Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Protection de la pédocriminalité et réseaux satanistes français - Varia

Le pédo-criminel Marc Dutroux appartient à des réseaux : des groupes satanistes en France, avaient des contacts avec lui.

Actuellement en France des enfants sont enfermés, torturés, violés et assassinés durant des rituels satanistes. Il y a aussi du cannibalisme (on boit au moins le sang).

Certains enfants enlevés servent dans des snuff movies. Le prix de ces films tourne autour des 20 000 euros et peuvent aller jusqu'à 1 millions d'euros. Qui peut bien se payer cela ? Poser la question c'est y répondre.

Les pouvoirs publics savent cela, parce qu'il y a des témoignages, des dénonciations. Les hommes de mains sont protégés. Quand ils sont arrêtés, c'est pour peu de temps. Donc on les protège du haut. En Belgique, de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer cette possibilité de collusion.

Un journaliste a trouvé des preuves corroborant des récits dédaignés par la gendarmerie. Des photos pouvant mettre sur la piste d'implications ont été prises et envoyées aux enquêteurs. Elles ont disparu.

Si les journalistes, politiques, etc. ne protégeaient pas ces individus de l'hyper-classe, ils feraient passer des messages tous les jours au moins pour prévenir, inciteraient et mettraient ainsi la pression sur les pouvoirs publics pour retrouver et condamner ceux qui contrôlent ces systèmes.

Aux USA une femme juive a témoigné en direct à la télévision, que des familles juives des Etats-Unis, "très bien insérées dans la société", pratiquent des messes noires, avec viols d'enfants, tortures abominables, etc.  La journaliste lui a demandé : "pourquoi font-ils cela ?" Réponse : "pour le pouvoir". Mais quelles ont été les suites de ces dénonciations ?

Toutes ces infos sont tirées du site pedopolis.com, qui semble ne plus exister.  

L'anthropophagie après tortures abominables tient d'une volonté de se nourrir de la pureté absolument dégradée, détruite dans sa propre chair. Donc plus la victime est innocente et donc jeune, plus le rituel est abouti.

On peut dès lors s'interroger sur les conséquences et les fins réelles de la boucherie abortive, pratiquée sur les femmes occidentales.

Les larves de l'astral se nourrissent de l'énergie du sang versé.

Il est prouvé par le témoignage de la Reynie (lieutenant général de la police), que Louis XIV protégea des actes de messes noires avec crimes d'enfants et anthropophagie perpétrés par des proches, des nobles. Ce roi qui a fait plier les plus puissants ne fit rien.

Le Roi a fait interdire les procès en sorcellerie, peu de temps avant qu'on découvre, chez ses proches, tout un arsenal maléfique ou obscène, rappelant les pratiques qu'il venait d'interdire.

La Reynie avait découvert qu'on enlevait des enfants dans les rues, au profit de personnes de grande considération. Il apprit qu'il existait, au coeur même de l'Etat, des gens haut placés qui pratiquaient, sur des enfants enlevés au peuple, des sacrifices sanglants et orgiaques.

La marquise de Montespan faisait partie des personnes soupçonnées de participer à ces rituels. On mit au secret les complices pour qu'ils se taisent. Mais le Roi parait-il ne s'en remit pas. A la mort de La Reynie, il brûla les preuves qu'il possédait. Sans savoir que le policier les avait copiées ailleurs. Le double est à la Bibliothèque Nationale au Département des manuscrits occidentaux.

 

Durant les messes noires, les participants sont masqués. Comme dans les services secrets, pour protéger les réseaux. Moins on en sait, mieux ça vaut au cas où l'un des membres tombe.

 

Réseau Coral : enquête menée par le commandant Prouteau, qui déclare en audience publique le 29 Avril 1997 : qu'il doit arrêter l'enquête menée sur ce réseau à cause des personnalités mises en cause.

Le réseau impliquait plus de 340 personnalités dans le monde politique, artistique, judiciaire, et journalistique qui auraient abusés d'enfants handicapés et autistes, hébergés dans une école (appelée Coral) appartenant  au Parti socialiste. On y aurait retrouvé un enfant mort, sodomisé, la tête plongée dans un seau d'excréments.

Coïncidence, le Comité de soutien de Roman Polanski comprend plusieurs des personnalités mises en cause dans ce réseau.

Si une telle implication de personnalités influentes, et de tous bords est exacte, alors ces faits ne peuvent être ignorés. Il existe une réelle collusion de ceux qui se taisent avec ceux qui agissent.

Dans Ce soir ou jamais, l'avocat Thierry Lévy, prend violemment fait et cause pour la pédophilie. Il assimile sa condamnation à une sorte de sensiblerie "pour ces petites boucles blondes" (pourquoi "blondes" ?). Il persiffle contre le "moralisme", la "chape de plomb anti-liberté", et l' "intolérance" de la femme présente sur le plateau, condamnant quant à elle, ces actes.

A la fin des temps, "les démons sont libérés" : ils parlent donc ouvertement, autrement dit à travers les médias.

En France, 1000 disparus mineurs par an. Pas d'enquête. Ces gens n'existent pas. Les médias, pourtant, en mettent une en épingle de temps en temps. Peut-être hypocritement, pour laisser croire qu'on s'intéresse à ce problème, ce qui est une forme subtile de censure.