Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > André Bouguénec > Paroles et écrits d'André Bouguénec

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Connaitre c'est se nourrir et s'élaborer par la vie - André Bouguénec

Connaitre c'est naitre avec, c'est vivre avec ce que l'on a acquis, à la mesure de nos recherches, de nos découvertes, même de nos erreurs. C'est l'effort de nos recherches, de la quête hors de soi et en soi, se croisant avec une persévérance, au même titre que la nourriture quotidienne de notre organisme pour le maintien en vie.

Si nous arrêtions de manger, ou si on mangeait une fois par mois, on serait pas gras, on serait pas fort. Eh bien dites-vous bien que si nous n'avons qu'une bouche, que le sens du goût pour nous nourrir, nous avons cinq sens pour nourrir notre esprit. Est-ce que nous utilisons ça trois fois par jour ? Ou à longueur de journée, dans des réflexions utiles, dans des réflexions d'extrapolation de la matière au divin ? Et vous voyez combien peu, dans une journée, dans plusieurs jours, dans une semaine, on se nourrit de cette métaphysique de la vie. Dans la communication entre les gens, matérielle, le gagne-pain, c'est-à-dire la bouffe, et tout le reste, ben c'est quand il en reste. Donc vous voyez que l'esprit est le parent pauvre, Dieu est le parent pauvre et notre âme est le parent pauvre.

Alors il faut s'habituer, même dans le travail, à observer, à examiner, à extrapoler tout ce qu'on voit, tout ce qu'on ressent, tout ce qu'on observe. Et ça c'est une nourriture. A plus forte raison, lorsque vous lisez, mieux comprendre l'auteur ou ce qu'il n'a pas compris, toujours il faut bien le comprendre, se le farcir convenablement, et éventuellement, voir plus loin et poser des questions tant que ce n'est pas compris selon la lettre qui est donnée, et [tant] que vous n'imaginez pas qu'il y a une autre signification, encore plus et encore plus. Derrière une apparence il y en a encore une autre et encore une autre. Un train cache souvent un train ; c'est le phénomène des poupées gigognes, l'esprit étant infini dans la découverte. C'est une science.

J'enseigne de la vie, j'enseigne la chrétienté et non pas de l'athéisme bouddhique. Tu ne peux pas trouver de Dieu dans le bouddhisme. C'est l'individualisme absolu. C'est le Nirvana du zéro. C'est carrément luciférien au sens péjoratif, tout ce qui est oriental actuellement. Oh, c'est une belle philosophie ! Pour remuer les neurones, ça remue !

"Je suis venu apporter l'épée". L'épée était, et est, le moyen de combattre. C'est la connaissance, et pas pour rester dans son petit truc. Ce sont les tombeaux blanchis. L'épée du Christ, c'est le moyen de combattre, et c'est la connaissance.