (dans le Tarn).
* à Nant (dans l'Aveyron) (!!).

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NANTES est l'ancienne capitale de la Bretagne, terre que l'on peut considérer comme le dernier refuge des celtes. Avec les lettres de CELTES, on fait CELESTES !

Hasard ? Les Célestes, comme les celtes sont d' "anciens" civilisateurs. On a vu plus haut que Namnètes pouvait venir de la racine Namos, signifiant ciel".

On a lu dans Presse-Océan le 07 septembre 2011 : Nantes, terre des OVNI ?

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DRUIDESSES, femmes gauloises ou celtes qui exerçaient la triple fonction de prêtresses, de magiciennes et de prophétesses. Il ne paraît pas qu'elles fussent assujetties à une loi et à des règlements identiques, car les historiens nous ont laissé à leur sujet les récits les plus contradictoires ; ici, la druidesse ne pouvait dévoiler l'avenir qu'à l'homme qui l'avait profanée ; là, elle se vouait à une virginité perpétuelle ; ailleurs, quoique mariée, elle était astreinte à de longs célibats, et ne pouvait voir son mari qu'une fois l'année. Elles avaient le droit d'offrir des sacrifices et d'immoler des victimes, surtout en temps de guerre et en l'absence de leurs maris, car il arrivait souvent que les femmes des druides partageaient avec leurs époux les fonctions du sacerdoce. Il y avait même des sanctuaires où les femmes seules pouvaient offrir des sacrifices et répondre, de la part de la divinité, à ceux qui venaient consulter l'oracle : tel était le sanctuaire des Namnètes, situé à l'embouchure de la Loire, dans un des îlots de ce fleuve. Quoiqu'elles fussent mariées, nul homme n'osait approcher de leur demeure ; c'étaient elles qui, à des époques déterminées, venaient visiter leurs maris sur le continent. A Séna (île de Sein) était l'oracle célèbre des neuf vierges terribles, appelées Sènes, du nom de leur île. Pour avoir le droit de les consulter, il fallait être, marin et avoir fait ce pèlerinage dans ce seul but. Ces vierges connaissaient l'avenir ; elles guérissaient les maux incurables ; elles prédisaient et provoquaient les tempêtes. Quelquefois ces femmes devaient assister à des sacrifices nocturnes, toutes nues, le corps teint de noir, les cheveux en désordre, s'agitant dans des transports frénétiques.

Encyclopédie de l'Abbé Migne, Dictionnaire des religions