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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le temps : "Successif" "succès" et "résultat" dans les ouvrages d'André Bouguénec - Xeon


Succession

 

Sans la volonté il n'y a ni personnalité, ni moi, mais seulement des successions de phénomènes disons, végétatifs. On dit d'ailleurs de quelqu'un qui ne sait pas vouloir que "ce n'est pas un homme".

L'animal dès qu'il nait a toutes ses idées premières. L'Homme ne les a que successivement comme une brique qui lui sert à ajouter à d'autres pour lui laisser la liberté de faire ce qu'il veut avec, de la reproduire en nombre et de la modifier.
L'animal ne peut pratiquement pas modifier ses idées-premières, il en est l'esclave. Tandis que je vois les idées premières des hommes être soumises à leurs maitres humains. Que pensez-vous de cette image que je "conçois" ! en idée-première pour que ne vous choque pas "révélation".

 

Evidemment, l’HOMO-GENEité de l’Univers est “semblable” (homo) à l’Homme (homo), en perpétuel engendrement ou genèses de Vivant. Tout est “particulièrement” composé de Vivant à plusieurs degrés d’esprit, de conscience ou d’animation, mais tout est relié et composé à fin de faire vivre la VIE.
Il suffit, par la grâce et la vertu du Verbe dissimulé dans la langue, de comprendre, d’analyser les mots et, en “particulier” (petite partie lier) de la particule forcément partie d’un tout “composé” de celles-ci. Tout est COM-POSITION, c’est-à-dire en “position avec” tout ce qui compose la Vie, tout ce qui est “posée avec” l’en-SEMBLE, en Res-SEMBLANCE d’utilité globale à ce gigantesque Corps Universel Vivant. Vous allez dire que s’il y a composition, il y a également dé-composition. Certes, mais lisez bien, c’est alors une “position” différente projetée, une recomposition nouvelle succédant à une étape. C’est tout simplement un programme d’évolution. Notre corps ne se décomposera-t-il pas pour un autre positionnement et une autre composition ailleurs !
Tout ce qui EST, est nécessairement une RELIGION puisque, à l’évidence, tout est “relié” pour une “comme-UNION” d’ensemble à la Table ronde des espaces courbes.

J'écris ceci lors de la Fête des Mères 1983, comprenez-vous pourquoi celle des Pères ne peut que lui succéder.


Ah, quel rapport avec le Sanglier appelé "solitaire" ? des quantités! Mais dans "L'Infernale Mission" vous savez que ce SEUL animal, la femelle, la laie fut la matrice du Dauphin en stoppant l'évolution du germe homangélique au stade foetal du poisson, avec, bien sûr des manipulations génétiques. Pas étonnant que ce royal poisson adore l'homme. Malheureusement, ce très particulier "fils de l'homme" en "sang-lié", ne verra son développement total en homme-amphibie, que plus tard. il sera le "dauphin" de l'homme, car il lui succédera, quand celui-ci sera devenu un Roi Divin.

Chaque chose des Trois Règnes est conçue-créée dans l'Espace et le Temps, qui est un tout "Matrice-Espace-Temps", de telle sorte que tout ce qui se succède est toujours GLOBAL, holistique, ce qui signifie que chaque élément en route constituant un corps, quel qu'il soit, est relié à tout l'En-SEM-ble constitutionnel en inter-action symbiotique. Non seulement Tout a besoin de Tout, mais toute partie, particule, détient le Schéma de tout l'UNIVERS, de tout ce qui est UNI au concept GENERal et générateur du Créateur Divin, et le "genre" humain en particulier.


Ce qui vous épate du 7 de Carreau ne vous épate pas pour les 4 saisons, qui sont toujours dans leur cycle successif à 100%. Que le jour vienne après la nuit. Que la fleur succède toujours au bourgeon, etc...


L'effort et le résultat ne sont pratiquement jamais simultanés. Le résultat succède à l'effort. Souvent un intervalle très long peut les séparer. Les exemples ne vous manquent pas pour autant dans la longue préparation aux examens pour de belles carrières que pour lancer laborieusement une affaire qui ne sera productive qu'un assez long temps après ses débuts.


Au désir succède LA DECISION. Et la décision se concrétise dès que la volonté VEUT FAIRE et FAIT.

Quand l'homme dit "j'ai une idée !" Même s'il ne le dit pas, il l'a ; de quelles influences est-elle faite, à quel degré ou maturité est-elle mise en route, que va-t-elle réaliser ou commettre ? Une force est lancée dans le monde des hommes et elle n'est pas prête de s'évanouir, car toutes s'ajoutent et se succèdent, sans fin.

Les nombres entiers se succèdent rationnellement à raison d’une unité bien définie les séparant. Voire ! si de 3 à 4 il y a une unité = 1, c’est rationnel, et pourtant le nombre Pi : 3,1416... nous montre que cette unité est irrationnelle dans ses décimales qui n’atteindront jamais 4 parce qu’un infini sépare deux finis et qu’une unité est un infini en soi.

Sachez que toutes les traditions confirment cette naissance par une plante, un arbre, une tige, etc... Quantité de subtilités dans ce texte sont des clefs. Mais bien sûr ce ne sont que des "légendes" qui ne dérangent nullement les esprits forts et les Théologiens ! La place me manque pour vous citer tous les mythes révélateurs de toutes les traditions. En résumé, Géa, la Terre, Marie, la Nature met au monde des "fils naturels" qu'elle nourrit et reprend, dévore. A moins que, levant les yeux, ses enfants s'aperçoivent qu'en réalité c'est le Soleil, reflet du Père de l'Esprit, qui est en vérité la Source de Vie de cette Nature Matrice-même et par conséquent d'eux-mêmes. Il suffit que ces hommes remontent à "rebours" le cheminement de la création de cette "Mère" pour découvrir l'Esprit de Dieu, le Père, et leur propre conception originelle. De toute façon il faut toujours mourir pour mûrir, quitter une chose pour découvrir celle qui succède.


Si tous les symboles de nos rituels sont parfaitement liés ensemble et s'enchaînent pour l'évolution progressive et "gradée" de l'Apprenti, il en est deux particulièrement soudés. C'est, avec le bandeau, le Cabinet de Réflexion. D'ailleurs ils se succèdent. Le Cabinet de Réflexion n'est pas exclusivement le cagibi plus ou moins étroit et souterrain où l'on t'a fait écrire ton testament philosophique. Ce Cabinet, face à toi-même, signifie entre autre, que tu es étroitement prisonnier, plus exactement « incarcéré », car ce mot signifie très particulièrement « prisonnier dans la chair ». En effet, où que tu sois, tu es prisonnier de toi-même et ton cabinet de Réflexion est... "céré-bral", certes, mais c'est toute la Planète qui t'emprisonne de réflexions, de reflets de l'Esprit Divin qui s'émanent de toute matière, de toute vie. A chaque méditation réfléchie, tu es obligé d'enlever le bandeau d'une apparence pour être initié à la lumière de l'Essence qui l'a créée et pourquoi. Tout "Réfléchit" le Divin pour tes réflexions. La Matière est l'indispensable Matrice contenant l'Esprit du Grand Architecte. Tu te dois toujours de dé-couvrir ses plans, t'instruire de ses structures.


A cette condition tous les chemins vraiment mènent à cette ROMA d’Amour éternelle. Et de même que le fruit apparaît et bien mûr et nourrissant parce que tout fut fait pour le plant qui le porte, de même diversement la notion concrète et véritable de Dieu apparaît “naturellement” toute seule, présente dans l’homme comme une plante soignée qui, un jour, révèle sa première fleur. Puis succèdent l’Admiration, la Reconnaissance et enfin la notion Vivante du Père. 



Oui, Robert, je pense que Tout, tous les Univers et composants, ne sont que des matrices successives. Chaque chose nait et murit pour donner naissance et vie à autre chose. Terre Matrice de l'homme, l'homme matrice de quelque chose d'autre dont il serait lui ET cette chose nouvelle. Ce n'est qu'une conclusion d'observations dont le processus est général, universel, flagrant ! Pourquoi cette re-génération, cette genèse en chaîne s'arrêterait-elle à l'homme, ou régressive pour donner seulement des asticots, des cellules, sa "poussière" à la Terre ?! C'est sans doute cela, cette éternelle jeunesse, genèse, de la vie : le renouvellement en métamorphoses successives. Comme les tables ou boîtes gigognes ; chaque chose est une boîte qui en laisse sortir une autre, mais de la plus petite incluse, dans et vers de plus grandes qui existent mais qui ne "sont" pas "réalisées". Comme s'il y avait un avenir Abstrait, dessiné (dessein), mais pas atteint, tant qu'il n'est pas cristallisé, vécu, vivant.

Jadis Jésus ne put donner aucune préparation pédagogique pour saisir l'essentiel, sinon par des paraboles, souvent mystérieuses. Cette fois l'accomplissement, complétant l'entrée en matière de jadis, je l'ai préparé peu à peu par des révélations ET des dévoilements.
C'est pas la même chose.
Révélation, c'est, à travers un voile, on revoile quelque chose, n'est-ce pas, on ajoute une signification supplémentaire, mais ce n'est pas la définitive signification, qui fait carrément enlever le voile. C'est ce qu'on appelle dévoilement. Et dévoilement successif, progressivement, et par certaines méthodes plaisantes à l'étude des recoupements.
Je vous ai donné la lumière certes, mais comme un lever de soleil progressif, de son aurore à son zénith.
C'est peu à peu que vous avez assimilé cette clarté d'abord, donc, comme un lever de soleil matinal. Puis distingué de mieux en mieux les enchainements que cette lumière dévoilait des ombres et des ténèbres.
Croitre, est la leçon du Soleil, de cette lumière, à la fois fixe, absolue et en mouvement.
Le locution "Soleil levant" est admirable, si l'homme s'identifie à se levé lui-même progressivement, sans arrêt, dans et avec sa lumière.


L'Humain, par souche originelle, par raison d'être, par sa destinée et par son caractère évolutif, est un nom composé, plus exactement composé de plusieurs noms successifs dans les temps linguistiques de la pensée exprimée. Mais ce nom composé et décomposé dans le Temps, détient des clefs significatives que LE MAÎTRE-VERBE (=135) inclut en ces noms à l'insu des hommes, afin qu'à la fin des Temps, ils puissent "remonter", en partie suffisante du moins, le "ROMAN" de leur ARBRE ou LIGNEE Géné-"A"Logique.



Cette mort qui endeuille les profanes, douloureusement, puisque sans espoir, et sur laquelle les religions bêtifient, fait l'étude essentielle de la Véritable Initiation. Car sa raison et son passage impliquent bien des raisons révélatrices. Sa découverte rend l'humain "divinisable" dès cette Terre. L'Initiation n'est autre que la découverte du Divin. Attention, révélation n'est pas dévoilement, car il reste à l'Apprenti et aux divers gradés initiés, à enlever les voiles successifs des symboles et des rites, des mots et des gestes.


Le second signe, c'est le Plus : +, dans toute sa simplicité adverbiale signifiant : " à un degré supérieur ". Je vous rappelle ce que j'enseignais du mot "parfait" = par-faits successifs vers la per-fection...qui n'a pas de limite ! " Soyez parfaits comme Mon Père est parfait ". Connaissant votre Mère Suprême, en Elle, vous êtes dans Son Infini ! Le développement magique de votre être ne connaîtra pas de fin, mais des étapes radieuses de joies et de lumières. D'où, si vous superposez nos deux signes : multiplier et plus, vous avec ce rayonnement de : 8 branches désignant l'infini. C'est aussi le Soleil Divin de Lumière.


En effet, UN homme, UN chou, UN dauphin, désigne mais ne peut définir la complexité du nommé, car il est relié indéfiniment à tout un contexte de structures, d'utilisations, de relations et de significations définies diverses. Je dis donc que l'Unité est un élément situé DANS une multiplication d'additions, et ce n'est pas un paradoxe. Deux éléments très lointains peuvent ne pas sembler en corrélation, mais pourtant l'unité qui les relie est soumise à des com-binaisons successives, en chaînes, dont chaque élément, s'il était pris à part, serait indéfinissable par rapport à ses extrêmes postulats.

"UN", ça n'existe pas ! Je semble vous dire une absurdité, mais c'est ainsi. "UN, c'est TOUT ou rien" ! La partie est le tout, le tout est dans la partie. Un, c'est toujours, toujours, un complexe. "UN", désigne les éléments qui forment la chose désignée. Oui, je vois votre sourire narquois, mais le UN arithmétique qui vous semble si irréductible est pourtant, lui aussi, tout un complexe, mais c'est une autre histoire.

Dans le Dictionnaire, tous les mots, là, se ras-semblent et se res-semblent, côte à côte, successivement à une lettre près, parfois à égalité. Ils se ressemblent parfois comme jumeaux pour dire des choses très différentes. Que d'homonymes contradictoires formés des mêmes lettres ou des mêmes sons ! Que de synonymes écrits de si différentes façons ! Les calembours ont beau jeu dans la bouche des "bons vivants"!

A vouloir tout redresser avec la vertu de l'équerre, l'homme trouve la lumière dans ce mouvement même. En effet, elle est le quart de la croix. Autant l'immobilité de l'équerre est stérile, seulement lettre morte indicatrice, autant elle devient édifiante dans les mains habiles d'un bâtisseur de maçonnerie, car toute pierre d'équerre se multiplie solidement en assises successives et dresse ainsi le temple de l'Esprit qui y prend place.

Ceci dit, mon frère, pour que nous comprenions bien que le titre de Compagnon ou tout autre, n'est pas le grade, car le grade est Vivant, il est un cumul, un capital, un rassemblement de tout ce qui était coupé, séparé, épars de substances travaillées afin qu'en l'être ayant "gravi" son élévation, soit un véritable "gradé" possesseurs de clarté et de vertus réelles. Ses vertus humaines en font sa force et le cumul d'un savoir expérimenté : sa lumière. Cette cohabitation est LA CO-Naissance qui est en vérité une incessante "naissance avec" : toi-même et ce qui nous entoure. Le grade est une résurrection successive d'un état précédent servant de matrice. C'est une ré-Novation, une parturition qui, à sa nouvelle éclosion, abandonne sa matrice-matière précédente ; tous les symboles de la mue nous le prouvent.


Cette majorité n'est pas celle, bien sûr, de 18 ou 21 ans. A chaque étape de nos métamorphoses et ce, même après le passage de la Mort, il y a une spéciale majorité à atteindre pour obtenir le titre et le grade du nouvel homme muté et l'offre d'un nouveau voyage, d'une nouvelle découverte. Cette Nativité successive s'appelle tout simplement un NO-EL, symbolisant le nouvel homme, le nouveau dieu, la nouvelle lumière. Cette Nativité est produite lorsque, en fin d'une étape, tu es parvenu tout simplement à une certaine "Virginité" par les épreuves de dépouillement. Comme tu es à la fois, ta propre matrice, ta propre fécondation initiatique et ta propre oeuvre, forcément tu  conçois à ce Moment-là ta mutation "sans péché et par l'intercession du Saint Esprit" qui est ta conquête permanente ! C'est forcément un autre aspect, mais réel de "l'Immaculée Conception" et l'aventure de Jésus te l'explicite totalement.
Comprends, que si nous n'atteignons pas ces successives "virginités" des grades, qui sont tout simplement des puretés diverses acquises par les épreuves, notre maturité progressive, notre "virilité" divine ne peut aboutir. Etudie toutes les entomologies, biologies, les processus des corps organiques et tu comprendras l'unité de cette obligation en croissance, métamorphoses ou mutations. Que la condition absolue de continuité vers une élaboration idéale n'a lieu que si l'étape parcourue a réalisé un état net de toute carence, pur, vierge de parasite ou de malformation afin que cet état soit une base solide et mûre de reconduction ; sinon c'est ... la dégradation, l'involution, l'entropie, la décomposition, etc...


Paradoxe encore, une apparence en cache plusieurs, et chacune d'elles des réalités hiérarchiques successives.
L'erreur mortelle des symbolistes aveugles est de faire une égalité mathématique entre un symbole et une signification unique. Par exemple, concevoir un enfant ce n'est pas faire naître un bébé, mais : mettre en route un germe d'esprit vers une majorité passant par des âges et des états successifs, autrement dit c'est susciter un état de valeurs en expansion perpétuelle.


Parce que ce qui est Vivant de Lumière et de Cœur, rayonne et transperce les ombres et les morts semblant vivre ! L'initié est un éclairé, mais est il un Eclaireur ? Est Maçon celui qui s'est Maçonné, qui s'est bâti des matériaux de ses grades et rituels successifs. Il a quitté le plan des voyages symboliques pour les vivre parmi ses frères et parmi les hommes. L'architecte, curieusement, est devenu Oeuvrier !!

Ce grade est celui de la réalisation de l'être avec son Savoir initiatique. Vous vous devez de re-naître sans cesse avec celui-ci justement en Co-Naissance. C'est ce que signifie, entre autres le Phénix qui renaît de ses cendres. C'est ce que signifie, entre autres, le fait que vous ayez tué volontairement ce mort-vivant qui n'est autre que vous-mêmes pour vous permettre de ressusciter à l'exemple du Christ et de vos étapes successives périmées. C'est ce que vous enseigne l'I.N.R.I. de la Ré-intégration par le feu de l'Action et de l'Amour à votre "nature" Angélique originelle : (I)GNE-(N)ATURA-(R)ENOVATUR-(I)NTEGRA.


La destinée de cette conception n’est qu’une destination, la route et les étapes en sont les créations successives ou : générations qui se regénèrent les unes les autres, par croisements de sangs, de pensées, de croyances. Et il serait naïf de la part des croyants de ne pas concevoir que la Terre ne ferait pas l’objet d’une formidable Science d’influence de la part de ses serviteurs extra-terrestres de toutes essences, ni de son Maître ! L’Esprit ne peut se manifester que par une Science et tous deux ne peuvent être signifiés que par et dans la Matière. L’homme athée qui a encore la niaiserie de croire à “sa” science devrait se prosterner devant la Nature et l’adorer plus qu’un Jésus-Christ au nom de l’Intelligence qu’Elle mit à concilier des hasards ; Elle, matière sans voix, qui de sa poussière et de ses salades fit un bipède pensant ! Tranquille inconscience des esprits forts ! qui “comme la cécité de l’aveugle, dit Aimé Michel dans Planète 41, assure la paix de son âme, tandis qu’il gambade au bord d’un abîme qu’il ne voit pas. Il faut désormais nous habituer à l’idée de ce vaste abîme peuplé d’êtres (mais peut-on encore parler d’êtres ?) qui nous dominent d’aussi haut que nous dominons la limace et la bactérie.”


Je ne retiendrai de cette remise en question dans la Presse, que la notion de “non-séparabilité” de ces particules étranges qui se distancent dans l’espace et le temps tout en étant en parités de communication.
Ceux qui m’ont lu ont compris tout de suite que ces vertus particulaires représentent en physique, la métaphysique des âmes-soeurs de l’homme en évolution dans le temps et l’espace de ses successives réincorporations. Quels que soient le lieu ou la dimension vibratoire des planètes-matrices successives où l’âme se réincarne pour compléter ses mutations, elle est en “non-séparabilité” avec son unique âme-soeur originelle à travers distance et temps, jusqu’au jour des “retrouvailles”, que leur potentiel équilibré permet. J’ai déjà décrit cette “séparation de corps” de l’Ange androgyne à la chute en Matière-Matrice, ce “divorce” d’avec Dieu, d’avec toute mémoire et de l’autre conjoint originel.



Si vous vous donnez la peine ou la joie de consulter des dictionnaires compétents aussi bien qu’étymologiques, vous contrôlerez donc que les mots “physique et nature” sont liés par divers enchaînements linguistiques et sémantiques.
Littré définit la Nature comme “l’ensemble de tous les êtres qui composent l’univers, c’est aussi l’ordre établi dans l’univers, le système des lois qui président à l’existence des choses et à la succession des êtres, etc...” Il donne ainsi 29 interprétations du mot nature. Ceci dit pour bien faire comprendre que, sauf en certains cas, et encore, il est dangereux de statufier un mot en une signification figée, exclusive.


Selon les niveaux de conscience de ces structures, l’attraction-répulsion provoque un débat et l’émergence, justement, de phénomènes de “prises de conscience”. De celles-ci, des choix sélectifs vont se réaliser et ceci successivement jusqu’à ce qu’un nouvel équi-LIBRE, librement constitué, se soit choisi et activé à transmuter la partie ou les parties adverses en énergies complémentaires se con-FONDANT en UN TOUT, cette fois Polarisé dans son en-SEM-BLE. La Dualité devenue une potentialité intégrée. C’est sa constitution plénière qui est désormais imprégnée des particules polarisées attractives, ne faisant plus qu’UN SEUL Corps, et non plus deux corps égoïstes et donc antagonistes.


Forcément puisque issu “particulièrement” d’un ange, de SON état angélique propre. Il en garde la copie conforme, dissimulée en une particule “anti-matière”, invisible pour la Science de la Matière. J’ai, pour que vous approchiez de votre préciosité, j’ai donc défini ce germe particule cette “gemme” précieuse, par l’agréable qualificatif d’une PERLE. Cette perle est “orientée” par l’homme lui-même après avoir enrobé ses instincts parasites de couches successives de Lumières afin qu’elle obtienne une Belle Eau, un Bel Orient irisé. La Maîtrise des instincts fait de l’homme : “une perle”. C’est ce que l’on dit de quelqu’un sans défaut. C’est bien connu !

Contrairement à ce qu’on peut croire, si l’être de l’homme “évolue” (dans n’importe quel sens...) ce ne peut être qu’avec ses “prises” de conscience successives. La conscience ne peut être saturée ni stagnante. Ou alors, à n’importe quel stade, un être qui ne s’exerce plus n’est qu’un “demeuré”, il est “borné”.


Par l’apparence seulement des choses, tout est “révélé” à l’homme. Mais il ne voit que “l’initiale” des choses afin qu’il soit appelé à épeler plus loin, à prendre des “initiatives” et à devenir “initié” aux itinéraires subtils. Le mot révéler confirme bien cette subtilité, puisque l’homme croyant recevoir un “dévoilement” ne reçoit qu’un “re-voilement”, le mot révéler exprimant littéralement, par la Lumière du Verbe en toute langue : re-voiler. Ce qui est donc tout le contraire du sens commun ou académique mais qui est la clef de la Réalité qui s’offre toujours derrière un ou plusieurs voiles successifs. Tout, donc, est à “épeler” et à é-peler, à enlever la pelure, la peau, la face des choses, leur masque. On n’a pas compris Jésus quand il disait : “Cherchez et vous trouverez” !

Pas une lettre semblable, constatez toute sa conjugaison... Quelle di-versité ! Pourquoi ? Eh bien parce qu’il se coltine les Temps, ou avec les Temps. La durée le fait changer, comme l’homme. Donc, en étymologie il est impossible à un ignorant du français de rapprocher des mots conjugués de être, comme : fût, serait, sont, es, “sommes”, étant, etc. (chaque mot est un “temps” et ce temps a métamorphosé le mot : “l’homme”.) Cela veut dire, que pour les mots comme pour les hommes, pour les comprendre, pour les accomplir, il faut parcourir LES Temps, et les con-juguer successivement pour avoir une vue d’en-SEM-ble, et se conjuguer ensemble, entre NOUS : je tu il nous vous ils, mon ton son notre votre leur ! Vous pigez le “Aimez-
vous les uns les autres”, obligatoire, de toutes les ethnies du monde. L’”Etre” vient d'une sé-paration pré-parée, devient une indivi-dualité pour finir par se con-fondre en elle-même ! Et c'est ainsi que le processus de l'"être" se trouve signifié dans tous les “je suis” conjugués, conjoints à ETRE dans la même unité divine du “Je suis Celui qui SUIS”.

Nos grades maçonniques sont en réalité le calendrier de nos valeurs. A chaque degré nous devons nous dire : est-ce que devant la Règle et le Compas je vaux plus et mieux qu'au précédent ? Est-ce que j'ai la volonté d'être plus encore grâce à ce nouveau grade ? N'y a-t-il pas dans la Conjugaison des "personnes" du Verbe : le Plus-que-Parfait ?!

En somme c'est posséder la conscience et la volonté d'une évolution permanente. Malheur à qui se berce en son nouveau grade, oubliant ses successives promesses.

L'amour libre, non dangereux et créateur, avant de naître véritablement vierge passe par bien des processus et d'abord à partir des instincts organiques et organisés divinement pour en être la pluri-Matrice compliquée mais admirable de subtilités. Lorsque, mon frère, tes gradations successives auront tiré tes pulsions desquelles tu as été suscité et ressuscité en être mature, majeur et maître de celles-ci, tu auras ainsi acquis, ta propre énergie et, par ces "morts" volontaires, une force créative de Vie fantastique. Pour tout, il faut un temps de gestation, un temps d'éclosion, un temps de mort hivernal, un temps de renaissance ; saisons de la Vie, degrés et grades des divers voyages. Il faut cumuler matériaux et outils avant de travailler et il faut beaucoup de dessins pour exciter l'imagination à créer.

T'ai-je suffisamment préparé à comprendre hiérarchiquement, ne serait-ce que ce mot CONNAISSANCE et RE-CONNAISSANCE ? Vois-tu en FIN qu'il explicite la succession de nos naissances et renaissances rattachées (CO-) les unes aux autres jusqu'à ce que nous devenions totalement éveillés, personnalisés divinement. Naître, c'est forcément "naître AVEC" le capital chromosomique éveillé, actualisé, prêt, de l'état existentiel précèdent.L'oeuf, le bébé, "co-nait" sa mère puisqu'il en sort, puisqu'il est né d'elle, AVEC tout son potentiel.

Cette mort qui endeuille les profanes, douloureusement, puisque sans espoir, et sur laquelle les religions bêtifient, fait l'étude essentielle de la Véritable Initiation. Car sa raison et son passage impliquent bien des raisons révélatrices. Sa découverte rend l'humain "divinisable" dès cette Terre. L'Initiation n'est autre que la découverte du Divin. Attention, révélation n'est pas dévoilement, car il reste à l'Apprenti et aux divers gradés initiés, à enlever les voiles successifs des symboles et des rites, des mots et des gestes.



L'Homme est en vie et sur Terre, pour "traduire" tout ce qu'il voit et tou-che, la Nature, le Cosmos et lui-même, sont un immense Thème dont il est, avec, en Composition de Version. Eh oui, il faut des lettres, Messieurs et Dames, mais vous avez bien une culture scolaire ! En tout cas, les livres d'étude ne manquent pas, pour les autodidactes.

Traduisez-vous aussi, pour vous convertir en un nouveau langage et en un nouvel être universel. "Traduire", de "traducere", proprement : faire passer ! N'est-ce pas des sevrages successifs de vos états d'âmes et de vos opinions, pour arriver, épanouis, à l'orée du "Passage" en l'autre bord !

Oui, mais non seulement cet espace est un contenant de diverses parti-cules et énergies, il est, en outre, contenu en d'autres espaces "parallèles", plus exactement gigognes ! Ce sont "les Voiles" successifs de la Mère primordiale, et cela, et bien autres choses dissimulées, vous donne une idée du pluri-gigantisme de cette MATER tramée, volumineusement, de systèmes mystérieux et qui, pourtant, sont l'extrapolation d'un volume infiniment moindre, représenté par le corps biologique et spirituel de l'Humain "Matière-Esprit". Celui-ci, composé de milliards de cellules, qui explosent et se reproduisent, ou qui sont durables jusqu'à une transmutation éthérique en une autre dimension, espace spirituel, lui-même composé de matières-énergies différentes...

Dieu, tout autant que la Mater imparticulée, exigent que leur découverte, leur estimation, passent par le seul canal du coeur, du "Senti-Mental", à travers toute matière. Comment, avec un minimum de bon sens, un scientifique sur le bord du déisme, avec les stupéfactions successives des découvertes scientifi-ques, n'en vient-il pas à admirer l'Œuvre de l'invisible, de Celui qui attend un élan de Reconnaissance, et finisse par comprendre, comme disait Albert Einstein, que tout "Cela", c'est pour jouer avec "le Vieux" !

Quant à la "Spire" qui va s'amenuisant, se con-centrant sur le nombril de cette "France", considérez qu'elle représente l'Esprit du Verbe, le Souffle divin, reliant, nouant, tous les rayons azimuts linguistiques, successivement vers ce Point Central.

Pourtant, ce que la Science découvre, même épisodiquement et temporairement, l'incite à prospecter et la stimule à tenter de comprendre d'innombrables mystères. Les compréhensions successives entretiennent cette passion de savoir, de relier l'étrange à des vérités, et celles-ci à un Principe Unitaire révélateur.

Si le mot Apocalypse signifie la Grande Révélation, et vous êtes en ce Temps, alors c'est qu'elle veut vous faire passer dans les Coulisses du Ciel pour enfin comprendre, dans cette...Univers-Cité qu'est la Terre, les leçons de la marionnette humaine préparant son "Honoris Causa".

Cette première école terrestre, en attendant d'autres "classes" successives, est d'instigation de l'Ange, comme jadis, et de décantation des choix, jusqu'à ce que s'ouvrent vos yeux et votre coeur.

Ainsi vous élever vers Moi par Ma Création c'est élever richement vos enfants et votre prochain. Et comme Mes créations sont des infinitudes de mystères successifs, vous êtes pour toujours Mes Elèves. Mais, curieux paradoxe, des élèves de plus en plus créateurs "à Mon Image" !

Le symbole le plus proche de cette remontée aux sources angéliques de l'homme est l'Echelle de Jacob. Jacob, patriarche hébreu, eut un songe; il vit une échelle mystérieuse qui allait de la Terre au Ciel, et dont les "degrés" étaient couverts d'anges qui descendaient et montaient. Les degrés de cette descente ou remontée des anges, représentent les étapes successives de la connaissance de la Chute de l'Ange en humain et la remontée de celui-ci à son état primordial et régénéré. Je résumerai, dans ce qui va suivre, "l'ordre" des échelons, les degrés d'états et de transformations angélico-humaines dans leur involution et évolution.

Enfin, tout cela meuble et exerce ce "roseau pensant" à emmagasiner, à engrainer quantité d'éléments qui lui serviront, soit à un moment révolutionnaire de son existence, soit ailleurs dans les successives étapes de son développement évolutif.


Je reprends mon propos, Le Passé, c'est un Présent ponctuel en vous, ce "vous" qui a avancé jusqu'à, par exemple votre "je suis" d'aujourd'hui, à cette seconde où vous me lisez. Vous êtes un cumul innombrable de "je suis" successifs et évolutifs, du moins je l'espère pour vous. Vous êtes un "Moi", que vaut-il ? Vous n'imaginez pas tout ce que l'humain cumule en lui et qui, pourtant, ne l'emplit pas; par rapport à ce que l'âme attend comme Nourriture, c'est "du vent" la plupart du temps ! Pour Etre, il faut s'ac-COMPLIR, se compléter de Matière-Esprit-Science-AMOUR, pour... faire le poids. Vous pouvez observer que le mot poids a un "singulier" pluriel avec son "s" ! C'est qu'il doit peser des quatre éléments Vitaux.

C'est la mère qui "élève" ses enfants, la nourricière et l'éducatrice par excellence. C'est la mère qui fait connaître le père, son autorité, sa protection et sa force. Ensuite, c'est le père qui saura faire naître en l'enfant la prise de conscience de ce que fut et est sa mère pour lui, le respect, la reconnaissance et l'admiration qu'il lui doit. Tout se fait créant des liens, réciproquement ; mais des processus sont indispensables, les découvertes et les procédés sont successifs.

Ruyer, cité dans Couple et alchimie

."L'univers "sensifiant" primordial est pourtant bien la condition d'existence des êtres exceptionnels qui, dans l'univers, "signifient". L'existence des langues humaines fait à elle seule la preuve que l'univers n'est pas un univers matériel, d'atomes ou de combinaisons spatiales d'atomes, qui, miraculeusement, se mettraient à parler - pour ne rien dire. Il n'y aurait pas de parleurs, au sens propre du mot, s'il n'y avait pas de "parleurs" au sens plus général, c'est-à-dire d'incarneurs et d'exprimeurs de sens. Et il n'y aurait pas de "parleurs", en ce sens général, s'il n'y avait pas une langue maternelle universelle. Comme le dit Si bien B.L. Whorf, qui aurait été un Gnostique s'il n'était mort prématurément, un monde nouménal - d'hyper-espace de dimension supérieure - attend d'être découvert par toutes les sciences sous son aspect premier: celui des domaines, des accolades structurantes... Il existe dans le langage ou dans le sub-langage mental, la prémonition d'un monde inconnu plus vaste dans lequel l'aspect physique ne représente que l'écorce ou la surface... Ce monde a un caractère sériel ou hiérarchique, avec une succession de plans ou de niveaux dont chacun se manifeste par des structures contenant d'autres structures, en t'motifs" contenus les uns dans les autres..."

 

 

Marquez légèrement vos phrases, afin que vos idées s'inculquent bien logiquement et successivement dans la compréhension de votre interlocuteur.

Que les apparitions successives de vos articles correspondent à un plan concerté. De même vos documents et références.


Si vous avez un appareil, présentez-le, presque comme une personne, nommez-le, son modèle, ses caractéristiques, ses dimensions. Désignez ses pièces, leurs usages, leurs particularités, leurs qualités. Si l'appareil se démonte en accessoires utilisables et rangeables, faites-le. Puis successivement vous attirez l'attention sur chaque possibilité successive et sans jamais manquer d'enrichir les mobiles de votre client.



S'il est maladroit dans un essai d'utilisation, dites-lui qu'il n'est rien de plus naturel avant une petite habitude, montrez-lui SON mode d'emploi, les détails intéressants et, avec aisance et naturel, vous lui faites encore toute démonstration en lui rappelant votre propre hésitation à votre première manœuvre et vous citez des clientes ou clients maladroits au début qui en sont enchantés...

- Successivement vous lui avez mentionné les caractères avantageux de l'article, à chaque facteur vous avez montré et démontré ; à chaque particularité vous lui avez fait envie en lui prouvant tous les avantages du principe mis en jeu par lui.


N'oubliez jamais ce processus technique sur des points que vous montrez et démontrez, vous raisonnez en entraînant la propre raison de votre client et, toujours, vous en déduirez les conséquences successives qui en découlent.



En résumé votre argumentation va se baser sur = le type de client, ses mobiles, ses problèmes, votre objectif.

Pour cela, selon les aptitudes que vous avez acquises successivement dans les séries précédentes, et celles qui vont s'ajouter, vous rassemblez le plus possible d'observations, d'informations qui vont identifier votre client. Et du même coup, la partie correspondante de votre argumentaire va s'identifier à lui, va se teinter d'un caractère personnel.




L'Approbation

Faire approuver pour chaque conclusion.

Vous traiterez ainsi méthodiquement chaque point susceptible d'émouvoir favorablement les motifs et les mobiles du client concerné. Si vous découvrez trois points de motivation, eh bien vous les argumentez successivement.

L'approbation que vous solliciterez, et correspondante à chacune des motivations, vous confirmera que vous l'avez bien décelée ou elle suscitera alors en réponse l'indication précise d'un point que le client vous révèle ainsi, important pour lui. Et bien entendu vous lui donnez aussitôt satisfaction.

- Il vous oblige à ne pas vous égarer dans des témoignages inutiles ou nébuleux.

- Il éclaire systématiquement votre client, met en évidence très spécialement ce qui le concerne et il se trouve automatiquement entraîné dans une prise de conscience très nette que l'objet lui est beaucoup plus nécessaire que prévu, chaque point démontré, son approbation sollicitée, et forcément sincère puisque correspondante à ses motivations va l'enferrer de plus en plus dans l'acceptation finale de l'achat qu'il ne peut plus désapprouver puisqu'il aura tout confirmé successivement.

- Enfin cela vous fait gagner un temps appréciable avec votre clientèle et facilite au maximum votre travail tout en vous dégageant de quelque souci que ce soit quant à la façon d'amener votre client à une position non seulement explicite sur ses désirs, mais bien entendu très favorable à votre objectif.



Votre argumentation va donc s'effectuer sur ces quatre points de motivation successifs. Il est bien entendu, qu'à l'avance vous connaissez tous les arguments correspondants au genre d'article de votre vente. D'emblée, connaissant ces quatre motivations, vont découler les idées méthodiques qui s'y rattachent.



Mais dans le cours de votre démonstration tout en provoquant les approbations successives que nous vous avons indiquées, vous pouvez encore assurer vos points d'arguments par quelques questions suggestives. Il est toujours temps de modifier alors si besoin est. Si toutefois les approbations provoquées vous paraissent faibles, peu enthousiastes, c'est que la motivation que vous avez définie est erronée ou pas suffisante. Provoquez alors par une phrase choc une rupture de votre argumentation afin de voir clair.




Faites des tableaux, classez vos arguments par correspondance de motivations. Gardez ces documents, consultez-les souvent, modifiez et ajoutez selon vos inspirations successives et vos expériences ; ils seront vos atouts majeurs de succès.




Epuiser l'objection

Si vous êtes quelque peu embarrassé à éluder l'objection, à la satisfaire pleinement devant l'attitude peut-être un peu agressive du client, vous avez un procédé qui peut le mettre dans l'embarras également, c'est celui des "pourquoi ?" successifs.

Le client voulant vous en remontrer, au lieu de répondre à l'objection qu'il vous lance, vous lui dites très gentiment : "Pourquoi ?". Vous le laissez développer copieusement son grief et lorsqu'il à terminé vous enchaînez un autre "mais pourquoi ! ?" sur ce qu'il vient de dire. Vous continuez ainsi mais en l'égarant sur des images contredisant ses explications. Vous le questionnez ainsi et il finit par s'apercevoir que peu à peu son objection s'est épuisée par toutes les incidences dont vous avez exigé qu'il vous développe les raisons.

Si nous l'avons bien mené, il préfèrera écouter ensuite vos arguments que de tenter de vous critiquer.





La conclusion normale

Reportez-vous à notre exemple d’argumentaire de machine à laver dans la 9ème série. Si votre client vous laisse jusqu'au bout argumenter selon vos objectifs définis et ce sans signe particulier de feu vert en dehors des acquiescements successifs à vos conclusions partielles, vous allez normalement récapituler ces quatre déductions très brièvement et susciter le oui final qui résume l'accord du client avec votre récapitulation.

Mais ce oui, n'est pas un oui d'achat. Il ne vous dit pas, oui j'achète, mais il implique néanmoins l'acceptation de vos réponses à ses problèmes par rapport à une machine à laver.

Il est néanmoins lié à cette position affirmative, successive et finale qui ne lui laisse plus d'échappatoire pour refuser en pratique ce qu'il acceptait en théorie.



L'envie et la cherté

Le luxe d'une ville ce sont ses magasins. Dans les rues, le défilé des vitrines successives toutes embellies à qui mieux mieux font l'agrément des passants. L'agrément mêlé il faut bien le dire d'un certain supplice de Tantale. Tout est fait pour séduire, attirer, tenter, exciter, altérer, aiguillonner, démanger ; la convoitise et l'envie fleurissent sur les trottoirs.

Si le passant s'arrête puis entre pour voir de plus près cette attraction perverse il est encore plus sollicité, charmé, envoûté par les étalages somptueux, les présentations avantageuses et aguichantes à l'œil, la diversité des articles alléchants, la fécondité des suggestions inattendues à ses multiples envies sous toutes les formes de possessions et de jouissances qui s'allient au progrès.



Si toutefois votre client se récuse, s'il allègue la cherté du prix, utilisez le procédé des "pourquoi". Pour quelles raisons il trouve ce prix trop élevé ? Enchaînez les pourquoi sur ses réponses successives, compensez ou effacez toutes ses objections.




Que peut contenir un fichier ?

D'abord il ne sera pas homogène. Vous aurez peu à peu des fiches complètes de leurs informations prévues sur lesquelles vous n'aurez plus qu'à ajouter vos dates de visites, vos ventes et chiffres et les notes courantes à retenir utiles à vos visites successives. Lorsqu'une fiche est pleine vous la conservez mais vous la faites suivre d'une autre en tête de laquelle vous notifiez l'indication principale : le nom du client, le lieu, etc.




Si vous ne réussissez pas avec les arguments principaux, utilisez les autres. Ils peuvent être plus en rapport avec certains mobiles et vous avez des chances qu'ils touchent votre client d'autant plus qu'il ne faut pas négliger l'efficacité progressive des arguments successifs et de la suggestion favorable provoquée par les "oui" que vous saurez susciter.



N'hésitez pas à relire les séries précédentes. C'est ainsi que vos leçons se nourrissent les unes les autres.

Vous croyez les avoir comprises, mais en y revenant vous en découvrez des aspects nouveaux suscités et explicités par la progression des séries successives aux substances progressives.

Au revoir, nous vous souhaitons bonne étude.



Enlever la décision.
- Pendant tout ce processus, susciter les acquiescements successifs aux avantages démontrés par des questions de contrôle.


Veuillez surtout ne pas manquer d'ambition, que vous soyez homme ou femme, voyez loin et haut, mais ne vous leurrez jamais sur vos capacités et votre valeur car des déceptions vous blesseraient. Si vous n'avez pas compris que la vie est une échelle et qu'il faut la gravir progressivement en vous assurant parfaitement de chaque échelon successif qui convient pour le moment à votre formation, vous tomberez de haut pour ne plus pouvoir remonter, ou du moins avec des complexes.
 

 


Succès

 


Source : André Bouguénec
Il y a eu beaucoup de Saints, inventés par l'Eglise, pour montrer sa réussite. En fait, en prenant seulement un bout de la vie de ces gens, ou leur piété, dans des circonstances particulières.

Toujours est-il qu'il n'y a pas eu de couple saint.

C'est seulement le couple qui est énergétique et qui peut par osmose, provoquer de façon ondulatoire et corpusculaire, cette projection de leur foyer à l'ensemble de la société.

Ce couple devient catalyseur. En chimie, il suffit qu'un corps soit présent dans une réaction de deux autres ou plusieurs, pour que la réaction se fasse. S'il n'est pas là, la réaction ne se fait pas. Alors que le catalyseur n'abandonne absolument rien de sa substance, de sa structure. Il est intégral, il ne se mélange pas, mais c'est sa présence qui pourtant provoque le mélange.

Par la seule présence du couple, si elle est active, la catalyse peut commencer à se former dans des masses chimiques qui ne se rendent pas compte qu'elles vont être mélangées dans un phénomène qui va les dépasser, et ce phénomène, cela va être de passer dans une autre zone sidérale.

Dès que le Père a réussi a faire se créer un couple sur Terre en androgynat, l'expérience a réussi. Il y a succès. Après on peut s'arranger pour accélérer l'ensemble : c'est la catalyse.


Morfondre : Perdre du temps à la poursuite d’une affaire, d’une entreprise qui ne réussit pas, dans l’attente d’une personne qui n’arrive pas, d’un succès qu’on n’obtient pas.

Le SEPT de trèfle : représente la chance, le succès, à condition de ne pas associer les affaires à l'amour.


La leçon du "manque" est la plus enrichissante de votre vie, c'est après que vous vous en apercevez. Il vous fut dit : Cherchez D'ABORD le Royaume de Dieu, et le surcroit vous sera donné ! « D'abord », vous dit la Loi. Avez-vous vu quelqu'un obtenir le succès d'un examen ou concours sans avoir durement travaillé, appris, enrichi d'abord la richesse de son intelligence et de sa mémoire ?! Rien n'est gratuit avec Dieu, et selon la teneur de vos karmas. Il vous faut mériter qu'ils s'effacent par vos nouvelles vertus conquises. Apprenez cela à votre entourage qui se plaint.


Le Christ disait : 'Ne jetez pas de perles aux pourceaux'. Parce que l'heure n'était pas encore venue. Aujourd'hui elle est venue, pour que les hommes aient en main tout ce qu'il est nécessaire de connaître pour passer avec succès l'examen crucial, qui arrive.


Mais Jésus n'allait pas si loin. Il disait : "Aimez donc le prochain, celui qui est proche de vous". Ce faisant vous êtes des semeurs. Et c'est là qu'il disait la parabole du semeur : "vous semez". Ah, ben oui, alors il y a des graines qui tombent dans l'ornière, dans les cailloux, dans les buissons, ça pousse pas. Mais il y a quelques-unes qui tombent dans la terre meuble. Celles-là vont pouvoir pousser.
Ce n'est pas le fait du succès de ta parole, c'est le fait que tu veux semer. Et pour semer il faut que tu aies quelque chose à semer. C'est pas du bla bla bla. Tu es donc obligé de te nourrir de divinité que tu prends chez les athées, chez les matérialistes, les scientifiques au point de vue des éléments scientifiques que tu extrapoles comme des lumières divines que ces gens là n'ont pas comprises.
Tu prends dans les religions, tu prends dans les philosophies, et tu découvres de plus en plus l'ampleur de ce divin qui a conçu pour les hommes des quantités de facettes mais qui s'unifient de toute façon. Et que malheureusement les hommes s'amusent encore plus à diviser qu'elles ne le sont dans l'éparpillement de ce puzzle.

Cours de vente

Il est incontestable que des personnes sont douées pour la vente. D'abord : elles aiment ce métier. L'aimant, leur naturel et leur dynamisme, leur instinct et leur expérience seront des gages de succès.

Mais le progrès nous apprend que quiconque ne s'exerce que d'empirisme est voué inéluctablement à être dépassé par les méthodes, par les formations rationnelles, approfondies, illustrées non seulement sur une vaste expérience mais sur une diversité de cas telle, qu'un seul individu ne peut pratiquement pas en connaître l'ampleur ou les incidences.

Successivement s'ajouteront sur cette fiche des remarques vous concernant afin de vous aider au mieux de votre succès jusqu'au bout de votre assiduité.


Certaines gens également sont complètement absorbés par les préoccupations matérielles. Il leur faut des faits concrets, des chiffres et des statistiques. Selon eux, tout succès se mesure en termes d'argent et de biens matériels. Ils sont aussi aveugles que l'ermite qui renonce à posséder quoi que ce soit. L'ermite et le matérialiste à tous crins sont également déséquilibrés.


Toutes vos chances de succès dans la vie et dans la vente en particulier sont liées à l' "aimantation" que votre personne va produire sur les autres.

- Si vous êtes factice, artificiel, seulement méthodique et technique, votre influx n'existe pas, vous ne déclencherez pas le miracle qui ouvre toutes les portes des accueils, des échanges, des disponibilités, des générosités, des sympathies, des faciles décisions.

Avez-vous bien compris cela ? Oui, sûrement, mais êtes-vous prêt ou prête à vous exercer déjà chez vous, autour de vous, dans vos relations, dans vos prochains contacts ?


En cours de relation d'affaire, vous pouvez parfaitement décrocher un succès imprévu parce que, dans le cours de notre conversation vous aurez fait vibrer une fibre oubliée chez votre interlocuteur dont les sentiments furent peut-être sclérosés par des événements que vous ignorez.


L'affectation sera toujours ressentie aussi habile soit-elle et, malgré une technique du diable, celui ou celle qui s'en sert dressera au contraire un climat de gêne, de contrainte, d'irritation très défavorable à quelque succès prévu.



La clef de la réussite en relations, tout autant qu'en succès de vente n'est que l'art de gagner la sympathie d'autrui. Pour être efficace en affaires il faut persuader, mais la persuasion n'émane que de la personnalité, tout passe par elle, aucune méthode technique ne sera efficace si votre personnalité n'est pas réalisée, présente, sympathique.


Importance de la personnalité dans la vente

Toute votre carrière, sa réussite et votre succès dépendent de votre personnalité. Vous ne vous le répéterez jamais assez.

De la personnalité découle toute une psychologie éclairée, de celle-ci découle une parfaite connaissance de l'acheteur et de cette connaissance découlent technique et argumentation adaptées, et de celles-ci le succès de la personnalité dans l'acte de vendre.


Les carences, défauts, complexes, traumatismes, vices, pourraient sembler un handicap sérieux, voire une impossibilité au développement d'un individu. Oui, si la volonté de s'en défaire n'est pas mobilisée.

Dès lors où un désir, une décision de l'exercer se manifeste en compagnie d'une ambition définie, il n'y a aucun doute de succès.

Tous les exemples de cette sorte, où un lourd handicap fut laborieusement converti en qualités par la volonté, nous prouvent l'exceptionnelle réussite de ces individus en personnalités marquantes.


La timidité est issue de ce complexe d'infériorité.

Quel que soit le degré de gravité de ce cas, il n'est pas possible de conduire une vente à un succès.

Pourtant sa guérison est des plus totales pour tous les sujets qui ont compris que ce complexe fait partie des maladies types de l'imagination et de l'imaginatif.

A ces deux tempéraments d'infériorité, évidemment la vente peut être un remède parfaitement efficace, mais le problème est de pouvoir le mettre dans le bain avec le peu de succès qu'un employeur en tirerait d'abord.

Il convient donc qu'ils s'obligent à réfléchir sur leur problème à prendre des décisions d'actions qui d'habitude les gênent. Il faut qu'ils fassent ce qu'ils n'aiment pas. Aux premiers essais, ils auront vite compris l'inanité de leurs craintes.


Votre but est de transmettre vos idées à vos clients, le succès de votre vente et de toute votre carrière dépend de cette transmission.

- Pensez clairement pour dire clairement. Les mots sont les photographies de vos idées, choisissez-les belles et séduisantes.

- Vos idées bien exprimées doivent être une force, par le ton, la clarté, les mots et la logique de votre pensée.

- Ne parlez pas pour parler, pour emplir du vide, mais pour vraiment intéresser votre client.

Exercez-vous, en prenant des notes, à exprimer une seule idée de plusieurs façons et conserver la forme la plus correcte, la plus précise et la plus efficace.



Que l'essentiel de votre action et de votre succès est de dynamiser le motif-besoin en développant sur celui-ci le mobile-désir pour que la vente ne vous échappe pas au profit d'un concurrent.


Supposons maintenant que vous avez réussi à attirer l'attention d'un client. Il est attentif. Voilà le moment crucial. Dans les secondes qui vont suivre vous allez vers le succès de votre vente ou la rater.



Cet objet, cet article, ce service, ce contrat que vous devez vendre, pour "le" faire parler avec toutes ses chances de succès, il vous faut le connaître à fond.


N'oubliez jamais que vos munitions doivent correspondre à votre "gibier", mais que tel "gibier" exige aussi l'emploi de telle arme plutôt qu'une autre. Ainsi vos "coups de fusil" n'endommageront pas votre cible mais atteindront les points exacts qui déclencheront, automatiquement, la libération des réticences et donc le succès de vos arguments ajustés.


COMMENT PREPARER VOTRE ARGUMENTAIRE

Nous vous l'avons déjà dit, un métier s'apprend et se prépare.

Votre succès, votre efficacité dépendront de vos armes et de vos munitions.

Fourbissez et préparez à l'avance.


Faites des tableaux, classez vos arguments par correspondance de motivations. Gardez ces documents, consultez-les souvent, modifiez et ajoutez selon vos inspirations successives et vos expériences ; ils seront vos atouts majeurs de succès.


Devant quelque client que ce soit, il n'est plus question d'avoir fierté, amour-propre ou orgueil, sinon l'objection tourne à la discussion et à l'échange d'arguments acerbes.

Votre personne n'est pas en cause mais l'objet et le succès de votre vente.



Auriez-vous une technique parfaite des procédés de réplique aux objections, qu'intellectuellement vous auriez dompté le client dans ses opinions, MAIS si vous ne lui avez pas mis la manière et le sentiment, si vous n'y avez pas intégré tout l'altruisme que nous vous avons préparé, toute la personnalité chaude et communicative qui donne la sensibilité à ce que vous dites, votre succès sera compromis.




LES PROCEDES DE CONCLUSION

Il est évident, comme nous l'avons maintes fois répété, que les procédés que la technique de vente utilise ne peuvent être formulés avec succès que si l'ensemble des qualités du vendeur furent manifestées.


L'échec

Soyez beau joueur. Restez simple et regrettez courtoisement de n'avoir pas décidé ou convaincu votre client. Ne partez pas là-dessus si vous êtes représentant. Il faut peu de chose parfois pour susciter un regret chez le client et un renouveau plus favorable lors d'une autre visite. Parlez-lui un peu de ses affaires ou de choses et autres. Brièvement si votre temps est mesuré, mais laissez une trace sympathique.

On ne réussit pas toujours la première affaire, mais un échec ne vous empêche nullement de réussir un parfait contact humain qui laisse un excellent souvenir et de ce fait une autre possibilité éventuelle de succès.


Vous savez à quel point toutes les formes de la publicité commerciale suggestionnent les gens. Elle est faite pour cela et toute sa subtilité, lorsqu'elle est réussie, est d'atteindre certains centres moteurs dynamiques des gens qui ont tendance à se mettre en route sans passer par le plan analytique de la conscience. Ce sont par exemples toutes les envies sans discernement. Mais la suggestion publicitaire influence tout autant avec succès les centres intellectuels et conscients des gens qu'elle veut atteindre dans leur faculté analytique.


Le succès des grands magasins

La production moderne permet la fabrication en grande série à bas prix. Pour que ses possibilités soient exploitées, il faut à l'industrie un marché vaste et régulier.

Grâce à sa concentration financière et à la rapidité de sa situation, le commerce intégré répond à cette nécessité.

Il représente en effet les caractéristiques suivantes :

- La concentration des achats : les grosses commandes passées à intervalles réguliers, aboutissent à une diminution du prix de revient par suite de l'augmentation de la productivité industrielle.

- La suppression du stade grossiste.

- Une politique dynamique de vente en créant les besoins et en accrochant le client par des techniques de choc, psychologiques : la vente est devenue une opération complexe et axée sur l'étude des marchés et des gens, sur la publicité de la marque, la vente visuelle, le crédit, etc…

A cette puissance, à ce dynamisme des grandes entreprises le petit commerce traditionnel oppose sa faiblesse et son inadaptation.

- Le petit détaillant attend le client et pratiquement ne fait aucune publicité.

- La petite dimension des magasins et leur trop grande spécialisation nuisent à leur modernisation.

- L'âge élevé du détaillant (moyenne en France pour l'alimentation = 53 ans) lui donne un caractère routinier et peu enclin au progrès.

- La mauvaise implantation des points de vente.


La publicité prépare le climat d'achat, fait naitre des mobiles et motifs d'achat, crée des besoins, aimante la clientèle. Mais le meilleur organisme de vente sera celui qui aura le meilleur réseau de vendeurs. Les vendeurs qui savent imposer leur Marque font le succès de leur Maison.


Nous voulons dire que si les vendeurs veulent le succès de leurs ventes, et cela va de soi, ils doivent en priorité vouloir animer les valeurs sensibles des gens qu'ils approcheront commercialement.

Retenir une clientèle, c'est la respecter, c'est la comprendre et l'aimer.


Mais celui qui possède une connaissance parfaite de son métier, et EN PLUS le pouvoir d'influencer ses collaborateurs, celui-là montera plus haut que les autres, celui-là parviendra au succès.


Comment faire appel au subconscient.

Nous espérons vous avoir donné les clefs secrètes de la persuasion, les moyens qui feront votre succès dans vos relations commerciales et autres.

Rappelez-vous sans cesse que vous ne vous adressez jamais au client, à l'individu, à l'ami qui est en face de vous, mais à la partie de lui-même dont il n'a pas conscience et qui pourtant le mène a 80 pour cent de son comportement "raisonné".



Attention, les succès immédiats sont plus apparents que réels. Ils sont susceptibles de déboires futurs si vous vous leurrez sur vos « capacités » ou votre chance.



Le vendeur doit toujours apporter avec lui une bouffée de printemps et de renouveau. Il quittera un jour son métier pour le repos, mais avec le même sourire juvénile qui fit le succès de ses relations commerciales.



La clef de la vente

Bien sûr, il faut de la persévérance pour aboutir à tout succès, mais il faut la considérer comme une longue ligne de conduite sur laquelle vont converger les qualités volontaires à exercer et à parfaire.



Le succès ou la médiocrité d'une affaire de Vente dépend de la conception de son chef d'entreprise en ce qui concerne sa marchandise :

- Ou il compte sur les velléités d'une clientèle capricieuse pour "écouler" cette marchandise.

- Ou il l'a fait imposer à cette clientèle par un personnel conscient de moyens efficaces et faciles à un rendement inespéré.

C'est à choisir = routine ou métier vivant et dynamique.



Votre labeur progressif, patient et attentionné prépare votre succès solide et sûr de demain. Lorsque le jour viendra de diriger, de commander, d'organiser avec efficacité, c'est que vous aurez su, aux débuts de votre carrière de vente, vous colleter avec les difficultés, les surmonter, les connaitre à fond. Si vous avez su vous discipliner et vous former, vous saurez former et discipliner les autres. Si vous avez su aimer votre travail et vos relations, vous saurez faire aimer le métier de vos collaborateurs et vous faire aimer. Rien de valable n'est gratuit !


Il devient pédagogue, instructeur actif, et il devra révéler à ses équipiers toute la remise en place de leur expérience désordonnée, toutes les clefs inaperçues et qui font vendre, toute la simplicité d'une technique dont l'ignorance compliquait leur travail et retardait gains et succès.
 

 

Résultat

 

Cours de vente

La crise du petit commerce est le résultat de son inadaptation et non celui de la concurrence des grands magasins.


L'intuition des gens s'exerce tout de suite sur le premier contact. Il en résulte ce qu'on appelle "la première impression". Immédiatement le psychisme du client, en alerte, déclenche un comportement qui va être la résultante de cette analyse instinctive.

Pour beaucoup de personnes cette première impression sera tenace et ne sera pas modifiée.

Donc, de la première attitude intérieure du client, dépend toute la suite du contact. Tout votre entretien s'en ressentira, jusqu'à la conclusion favorable ou non.


Par contre, notre vendeur acteur peut tout autant voir s'épuiser toute sa technique préparée sans résultat escompté et devoir créer, concevoir des moyens supplémentaires pour obtenir l'achat d'un client.


Or, tous nos actes résultent toujours de nos jugements.

Nos jugements résultent de ce que nous appelons "nos opinions". Mais ces opinions que nous qualifions de "nôtres", d'où proviennent-elles ?

Presque toujours, elles sont le résultat de "ce que nous avons entendu dire", c'est-à-dire de l'appréciation de nos voisins, de nos relations, de ce que nous avons lu, par exemple dans les journaux, ou sur les murs. Il n'y a pas un exemple sur mille où une de nos actions soit motivée par un jugement qui émane de notre seule faculté de comprendre et de sentir.

Tous les jugements proviennent de l'extérieur, c'est-à-dire de la suggestion.


N'attendez pas la fin de votre tournée pour enregistrer sur vos fiches les résultats et les remarques de vos visites. Vous risquez d'oublier bien des détails importants et vous vous éviterez un long travail de mise à jour en le faisant après chaque client dans votre voiture. Si certaines circonstances vous empêchent de le faire après chaque visite, notez au moins sur votre carnet de route l'essentiel et le soir même reportez vos notes sur les fiches.


- Préparez chaque jour le programme du lendemain.

- Préparez chaque visite à l'avance avec votre fichier.

- Vous n'obtiendrez aucun résultat sans préparation.


Avez-vous porté sur vos documents de clientèle les résultats références de vente de votre Maison que vous pouvez consulter auprès de votre Direction ?

 
Car ici-bas, tout le monde fait coïncider l'idéal et l'intérêt.

Cela résulte des habitudes intellectuelles et morales que chacun de nous prend à son insu.

Ne perdez pas votre temps à essayer de persuader au juge, au gendarme, au prêtre, au commerçant, à l'avocat, etc... qu'il agit par intérêt. Il ne vous croirait pas.


Conservez par ailleurs vos résultats effectifs quotidiens de vente et l'évaluation progressive de vos commissions. Voilà votre récompense.

La sagesse traditionnelle prétend, encore une fois, que l'argent ne fait pas le bonheur. Il est un fait que notre attitude vis-à-vis de l'argent résulte d'une immense suggestion. Car nous croyons et nous croirons toujours manquer d'argent, n'en avoir pas assez pour telle ou telle raison.

Les dépenses immédiates, comme l'alimentation, peuvent être à leur tout extérieures, si vous achetez un gâteau chez le pâtissier, ou intérieures, si vous préparez ce gâteau à domicile. Dans ce dernier cas, la dépense est moindre, et le résultat meilleur, mais un travail de préparation est nécessaire. Certains travaux d'exécution par "l'extérieur" ou "l'intérieur" retrouvent la même économie.

- Ne jamais chercher le gain. Le gain vient tout seul : résultat inévitable de l'assiduité au travail et de la progression de vos valeurs.

Il est indispensable de fournir initialement une grosse somme d'efforts dont les résultats ne se feront sentir que longtemps après.

Le travail, ce sont les semailles, il faut des saisons avant la récolte.

- Qui est arrivé à travailler peu et à gagner beaucoup, profite donc après coup du travail effectué tout d'abord sans grands résultats apparents.

- L'effort et le résultat ne sont pratiquement jamais simultanés. Le résultat succède à l'effort. Souvent un intervalle très long peut les séparer. Les exemples ne vous manquent pas pour autant dans la longue préparation aux examens pour de belles carrières que pour lancer laborieusement une affaire qui ne sera productive qu'un assez long temps après ses débuts.

- Donc ayez bien en tête cet objectif très clair d'à-venir :

L'importance du résultat est proportionnée à la durée et à l'intensité de travail de « l'attente ». Bien sûr, il est peu de cas, sauf aux préparations d'examens, où cette attente ne rapporte pas un peu d'argent, mais la richesse que nous désirons pour vous doit être une ressource financière indéfectible, d'une valeur propre à votre métier et à votre personnalité, et telles que ces deux valeurs soient devenues solidaires par un mûrissement effectif et non pas un fruit financier éphémère issu des circonstances étrangères à vos efforts suivis et conscients.

Ce sont ces aventuriers des « circonstances » qui sont les parasites des employeurs et du travail, ils sont instables parce qu'ils veulent gagner, récolter sans mériter, sans labourer, sans semer.

= Une valeur de métier ou un métier de valeur se paie toujours à son prix et il y a toujours preneur intéressé pour un vendeur qui a fait son métier « en lui » pour produire.

5 – A quoi attribuez-vous que le résultat n'est pas toujours simultané à l'effort ?



Charroux

Paradoxe ! C'est par l'erreur, une tromperie utilisée, un leurre que la clairvoyance se développe, s'accentue sur des vérités évolutives ou différentes. Il... résulte de tout cela, non pas tellement l'importance d'une Connaissance absolue, réelle, mais "ce" qui était provoqué pour l'homme mobilisé en exercices de savoir : une ouverture d'esprit, de plus en plus vaste, une disponibilité préparée à toute éventualité surprenante pour d'autres dimensions hors la Terre et son corps actuel et une potentialité créative qui lui reste.

Bref, être utile à un ami sur le chemin de la lumière, c'est lui transmettre au mieux son "Soi", ajouter au sien une optique supplémentaire et faire la synthèse pour voir ce qu'il en résulte.

Quand on voit, ami, ce qu'il en est de ceux qui prétendent croire en Dieu et à l'Amour, qu'en résultera-t-il de mieux, de plus, quand la science aura démontré que Dieu existe, qu'il est né de telle genèse (l'homme), qu'il est destiné à... Il restera toujours l'effort des valeurs à élaborer.

En fait, ce qui compte, c'est que l'homme, en certaines circonstances, croit à sa liberté, il en résultera toujours une façon, un sentiment, qu'il aura mis à « agir ». Cela lui comptera ou non selon son comportement d'instrument inconscient.


Il va créer deux espèces = Males + femelles pour la reproduction avec des attractions obligées afin qu'il en résulte une étincelle sentimentale personnelle issue des deux éléments automatiques, polarisés, complémentaires et antagonistes. Puis, dans l'ensemble de l'Humanité, afin qu'une conscience s'éveille vers LUI, le Tout Créateur et Créé, qu'une pensée programmée, (qui n'est RIEN puisque sans vie propre, personnelle) devienne consciente, personnalisée avec une notion voulue d'amour de la Vie et donc vers sa Source ; il va, dis-je, créer deux espèces d'êtres = des robots humains existentiels (exister = ex sistere = se tenir en dehors (non véritablement vivants)) c'est-à-dire, l'une, sans notion programmée de métaphysique, sans possibilité cérébralo-physiologique de conception divine.

Je viens de vous parler de l'organisme de l'homme. Pensez un peu que vous n'avez, vous, aucunement à penser à la marche et aux métabolismes de vos milliards de cellules. Drôle de Hasard qui s'occupe de ça !! Quant à la rapidité qui peut vous étonner dans le truc du 7 de Carreau forcé, dans le calcul, dans la direction des manipulations, quel enfantillage à côté de ce que la science découvre dans les structures biologiques, dans l'électronique, etc... alors que ce livre de science n'en est encore qu'à l'introduction. Et puis il ne faut pas oublier la possibilité d'une autre dimension de l'Esprit, de concevoir à l'envers. Si bien que le 7 de Carreau part de la main de Catherine pour aller se mélanger dans le battage du jeu. Alors, rien de plus bête et facile. Moi je peux passer à l'écran, un film commençant par la fin et je détiendrai les résultats, les conclusions d'un thème, avant le commencement, et avant les causes. Image, bien sûr, d'une tactique de l'Esprit Dieu dans une autre dimension que la nôtre mais avec interférence sur nos consciences.

Mais, de plus, cette Kabbale antérieure à Jésus, fait mention de l' "avatar" Jésus. Il est inclus comme élément catalyseur ou fécondateur, si vous voulez, dans le cours de la Cosmogénèse de l'Humanité. Genre d'Amant Insolite...
Alors, ami, il en résulte, Jésus ou pas, UN phénomène REEL, appelons-le christique. Synarchie peut-être, coup monté, peut-être, mais certainement guidé par l'Invisible Inconnu Mystérieux qui a apporté là, de force dans les actes des hommes son "Sept de Carreau". Pas plus que Catherine a vu "le Nain jaune" lui mettre de force cette carte dans la main, pas plus Jésus n'a à être visible en dehors des faits manifestés dans le jeu des hommes. Qu'est-ce que le Nain jaune ? un mythe, mais on joue à partir de ce mythe, une règle existe. Dans cette règle certains phénomènes dérogent aux comportements habituels statués, et ces phénomènes sont visibles. On ne s'attarde pas sur ce qu'est ce petit nain jaune, mais on veut voir plus loin, plus haut...

Alors, si je m'exprime si largement, vous voyez que ma foi est basée sur du vent et mon intellect des résultats, des constats. Je ne cherche pas à me "réfugier derrière un mythe concrétisé !" Ne voyez-vous donc pas qu'en réalité JE M'EN FOUS !!!
Je suis capable de bâtir toutes les hypothèses possibles sans me choquer ni attenter à quoi que ce soit de mon intégrité.


Ouvrages

Le De-Venir, tout simplement : “Vient-de” ce qui est conçu, choisi, selon les lois divines et de la Nature. Non seulement l’Humain provoque un karma futur qui va, en écho, immédiatement se mêler à son concept selon l’esprit avec lequel il l’élabore. Autrement dit les résultats lui “arrivent avant de partir”. Mais aussi et forcément il reçoit “présentement” les effets du karma dont il est responsable, de son Passé. C’est un Croisement ! Ou il est bénéfique si l’Homme ne conçoit qu’en responsabilité intertemporelle en respectant les règles du Grand Jeu de la Vie ; ou il est maléfique s’il ne tient pas compte des factures temporelles qui l’endettent sans cesse jusqu’à la failli-te !


La biologie nous révèle l’hypertrophie de notre hémisphère cérébral gauche. Que résulte-t-il de la carence du cerveau droit et de l’hypertrophie de l’autre sur le comportement humain ?


Pourrait-on créer une âme chez cette personne ?
Il faudrait une vie entière pour apporter à cet individu une conscience chrétienne. Mais elle n'aurait pas de mérite. "Vous savez, nous entrons dans une ère de manipulation et ça va aller de plus en plus, hein. Les défenses, les lois, ça marchera pas. Seulement y'a des lois divines qui sont plus fortes. Et les résultantes, elles se font payer.
Tout doit être fait par les lois naturelles. Dès l'instant où on veut bricoler c'est de la responsabilité des responsables.
 

Et pourtant, si tu ne penses à quoi que ce soit qui y est inscrit, réfléchis-bien : il n'y a rien !! Tu es vide ! Et néanmoins, de ce vide énormément comblé d'invisibles potentiels, tu peux mettre en route, idées, sensations, actions ! Ainsi l'Amour est inscrit en toi, en tous, vous ne le savez pas. La preuve, vous ne le reconnaîtriez pas s'il n'était déjà imprimé en vous. Le rien ne produit rien ! Il vous faut donc le réveiller, le révéler, l'édifier vivant. Mais c'est primordialement une énergie. Cette énergie a pour corollaire : la colère. Cette double énergie qui mécanise la marionnette humaine et qui la fait mouvoir est la résultante de la chute de l'ange.

Bien sûr, on peut classer l'Amour et la colère dans le même caractère et même mot de "Passion". Tu remarqueras, fils, que le mot passion a pour valeur "93". Tu sais pourquoi, j'espère. Alors, considère que rien en effet ne s'élabore vraiment sans passion, en Bien, hélas aussi en mal. Mais ce qu'il en résulte, c'est de l'énergie, et comme je te l'ai dit, elle peut toujours servir et alimenter l'Amour. Rappelle-toi bien cette formule évangélique assez troublante pour les croyants surtout pour les "bénis-oui oui", les bigots et les âmes exclusivement pieuses ! Je les avais pourtant avertis tous ces rituelistes superstitieux : "Ce ne sont pas ceux qui me disent "Seigneur, Seigneur"...Je ne les reconnaîtrai point ! ".


Le noyau est une graine où se croisent tous les éléments d'un devenir. C'est le résultat d'un croisement de vie.



Toute l'Académie française ou autre, gave d'encyclopédantisme, au même titre que les religions, tous ceux qui croient au sacré de dogmes cléricaturés par des prétendues règles inamovibles. La règle n'est en réalité qu'une "pratique", pratique momentanée et centre d'application pour une "ex-Péri-ence" plus vaste. Expérience : ence=action et son résultat ; ex=tiré de ; péri=ce qui est autour...


Je disais que le terme de "mesure" qualifiait tout ce que fait et pense l'humain. C'est le caractère même de sa libre élaboration par des myriades de choix, et tout choix est la résultante d'une mesure. Toute idée exprimée est mesurée selon le mot, la phrase qui vont les signifier les plus justement. Toute décision est une mesure qui provoque une "mesure à prendre" ! Le Nombre est appliqué et impliqué à l'Homme puisqu'il ne peut évoluer qu'en Société, dans le "Nombreux" et dans l'innombrable "déchiffrement" des savoirs et des expériences. Son capital d'être est une mesure sans fin d'accumulations d'élèments infinis.


Faire parler le Verbe ; tu  parles ! Sans filtre, tout est bon ! On a vu souvent ce qu'il en résulte. Alors vient le moment de méditer.


Le Français est une langue sacrée, parce qu'il résulte de l'addition du grec et du latin qui étaient avec l'hébreu, les 3 langues utilisées pour l'inscription INRI sur la croix de Jésus-Christ. C'est pour cela que la translittération numérale du français selon la Cabbale hébraïque a un sens profond.


" Et ne dites point, remarque de Maistre, qui avait lui aussi le pressentiment de quelque manifestation nouvelle du divin Esprit, dans ce même temps, ne dites point que tout est dit, que tout est révélé. Sans doute que rien ne nous manque pour notre salut ; mais du côté des connaissances divines, il nous manque beaucoup...mais savons-nous ce qui nous attend nous-mêmes ? " Dieu sera avec nous jusqu'à la fin des siècles, les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre l'Eglise, etc..." fort bien : en résulte-t-il, je vous prie, que Dieu s'est interdit toute manifestation nouvelle, et qu'il ne lui est plus permis de nous apprendre rien au delà de ce que nous savons ? Ce serait, il faut l'avouer, un étrange raisonnement " (Soirées de Saint-Pétersbourg, T.2, P.285) et d'Orient continue : " Cet auteur croyait donc, comme nous l'avons rapporté de Saint-Augustin que, par la suite des siècles, des vérités jusqu'alors inconnues pourraient venir à la connaissance de l'Eglise ; et il se persuadait que nous étions actuellement arrivés à l'une des époques de ces grandes manifestations.


La langue française semble n'avoir pas eu d'origine tellement elle est devenue la résultante d'innombrables racines, comme celles, presque toujours invisibles des arbres. Racines qui peu à peu alimentent un tronc d'une sève prise dans la diversité de ses infiltrations dans la terre. Ce n'est pas un hasard qui suscita ses méandres parmi des langues étrangères ni l'incidence d'envahisseurs qui lui brodèrent des expressions qui nous rapportent l'écho d'un racisme adopté avec ses caractères exotiques !


Ne sont valables que les échanges concrétisés d’harmonieux résultats.


La Société donc est la résultante de ses cellules reproductrices et éducatrices de base : les couples. Et, dans le Bien comme dans le mal, chacun, chacune ou chaque rassemblement entraîne avec soi son fantôme puissant dont on peut être l’esclave bestial à l’image multipliée de ce qui fut émané (= sorti de l’humain) ou au contraire une aura de protection, de vitalité paisible et enrichissante.


Pour comprendre ce droit à la qualité d’ambiance, et pourquoi ce droit existerait-il, il nous faut examiner la nature même de l’homme en société et aussi dans la Nature Planétaire de l’humanité où chacun naît, apprend à vivre, à admirer, à se sentir bien, mais hélas aussi à mépriser et à détruire.
En effet, partout, en quelque lieu que ce soit, l’homme est encadré, dirons-nous, dans la vie puisque la Nature ou son habitat seront les limites de son horizon d’existence. Et, selon que ses chromosomes héréditaires, son éducation familiale ou pédagogique ou les velléités d’une jeunesse débridée et incohérente exerceront leur puissance sensitive ou leur aberrance sur l’individu, il en résulte un goût ou un dégoût avec toute une gamme psychanalytique complexe dont nous voyons les effets sur notre civilisation actuelle en effervescence.


Tout cultivateur sait que son travail va de la graine au fruit. La récolte est son salaire et son titre, noble et vital. Et il sait qu’il ne peut échapper à la loi des soins constants et préparatoires des résultats à venir. Tout travailleur sait que le dilettantisme est la ruine de toute prétention à connaître ses fruits. Beaucoup d’intellectuels et de gens dits, fort peu justement, “cultivés”, ne produisent pas LEURS fruits, mais vendent ceux des autres. Car ce sont les autres qui les ont “cultivés”. Paradoxe des valeurs ! On ne jugera donc l’arbre qu’à ses fruits si des opinions veulent se formuler. Mais, peut-il se permettre de juger celui qui n’a comme fruits que des opinions, et qui ne sait pas que le mérite est déjà un fruit qui ne périt pas, quelle que soit sa couleur et son suc si la sève est d’Amour ?


La “conscience d’abstraire” DOIT être dans l’homme pour ETRE, pour voir et comprendre, se situer et faire. Et cette conscience d’abstraction constitue une des supériorités essentielles de l’homme entraîné sémantiquement sur un individu qui ne l’est pas. La Conscience Sémantique est une polyvision sans restriction, universelle. Elle est aussi nécessairement polyphonique, liée à une science syllabique des racines et des échos du Verbe, soit dans le Français ou dans toutes relations interlinguistiques. L’Imagination sonore est la clef des “entendements” et de l’Entendement Divin. “Son et Lumière”, c’est “l’épellation” (épeler et peler) des images, des mots et des sons, et le MEL-ANGE de tous les signes qui en résulte pour re-signifier des concepts qui s’enrichissent ainsi par cette Sémantique.


SEMANTIQUE INTELLECTUELLE ET SEMBIOLOGIQUE : On a dit : “la carte n’est pas le terrain”. La Sémantique Générale est un moyen d’EXPLORATION. L’action est la conséquence d’une décision intellectuelle, celle-ci résultante d’une exploration spéculative... d’abstraction. Si la Sémantique des signes et langages est l’exploration de la carte, il ne faut jamais oublier qu’elle est le “plan” d’une action à réaliser dans le vif. Connaître les mots, c’est vouloir aussi les manoeuvrer et les provoquer (pro-voquer...) chez les autres. Tel homme : tels mots, tel langage et réciproquement. Dis-moi quelle Sémantique tu fréquentes, je te dirai qui tu es ! Car l’épée du Verbe, bien que toujours “flamboyante” est à deux tranchants.
Faire comprendre la Sémantique et en donner les clefs, n’est pas le fait d’un jeu de technique de mots sur le papier, il “faut le fai-re” !... Révéler aux êtres leurs propres paroles, leur dévoiler la structure préconçue et “spirituelle” de leur langage, c’est vouloir les connaître, les comprendre, les aimer et leur donner LE SENS de leur vie. C’est en ce sens que la Sémantique est une Biologie du Logos et une Science de Vie. Cette insémination est un acte d’Amour qui ne doit jamais manquer de délicatesse, de compréhension et de sincérité si nous voulons que notre Sémantique soit fécondante, agréable et “édifiante”.


Ainsi de l’abandon des Clefs qui ouvraient ce Royaume des Cieux, il en résulte ce que vous voyez de l’abêtissement permanent des théologies religieuses. Les Ecritures sont formelles et tous les textes sacrés et traditionnels, il est écrit “seigneur”, avec ou sans majuscule selon, en parlant de Jéhovah, de Dieu, de l’Eternel ou du Christ. Il est écrit “seigneur” en parlant d’anges, d’élohim ou d’hommes. Il est écrit “seigneur” en parlant de roi, d’un fils de l’homme ou du Fils de l’Homme. Et cela, entre mille autres choses, n’a jamais intrigué un théologien, un exégète, à plus forte raison un pape. Et Dieu sait pourtant s’ils se battent pour des mots et sur des mots.


Références du livre de R. Chauvin :
“A partir d’une certaine richesse de connexions nerveuses qui permet un grand nombre de programmes, il est possible d’arriver au même résultat par plusieurs chemins, par plusieurs programmes. A la limite peu importe le programme”.


La synthèse est la résultante de l’analyse, ce qui revient à dire qu’il faut bien regarder avant de prendre crayon ou stylo.


On ne peut nier que l'échec de l'histoire des hommes, dont on fait actuellement le douloureux bilan, est lié avant tout à l'ignorance de son état d'humain par rapport à l'Univers, et au résultat de toutes les mesures incohérentes prises, pour subsister, survivre, croire ou faire dans une "relativité" monstrueuse et aveugle de moyens, ceux-ci forcément incompatibles avec un principe unitaire de cohérence, totalement ignoré de La Science en ce qui concerne une physique et une métaphysique.


L'Oeuf Noir est un jeu de mots "phonétique", cabalin et "cabalistique" sur "L'OPHNAR", Dimension ineffable, absolument indescriptible, incognoscible; à la fois créatrice et résultante des 22 Dimensions... L'Ophnar est DIEUX. Il n'obéit à aucun Dieu, passe par-dessus tous les Dieux..."

L'Ophnar est la cause et la résultante d'une énorme seXualité de croisements les plus fantastiquement et les plus subtilement divers. C'est l'Incommensurable JE SUIS qui se croise à LuiMESME sous la forme pronominale "EGOïste" de sa con-jugaison en SE réalisant sans fin par autocroisement de ses parties évolutives. Le mot géométrique qui définit et signe ce "DIEUX-OPHNAR" = 63+72 = 135, est: SEXES. Vous remarquerez le SE: "pronom personnel "réfléchi" de la 3ème personne, des deux genres, représentant le même être ou la même chose que le sujet", dixit le Grand Larousse de la Langue Française en 7 volumes. Une sacrée définition à méditer ! Vous constatez que le pronom SE se voit refléter "à l'envers" ES, inversé à la fin du mot. Or ce "ES" a deux significations en plus de la "personne" première inversée, d'abord, selon Littré par exemple, "c'est un préfixe répondant à la préposition latine EX, et qui exprime l'état ou la position ANTERIEURE d'une personne. En préposition latine ES en EX signifie "sorti de, extrait de, hors de".
Le coït du Grand Œuvre : la pénétration du mercure passif par le soufre vif. Gravure extraite du " Rosarium Philosophorum "


Et vous voyez bien qu'en ce dernier mot seulement l'enGENdrement peut se faire et doit se faire : GENER-A-LISER, géner: qui engendre, A : selon le principe unitaire et qui unit tout depuis le commencement, user : suffixe signifiant: devenir, ou rendre semblable, causer, produire. Vous en retrouvez le complément dans GENERALITE, le suffixe ité ou té signifiant un état, une manière d'être, une qualité, puis l'action et le résultat. (Ceci est tiré intégralement des Dictionnaires).


Pas d'eau et c'est l'absence de sève, de sucs, de sang; pas de photosynthèse de la lumière, pas d'oxygène respiratoire, etc... Il suffit que la teneur en eau baisse d'environ 20 % pour qu'en résulte la mort des tissus.


Quand l'Alchimie parle de "la voie humide", je doute qu'on ait compris la relation consanguine de la Matière, liée à son atmosphère bien sûr, avec l'humaine transmutation. De quoi changer "l'humeur" des anges par une SUC-culante nourriture terrestre. Suc vient du grec Chulos, kulos, ayant donné chylos, le chyle et chumos ou khumos remplacés par chymos, signifiant HUMEUR, ayant donné chyme. Or, ces deux termes expriment "le résultat essentiel, nourricier, de la digestion" ! Eh bien, une opération importante de l'Alchimie s'appelle "Digestion", voulez-vous l'assimiler à celui de l'Assimilation en ce qui concerne l'esprit, la compréhension...? Le mot digestio latin, du verbe digero qui signifie : distribuer, diviser, vous rappelle tout ce dont a besoin notre esprit pour "concevoir" à partir d'éléments épars mais inséminateurs lorsqu'on veut objectiver une inspiration. Le nom digestio signifiant: arrangement, ordre, vous l'assimile à celui, grec, de kosmos, tiens... !


Voilà, je le répète, l'Unique et seule Eucharistie pratique et VRAIE. Vous pouvez alors lire en clair, après ce que je vous ai démontré de différentes façons, du Couple, du Sang et de Dieu, que L'ALCHIMIE, selon ces clefs uniques et dévoilées, c'est "Le Sang de Dieu" inscrit en ce mot même, en reprenant ce que vous avez lu précédemment de AL-CHYMOS (de chumos, du grec kumos : humeur...) et chyme, le résultat de la digestion et qui devient sang. Le préfixe AL signifiant Dieu en diverses langues, vous lui adjoignez la succession CHYME, shémie, shème, S'HEME  "le sang de soi". L'HEME est le groupement prosthétique (protéides complexes) ferrugineux de l'HEMO-GLO-BI-NE... L'hème joue un rôle important dans le phénomène de la "re-Spiration". Voilà de quoi trouver des allusions clefs.


"Quelle que soit l'hypothèse à laquelle on se rallie, un fait demeure, la vie résulte D'UNE ORGANISATION, d'un équilibre, d'une ordonnance régnant entre les parties, au sein d'un édifice matériel complexe hétérogène. Ordre à tous les niveaux : atomes, molécules, macromolécules, organites, organes; en vérité, LA VIE EST LE TRIOMPHE DE L'ORDRE."...


Distinguez bien en ces inspirations reçues par des penseurs, troublantes tout de même en rapport du Dieu absolu du Catholicisme, que Dieu est considéré comme un Dieu établi, mais à la fois comme évoluant en humanité, comme se refaisant à l'image de l'Homme pour devenir L'HOMME Suprême : DIEUX. Vous comprenez mieux encore pourquoi son Nom peut prendre un X symbolisant le résultat d'une MULTIPLICITE et d'une MULTITUDE réalisante et SE réalisant.


Pro-duire, con-duire. On produit pour conduire tous les éléments d'un programme vers une Destination ou un Destin. Toute production est liée à son Producteur. Un produit a d'abord été désiré, imaginé, conçu puis créé. Ce qui a été conçu une première fois et produit, peut être reproduit indéfiniment. Il est programmé pour se conduire tout seul dans la multiplicité selon la "duplication" induite par le proto-TYPE. Pour produire en reproduction il n'est besoin que d'un modèle et d'un mode d'emploi. Cela n'implique pas de recherche. Ce qui n'est pas le cas pour créer par conception, encore moins pour une libre auto-génération humaine. La création étant la mise en route du résultat d'une con-Ception laborieuse en "l'AB-Oratoire" : (travail du Verbe en soi).

Il y a un premier laboratoire, c'est l'Esprit du Créateur AVEC son Verbe. Voir Genèse et St Jean. Il y a des laboratoires secondaires, des matrices, diverses "matières" conçues pour cela où sont ex-péri-mentés (ex-péri-mental...) les projets déposés en "germes". C'est la re-production automatique pour les projets définitifs.


Dans un article "Du Sommeil à l'Eveil" j'ai déjà mis en évidence la "tromperie" des apparences et l'intérêt d'inverser les facteurs pour découvrir une réalité accessible. Et je disais en substance que c'est la différence de potentiel, ou l'inégalité qu'il y a en une dualité, qui crée le mouvement, l'équilibre étant inerte. Et par l'Amour, nous découvrons des principes de physique que nous avions oubliés ; une citation nous tombe sous les yeux, énoncée en 1885 par Pierre Curie: "Lorsque l'on superpose un phénomène à un milieu, le résultat contient au moins tous les éléments de symétrie primitifs, mais il peut aussi en posséder d'autres. Pour qu'il puisse se passer quelque chose, il est indispensable que certains éléments de symétrie n'existent pas".


Le problème sexuel devint pour ceux-ci un objectif majeur à acquérir. Le sexe devenant pour eux le grand symbole de l'indépendance, les rendant féconds comme de vrais dieux. Des opérations aventureuses furent commises par des manipulations génétiques sur des organismes angéliques, les résultats furent "monstrueux". Ces êtres, anges "loupés" étaient comme des bêtes. D'innombrables essais en firent une variété de véritables démons, mais aux divers caractères et sensibilités...


Il n'est qu'une seule voie salvatrice de l'être face à l'échec de la liberté telle qu'elle a été utilisée, et être libéré de ses pièges, c'est obéir aux lois ordonnées de la Liberté dans la Lumière contre la liberté des ténèbres. Ce Combat est un éclairement. Elles sont vos guides et votre "Assurance sur la Vie". Même en cas d'accident où votre responsabilité est dégagée, vous êtes... remboursés de tout dommage. Là, il y a un délai, nécessaire, mais du moins vous êtes "assurés" du résultat en toute Justice divine. Méditez sur le terme "Assurance" lorsqu'il fait partie de votre passage terrestre. Il est plus fort que la "Foi" aveugle ou aveuglée de puérilités, car votre assurance d'esprit est liée à un contrat détaillé en toute Lumière et qui vous protège parce que vous vous protégez par lui !


Il y a deux sortes d'intelligence, en gros. Celle qui est le résultat d'un long enregistrement de tout ce que l'on voit, apprend, ressent dans l'existence. C'est une mémoire ayant accumulé toutes sortes d'informations par le fait tout simplement d'être vivant et d'avoir cinq sens principaux capteurs. Tout cela, je l'ai dit, permet de faire fonctionner la pensée de la personnalité humaine et d'exprimer de ce catalogue : des conceptions, des opinions, des états d'esprits... Ce cumul permet énormément de répétitions de ce qui est capté et que l'on fait sienne par choix, souvent sans s'en apercevoir. Cela est fréquemment confondu avec ce que l'on appelle des opinions. Difficile de dire celles qui sont personnelles, comme idées premières par exemple ou par synthèse d'observation, de celles qui sont calquées sur des opinions extérieures. L'érudition, par exemple, peut n'être qu'une bonne mémoire enregistreuse et peut travestir un manque total d'intelligence. Vous avez l'expérience des "beaux parleurs" et de leurs carences lorsqu'ils sont devant de vrais problèmes. Des facilités intellectuelles peuvent également cacher une intelligence sommaire et les innombrables emprunts font office de brillance.



N'oubliez pas, lorsque vous pensez "liberté", ce ne sera exclusivement que celle du choix, car aussitôt vous êtes soumis à ses conséquences. Donc libre conception mais non plus des conséquences d'application qui s'enchaînent ou des aléas... C'est pourquoi choisir, c'est tout envisager et accepter ou subir ce qu'il en adviendra, sinon encore et encore choisir autrement. Cela s'appelle "se hasarder", avec les drames de l'incertitude. Méditez-donc sur les significations du mot CAUSE, en tant qu'origine, résultante ou procès. Tout choix porte en lui ses propres conséquences. Il n'existe qu'Une Causalité au Monde Dieu. Or, "c'est le lien qui unit une cause à son effet" dit le dictionnaire pour "causalité". Mais réalisez que : c'est une permanence, et l'homme est dans cet "Alpha-Oméga", alors, qu'il soit logique !


Réunions


Les célestes ont de grandes administrations à des échelles galactiques, et qui se ressemblent, mais elles sont autonomes entre elles. Il en résulte un oecuménisme des échanges.


Les résultats de la méthode Mézière sont incontestables.


André déclare sa préférence pour l'éducation des enfants par l'école privée où au moins on apprend la notion de Dieu et que l'homme a un devenir à se donner, autre que matérialiste. Et les résultats scolaires sont là.


L'adoption et le sentiment qui en résulte démontre que la chair ne prévaut pas de la qualité, de l'intensité des sentiments parents-enfants. On donne la même chose. Mais il est certain qu'on est bien plus content quand on a mis l'enfant au monde. C'est le fruit de leur amour. D'un couple qui s'est déjà accompli, avec accord de ce qu'il faut donner à un enfant.


Si on a une idée préconçue, les travaux seront influencés par elle, et presque instinctivement on faussera les résultats, pour les faire adhérer à cette idée préconçue, plutôt qu'à la réalité.
La chute des Néphilim, ayant à la fois apporté la science et le chaos, est une leçon pour les fous scientifiques qui sévissent, y compris dans le domaine de la manipulation des âmes et des esprits (car il faut passer par là pour atteindre les âmes). Le déluge en est la résultante.


L'accumulateur est un appareil qui ne produit pas à mesure qu'il enregistre de nouvelles valeurs. Il symbolise la patience avant obtention d'un résultat. Mais son action finale sera efficace, et plus efficace encore par le fait que ces valeurs sont une structure plus étendue, donc plus efficace. S'il libérait sa charge dès le départ, cette déperdition continuelle ne lui procurerait qu'un résultat malingre !

C'est pourquoi souvent celui qui part de rien dans la vie doit pour cette raison accumuler plus de valeur, et arrivera à un résultat supérieur, par rapport à celui qui part bien dès le départ mais se laisse glisser sur sa chance qui restera sa valeur de départ... et terminale parce qu'elle ne développe pas de création, en plus. Ce dernier aurait donc même tendance à reculer.


La faculté associative permet imagination et créativité, mais la mémoire n'est pas l'intelligence, elle y participe.

L'intelligence est la résultante de l'exercice permanent de l'associativité relié à une tension également permanente de compréhension.


L'homme occidental actuel est formé par les sciences, le besoin de conformité et de résultat qui puisse être 'vu' et appliqué. De tous temps son travail l'amena à dominer la matière, s'y adapter et l'adapter à lui. Il lui faut une technique (tekne signifie art, or la science est fondamentalement un art). La théologie et les dogmes ne lui apportent plus satisfaction intellectuelle. Tout aujourd'hui est soumis à une technique, un intellectualisme, tout se pare de complexité, de science. Tout, sauf la religion, malgré la demande mariale à Kerizinen : pratiquer un catholicisme scientifique.


La Tradition c'est un empirisme qui a fait ses preuves. Qui donne des résultats.


Toutes les utilisations de magie, avec des pentacles, des protections... donnent des résultats, mais portent à des drames (folie, maladie). La seule magie dans le bien, c'est la prière, l'invocation.


Le 1 a besoin de créer un artifice : le 2, pour pouvoir se voir : c'est le face-à-face. Le 1 seul, c'est la mort. Les dualités sont des apparences issues, révélant le principe créateur.

Deux aspects impliquent un passage de l'un à l'autre, donc l'apparition du temps et de l'espace.

Appréhender les deux, c'est devenir d(i)eux.

Le un et le deux permettent le triangle.

La dualité permet des rapports. Le beau est beau par rapport (=93) au laid.

Le résultat de ce rapport est une mani-festation, le 3 (l'enfant).


La sémantique est l'étude du sens des mots. L'entendement en est le résultat.

Les anges ont voulu (pro)créer sans l'Esprit. Il n'en est résulté que des catastrophes (ex. de la magie, impatiente, de l'apprenti-sorcier).

L'Inde a la bombe atomique. Les castes, la misère, l'attentisme. L'Inde philosophique, on en voit le résultat !


La mémoire, ce sont des faits, des éléments, des résultats de recherche, des souvenirs d'expériences passées... De tout cela, l'homme doit faire le tri. C'est ce tri qui est fait par l'intelligence : In tel legere, cueillette... Selon un choix va se produire une prise de conscience.

Se ressouvenir est une prise de conscience si ce re-souvenir est ordonné (par l'intelligence), selon le donné réel.

Le fait de ne pas s'en tenir là, de continuer à chercher, fait se développer l'esprit, qui devient vivant et créateur, et corelié, corellé à l'Esprit, vivant et créateur.

Il y a deux espèces de croyances sur Terre : Athées et déistes (ou théistes).
Cet antagonisme de nature va s'agiter, bien que quelque soit leur idéal, la manifestation du coeur soit identique.
Qu'attend l'instigateur de tout cela ? Un phénomène de fécondation attractif par polarité contraire, s'aimantant mutuellement et provoquant des échanges. De cet échange-croisement va émerger une possibilité de conscience personnelle, de volonté propre, hors stimuli. Car dès qu'il y a deux éléments en présence, il y a des réactions. L'intelligence étant incluse en chacun, ces réactions vont être analysées et il en sortira des positions personnelles, qui, elles, seront étrangères des stimuli du créateur.
Ce qui en résultera : Un rationalisme divin, une métaphysique savante, une philosophie religieuse.
Ceci est seulement si on veut créer l'Unité.


L'Eglise a construit un culte de la personnalité de Jésus, au lieu d'inciter à lire et pratiquer ses paroles.

Jésus a été placé sur les autels, et le résultat est sous nos yeux.

L'or c'est de l'or, peu importe qu'il soit placé dans les mains d'un Prince ou dans celles d'un gueux.


Les croyants qui accomplissent les rites, prient en cherchant à être sincères, etc. en tirent un sentiment intérieur qu'ils prennent pour le signe que Dieu les entend, les écoute et les approuve. Il s'agit en fait d'exaltation, résultat d'une satisfaction personnelle.


Il faut orienter doucement la pensée sur le résultat à obtenir. C'est une orientation mentale.
Fixer un objectif, un repère, permet d'évaluer une progression.

C'est le temps, la durée du processus, long, qui fait le bonheur et le plaisir du résultat. En fin !


On peut voir des érudits de l'Ancien Testament, les frères juifs. Mais il y a des guerres de religion, des jalousies. Les imams connaissent le Coran par coeur. Résultat ? On se jalouse et ça continue.

Il y a des petites différences entre les gens. Il y en a qui ont plus de mémoire que d'autres, plus de vivacité de ce radar panoramique qui cherche dans la mémoire, mais il faut juger l'individu à ses fruits globalement. Ce sont les résultats qui comptent.
 

 

Je viens du temps

 

Ceci, enfin, fut écrit par André Bouguénec, noir sur blanc : "JE VIENS DU TEMPS" :