Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > Classement thématique > Philosophie > Apparences

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

"Mimétisme" dans les livres d'André Bouguénec - André Bouguénec

Si nous voyons tant de jeunes et d’adultes avides de se “droguer” par mille systèmes “d’évasion” de cette existence, c’est que leur cerveau n’a pas été préparé à construire concrètement des réalités métaphysiques qui sont les rêves très réalistes du devenir de l’homme.



L’âge de “Raison” passé, l’enfant brimé dans ses évasions naturelles et constructives, développera par un phénomène de compensation inverse et de plus en plus : un esprit “cartésien” et froid, à logique linéaire. Dépourvu de la logique des profondeurs, il s’installe dans la jouissance des instincts, des intérêts immédiats, concrets, “matérialistes”.
Cet esprit handicapé, unilatéral, ne peut qu’empirer, s’hypertrophier monstrueusement par le conditionnement général et aujourd’hui particulièrement incohérent et chaotique. C’est l’épidémie du Grand Mimétisme, tout est “dans le vent” ou contre le vent, sous le vent de cerveaux déboussolés du pôle de la vie et cela devient tempête.
Par rapport aux réalités cosmiques inscrites en ses gènes, je le répète, c’est “l’insignifiance” qui mène le monde, car tous les signes sont là qui parlent d’autres choses que du néant, du provisoire ou de la mort, de la stupidité ou du malheur.

Au niveau des individus, les manies se fixent sur le “paraître” selon le vent de leur intellectualité faussée ou de leurs instincts. On fait “parce que”... parce que quoi ? Parce que rien, c’est comme ça !! Monde, faune plutôt, de “contenances” hiérarchisées, de mythes de virilité, de maturité factice, d’ambitions sociologiques ou politiques aveuglant les réels problèmes. Que de singeries innombrables testant la vanité de l’homme comme autant de symptômes et de diagnostics pathologiques ! Que de gestes, que de grimaces, que de contenances et de cérémonies, que de modes et de vices qui ne trompent... Que la faim cachée des êtres conditionnés à l’envers de leur destin univer-sel !



Par contre l’homme subtilise à la Nature et au monde animal tout un mimétisme artistique, qui, loin de l’inférioriser, dynamise son humanité et l’intègre dans une sorte d’esprit cosmique.



Références tirées du livre de Rémy Chauvin : “La biologie de l’esprit”.
“Le mimétisme ? à quoi bon puisque c’est l’immobilité qui est sa meilleure protection.”



En bref je puis te dire que l’homme tel qu’il est, existe, mais qu’il n’Est pas, qu’il ne vit pas et ne vivra. Tu peux te dire : “J’étais” (mais depuis quand et pourquoi ?) “Je suis” (peut-être, mais qui, quoi, pourquoi ?) “Je serai” (Mystère !?).
Il te faut te connaître, il te faut tout connaître. Peu à peu, si tu veux, ta découverte te passionnera.
Lorsque tu prends un livre, choisi, à ta convenance et pour le moins attentif à son imprévu, n’est-ce-pas un compagnon docile à ton caprice qui va, quelques heures, t’apporter des idées, des pensées, meubler tes réflexions, décorer ton vide ?
Car ce que tu crois “être”, c’est toujours un “Autre” qui te fit...
L’homme s’agite par mimétisme, contraste ou réaction. Rien ne vient, librement, de lui-même. Du moins pas encore.
Remonte le cours des idées, crois-tu qu’il en est une qui appartienne à l’homme ? Celle-là même, n’est-elle pas l’incidence d’une autre réflexion et ainsi de suite ? Alors, qui en serait la sour-ce ?
Tu es à l’image d’un cerveau électronique. Son étonnante utilité est proportionnelle à la capacité de ses mémoires alimentées, programmées, inculquées d’idéogrammes synthétiques préétablis par des spécialistes.



Exemple, les japonais s’imprègnent des modes et arts occidentaux de plus en plus, et perdent leur talent inné. Le mimétisme n’est pas un art vivant, typique. Dieu a crée pour susciter des créateurs. L’imitation a ses limites sous peine de stériliser les facultés de création.



Tout dans l’humain, imprégné d’un subconscient, veut naître, et devenir CE pour quoi il fut mis au monde. Malheureusement la société, non seulement n’éveille pas en lui tous ces centres, mais conditionne à l’envers ceux qu’elle atteint. D’où les innombrables conflits avec la nature profonde de l’être contrarié dans son destin naturel et sain. Il est tout de suite imprégné d’une énorme




Tout roi a son Bouffon, reflet du mauvais roi qui a aussi son scep-TRE qu'on appelle "sa marotte" ! Bouffon du roi, il est un roi manqué : l'humain qui se prend pour... empli de suffisance avant qu'il n'ait conscience des principes de sa charge dévolue du divin et divinement apprise. Il apparaît bouffon qui mime avec sérieux les attitudes royales. Errances des vanités orgueilleusement vêtues des faux rois de la Terre et de ses vrais bouffons, car le Royal esprit est un esprit plaisant nivelant dans L'Amour la majesté des coeurs face à leur devenir et à l'admiration de la Beauté créée par l'acte souverain de l'Emanante Pensée. Le roi, humain ou ange, ne reçoit la couronne que de son Dieu Connu. Sa victoire est toujours filiale, humble comme un enfant qui fit de son prochain un royaume fraternel, un jardin de rêves et de "récréations". Naître roi n'est pas l'être. L'Ange divin fut déchu de sa royauté innée pour n'avoir pas compris le respect de l'infime. Les héros admirés, aux victoires étonnantes, sont souvent des vaincus aux épreuves intérieures. Le Principe princier est l'atome du coeur, reconnu dans la vie comme le trône essentiel, l'assise, à tout ordre et à toute puissance, à toute création et à toute relation. Lisez "Le Petit Prince" de Saint Exupéry, un chef-d'oeuvre symbolique, et une interprétation dans "T et V" n°30.



Amis, l'INDIFFERENCE est une éternité larvaire en l'homme, c'est la plus méprisable des attitudes, celle qui ronge un être à son insu, comme un cancer, alors qu'il croit parader dans la vie parce qu'il s'agite, pose, se plaît ou débite les sottises courantes qui, comme un "garde fou", masquent sa stérilité profonde. Combien se donnent une "contenance" parce qu'ils n'ont pas de contenu, tout juste un contenant précaire comme une fumée se dissipant. Que de "vent" pour se donner un "air" et tout y est prétexte. Cette grande religion de la mine et du mime possède tout son rituel, ses messes et ses fidèles, tous esclaves d'un snobisme démocratique qui égraine son chapelet du chewing-gum au tabac, du blue-jean à la crasse où les néo-philosophes planent sur des abîmes de politicoprophagie. Prêtres, les accapareurs des sièges et des pouvoirs, les meneurs de travailleurs, tous orateurs imbus de suffisance, talentueurs affectés de gauche à droite, paradeurs de paradis promis, tous Miniministricules ampoulés du Veau d'OR. Grosses "légumes" en place ou en devenir, en ambition surtout, issues d'un végétal et tabacogiteurs stériles ; c'est triste à voir, ce "diable au corps" enfumé de vanités terrestres.

L'Homme est créateur en esprit ou esclave des vents humains. Si avant tout il doit créer son Coeur, l'Esprit en lui aspire beaucoup à naître, et c'est l'indifférence à ces deux vertus majeures qui gangrène l'humanité, pourrit son devenir et sa soif de Bonheur.



"J'ai dit : Vous êtes des dieux !". (Jean X-34-35. Psaumes 82 : 1 et 82-6). Que reste-il, sinon une hiérarchie de dieux à DIEUX ? Et Si la Gnose inspirée l'a appelé HOMME, je vous le demande, faites-m'en une IMAGE ?! Y a t-il un rapport d'état ou morphique entre un spermatozoïde et Monsieur Albert EINSTEIN ?! Et pourtant, c'est lui : de la cellule fécondée jusqu'à cette Personnalité scientifique ! Le mot image vient de imiter, mimer; seulement, quel est l'objet réel de cette "imitation" ? sinon le caractère même de la Vie qui est : Re-Production (à l'image de...) par CROISSANCE. C'est la reproduction par Tout et Partout d'une Evolution-Croissante signée de l'IKS = 39 = DIEU : "X". "Croissez et Multipliez" dit L'HOMME à l'homme; et c'est en ce SENS que l'homme fut créé à l'Image du "Dieux CROISSANT".

La "Croissance" étant le propre de l'homme et de Dieux, même de cet "HOMME SUPREME", "LE CROISSANT" = 135. C'est La LOI de la Vie et c'est le symbole principal de LA CROIX : X. C'est pourquoi ce mot porte un "X"; La Croix, c'est la "ROSE" perpétuelle de la Co-NAISSANCE... La Rose X CROIX symbolise tous les Croisements, de vies et de connaissances, et donc de Croissance. Voilà donc sa véritable vocation sous la même phonétique : "LA ROSE CROÎT" = 135. Forcément le DIEU qui "Multiplie" le plus porte le Signe "X" : DIEU plus X = DIEUX. Regardez bien ce Mot-NOM. Je vous rappelle la compréhension phonétique de "Notre Père qui êtes AUSSI : EUX..." Quant à la racine DI, vous la connaissez : Jour, Lumière, Dieu, Deux, Séparation, mais aussi, elle est ID qui est le préfixe de l'adverbe IDem, en latin : le même, la même chose. Vous distinguez l'ID-Entité, l'Identité du DIEUX avec l'Humanité qui fut SA MATRICE et à la fois : Sa Création, la SubSTANCE de son autogénération.



La pensée est liée à l'E-MOT-ION, plus précisément "ex-mot-ion", c'est l'énergie IONique qui sort du MOT, du Verbe, c'est-à-dire de la pensée exprimée. Emotion ? Tout simplement pour allier au cerveau l'intelligence émotive du coeur d'où partent toutes les "MOTIVATIONS" de l'homme. La pensée exercée a une vitesse de balayage mnémonique qu'aucun radar n'atteindra. L'expression de la parole devrait être empreinte d'émotivité réelle, c'est ce qui s'ajoute à l'amabilité des relations. Il n'est pas question des modulations charmantes ou charmeuses et artificielles de nos présentatrices de programmes télévisés, qui sont à contre-harmonie avec la rhétorique, mais d'une très naturelle expression qui dévoile et doit le faire, toute la gamme sensible et intelligente de la personne qui parle. Les émotions mimées, artificielles, ne portent pas, les mots mentent, comme en général toute harangue politique ; seulement gare aux conséquences et réactions des mots qu'on a trompés dans leur application, le Verbe se venge toujours, tôt ou tard.

Un véritable "acteur", qui prend "acte" de l'âme du personnage qu'il joue, qu'il interprète, qu'il fait "vivre" en scène, s'assimile tellement à elle, provoque évidemment les plus véritables émotions parmi les spectateurs que ne suscite un "comédien" qui mime seulement ces émotions. La Parole, dans les cas de sentiments doit en être la vibration même. L'éloquence, la grandiloquence, n'égalent pas souvent l'expression émouvante et simple d'un être qui donne comme il peut ce qu'il ressent et vit en lui.



Vous allez me dire : mais qu'est-ce que c'est que l'intelligence? ! Eh oui, et c'est envers ce problème fondamental et celui de l'Amour libre que le Créateur a mis toute sa patience, son génie et aussi sa Ruse. Comment libérer, affranchir notre ange-humain de toutes les "impressions", de tous les conditionnements impliqués en sa mémoire et ses sens pour qu'il s'émancipe enfin en voulant choisir là-dedans seulement l'utile à son destin ! Car, "être à l'image de Dieu et à sa ressemblance" pour une marionnette animée, ce n'est pas évident, sinon en un mimétisme sans valeur !

Il me coûte de dévoiler les stratagèmes divins et je sais combien est cruel pour l'homme "qui se croît", d'apprendre, qu'à part le point axial de ses choix, il n'est jamais libre, mais manoeuvré selon CE qu'il a voulu, afin qu'il constate et ressente ses erreurs de choix ! Mais hélas, il recommence et recommence, se dégrade et se détruit ! S'il mettait autant de persévérance dans le Bien, le salut du Monde serait vite entre ses mains. Si les "Docteurs de la loi", les "Guides aveugles" et Théologiens bornés et miros savaient LIRE et avec intelligence ! ce que je dis de pénible mais vrai, se trouve dans les Ecritures :