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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Faiblesses du Big-Bang, face à la théorie du plasma - Science et vie

La théorie du Big-Bang n'a pû être sauvée que grâce à de multiples rafistolages. Mais même avec ces rafistolages, aucune des prédictions quantitatives ne s'accordent avec l'observation.

La plupart des propriétés de l'Univers peuvent être interprétées dans un cadre de modèle d'Univers sans commencement ni fin, dont l'évolution aurait été gouvernée par l'interaction des lois de la gravitation et de l'électromagnétisme.

En fait, le Big-Bang ressemble à un mythe, dans la mesure où il fait l'objet d'un consensus alors que ses prédictions quantitatives ne sont pas testées par l'observation.

La validité du Big-Bang repose sur la concordance de trois observations :

- Pas d'objet existant au-delà de 20 millions d'Années-lumière.
- Abondance d'éléments légers supposés avoir été créées quelques minutes après l'explosion primordiale.
- L'Univers doit être baigné d'un rayonnement électromagnétique diffus, vestige d'une époque où la température avoisinait les 10 000° Kelvins.

Or rien de cela ne concorde.

Les deux premières hypothèses ne concordent pas avec l'observation, et la troisième implique des prédictions additionnelles elles-mêmes en désaccord avec l'observation.

On a découvert des superstructures célestes dont l'âge, compte-tenu de leur gravitation, est estimé à un minimum de 60 milliards d'années-lumière. Un calcul simple permet de vérifier cela.

De même, les molécules envisagées comme diffuses dans tout le cosmos, sont assemblées en grumeaux, et dans des proportions beaucoup moindres que ce que la théorie ne le prévoit.

Enfin en ce qui concerne le rayonnement : La théorie prédisait un fond très inégal en rayonnement cosmique, les régions considérées n'ayant pas subies les mêmes conditions. Non seulement celui qui a été découvert est isotrope, mais il est d'un rayonnement 10 000 fois moins élevé que celui que prédisait la théorie. Pour corriger cela, Alan Guth a inventé un scénario complètement ad-hoc : l'inflation, sorte de déflagration qui aurait 'imprimé' ce rayonnement de façon uniforme.

Il existe une alternative à la théorie du Big-Bang, qui permet d'expliquer de manière plus satisfaisante les caractéristiques de l'Univers.

Pour Alfven, il faut apprendre sur l'Univers de façon empirique. Selon lui, l'Univers a toujours existé sous une forme quelconque, mais en évoluant et en changeant. C'est la théorie du plasma.

Il y a de grands corps célestes : gaz, galaxies, amas, qui sont traversés par des courants électriques se servant de gaz conducteurs. Ces gaz sont appelés plasma. Ils créent des champs magnétiques qui rassemblent le plasma en filaments.

Or l'Univers est composé à plus de 99% de plasma ; son évolution ne peut alors être comprise que si on prend en compte les formes électro-magnétiques qui dominent des milieux comme le plasma, et pas seulement la force gravitationnelle que la théorie de la relativité générale met en vedette.

Un plasma devient naturellement hétérogène, se transformant en tubes de courants et de champs magnétiques à toutes les échelles. On peut donc expliquer la formation des grands corps en faisant intervenir des interactions entre la gravitation et les processus électromagnétiques dans le plasma.

Des stimulations basées sur cela ont montré la formation de galaxies, quasars, pulsars, sans Big-bang ni matière noire. On peut aussi y retrouver la présence des éléments légers existants, sans phase extrêmement chaude et dense.
De même, le rayonnement cosmique s'explique par l'énergie radiative émise par les grosses étoiles, et éparpillée par les poussières galactiques et intergalactiques. En effet, l'énergie libérée lors de la fabrication de l'hélium, est exactement égale à l'énergie observée dans le fond de micro-ondes cosmologiques.
Son homogénéité s'explique aussi. De même l'expansion lente de l'Univers est explicable par l'interaction matière anti-matière dans une région donnée d'un univers fini.